23 mars 2009
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15:37
LETTRE A YVES JÉGO
Monsieur le Secrétaire d’Etat,
Je suis, comme beaucoup d’Antillais, restée jusqu’à ce jour sans réponse et de ce fait dans l’interrogation, à propos vos déclarations publiques, je vous cite : « ..que le cœur du problème est qu’il existe aux Antilles une Société qui n’a pas regardé son histoire en face et qui fonctionne sur des schémas qui ne sont pas ceux du XXème Siècle. Une économie à deux vitesses, une mauvaise répartition des richesses… »
A de très nombreuses reprises vous avez répété, sur différents médias locaux et Nationaux, cette vision de nos départements qui est la votre et par le fait même, celle du gouvernement.
Ce qui nous aiderait à nous remettre en question , c’est que l’homme de dialogue que vous êtes nous apporte enfin les preuves précises, décrivant de façon précise, les abus que vous n’avez pas cessé de dénoncer publiquement!.
La profane que je suis, se risque à vous demander si vous confirmez à travers vos déclarations que cette situation suppose un disfonctionnement des services de l’Etat (DCCRF, DDASS, SECU, Contrôle des prix, URSSAF, etc ….. qui jusqu’à aujourd’hui ont été incapables de révéler et sanctionner les disfonctionnements que, vous, Monsieur le Secrétaire d’Etat avez dénoncé publiquement , et à plusieurs reprises.
Ou, peut être avez-vous voulu par ces accusations , aussi dénoncer, publiquement, l’incompétence des fonctionnaires des services cités, payés 40% de plus qu’en métropole ???
Il est aussi évident qu’une telle situation laisserait supposer, que les prélèvements des impôts issus des bénéfices résultant de ces abus « je vous cite », feraient l’Etat apparaître comme le complice d’un recel organisé par ses fonctionnaires, si nous nous référons aux mêmes textes appliqués à un dirigeant d’entreprise qui se trouverait dans la même situation.
Comment appréhendez-vous ce problème ?
Seriez-vous prêt à faire face à ces graves soupçons de complicité de recel , si un procès était intenté contre vous et à travers vous contre l’état, et allez vous enfin nous apporter les preuves précises afin de justifier vos graves accusations ?
Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir , que vos déclarations ont été le détonateur qui a contribué à « dresser » une composante de la population des Antilles contre l’autre !
Serez-vous ce pèlerin qui assume la pleine responsabilité de son engagement ?
Aujourd’hui Vous vous devez de nous apporter ces preuves !
En espérant toujours une réponse précise de votre part, , je vous prie d’agréer, Monsieur le Secrétaire d’Etat, l’expression de mes salutations distinguées.
Patricia Condo
Monsieur le Secrétaire d’Etat,
Je suis, comme beaucoup d’Antillais, restée jusqu’à ce jour sans réponse et de ce fait dans l’interrogation, à propos vos déclarations publiques, je vous cite : « ..que le cœur du problème est qu’il existe aux Antilles une Société qui n’a pas regardé son histoire en face et qui fonctionne sur des schémas qui ne sont pas ceux du XXème Siècle. Une économie à deux vitesses, une mauvaise répartition des richesses… »
A de très nombreuses reprises vous avez répété, sur différents médias locaux et Nationaux, cette vision de nos départements qui est la votre et par le fait même, celle du gouvernement.
Ce qui nous aiderait à nous remettre en question , c’est que l’homme de dialogue que vous êtes nous apporte enfin les preuves précises, décrivant de façon précise, les abus que vous n’avez pas cessé de dénoncer publiquement!.
La profane que je suis, se risque à vous demander si vous confirmez à travers vos déclarations que cette situation suppose un disfonctionnement des services de l’Etat (DCCRF, DDASS, SECU, Contrôle des prix, URSSAF, etc ….. qui jusqu’à aujourd’hui ont été incapables de révéler et sanctionner les disfonctionnements que, vous, Monsieur le Secrétaire d’Etat avez dénoncé publiquement , et à plusieurs reprises.
Ou, peut être avez-vous voulu par ces accusations , aussi dénoncer, publiquement, l’incompétence des fonctionnaires des services cités, payés 40% de plus qu’en métropole ???
Il est aussi évident qu’une telle situation laisserait supposer, que les prélèvements des impôts issus des bénéfices résultant de ces abus « je vous cite », feraient l’Etat apparaître comme le complice d’un recel organisé par ses fonctionnaires, si nous nous référons aux mêmes textes appliqués à un dirigeant d’entreprise qui se trouverait dans la même situation.
Comment appréhendez-vous ce problème ?
Seriez-vous prêt à faire face à ces graves soupçons de complicité de recel , si un procès était intenté contre vous et à travers vous contre l’état, et allez vous enfin nous apporter les preuves précises afin de justifier vos graves accusations ?
Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir , que vos déclarations ont été le détonateur qui a contribué à « dresser » une composante de la population des Antilles contre l’autre !
Serez-vous ce pèlerin qui assume la pleine responsabilité de son engagement ?
Aujourd’hui Vous vous devez de nous apporter ces preuves !
En espérant toujours une réponse précise de votre part, , je vous prie d’agréer, Monsieur le Secrétaire d’Etat, l’expression de mes salutations distinguées.
Patricia Condo