3 mars 2009
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22:54
QUAND LE PRÉFET ÉCRIT À WILLY ANGÈLE. MORT DE RIRE !
Le 28 février, le rpéfet Nicolas Desforges a écrit à XWilly Angèle, président du Médef. Celui-ci venait de se plaindre d'avoir été menacé par Elie Domota, en présence du préfet qui n'avait pas bougé. M. Angèle refusait de se rasseoir à la table des négociations. Certaines organisation, dont l'Uceg et l'UMPRG, signaient, en son absence, un accord avec le LKP.
« L'accord conclu en votre absence le 26 février, dont j'ai souligné la faiblesse au regard du nombre d'entreprises adhérentes aux organisations patronales signataires, constitue dans l'immédiat un obstacle à une reprise des négociations, en séance plénière ou en bilatéral. En effet, les signataires de cet accord affichent leur détermination à préserver le contenu de leur convention et opposent, dans l'immédiat, une fin de non recevoir à toute nouvelle proposition, considérant que seule la procédure d'adhésion à l'accord existant ofre une voie aux organisations ayant décliné les possibilités de négocier le 26 février... »
Certes, certes...
Le 28 février, le rpéfet Nicolas Desforges a écrit à XWilly Angèle, président du Médef. Celui-ci venait de se plaindre d'avoir été menacé par Elie Domota, en présence du préfet qui n'avait pas bougé. M. Angèle refusait de se rasseoir à la table des négociations. Certaines organisation, dont l'Uceg et l'UMPRG, signaient, en son absence, un accord avec le LKP.
« L'accord conclu en votre absence le 26 février, dont j'ai souligné la faiblesse au regard du nombre d'entreprises adhérentes aux organisations patronales signataires, constitue dans l'immédiat un obstacle à une reprise des négociations, en séance plénière ou en bilatéral. En effet, les signataires de cet accord affichent leur détermination à préserver le contenu de leur convention et opposent, dans l'immédiat, une fin de non recevoir à toute nouvelle proposition, considérant que seule la procédure d'adhésion à l'accord existant ofre une voie aux organisations ayant décliné les possibilités de négocier le 26 février... »
Certes, certes...