2 septembre 2009
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Ayen pa fèt
C'est par ces mots que le LKP entend accueillir Marie-Luce Penchard, secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, à la préfecture de Basse-Terre, ce mercredi.
Ayen pa fèt !
Un tract, diffusé hier, appelle à un rendez-vous, ce mercredi, à 15 heures, devant la préfecture.
Le motif est tout trouvé : « Pwòfitasyon fini é byen fini »
Du moins pour ceux que visent les leaders du LKP.
De qui s'agit-il ? La société anonyme de raffinerie des Antilles, la Sara.
« Malgré le rapport de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire du 23 juillet 2009, Mme Penchard, accuse le tract, a décidé d'augmenter le prix de l'essence en Guadeloupe alors que les services de l'Etat sont incapables de justifier la base de calcul sur laquelle repose l'évaluation des prix. »
L'accusation vise plus directement la secrétaire d'Etat à l'Outre-mer : « Mais pour qui travaille-t-elle ? Sûrement pas pour les Guadeloupéens. »
Fidèle à sa stratégie de dénigrement de l'action de l'Etat (français), le LKP énumère ce qui, dans les articles 29, 30, 31, 32 et 90 du protocole du 4 mars 2009, n'a pas été mis en œuvre par le gouvernement.
Tout d'abord, la mise en place d'un nouveau dispositif de gestion des carburants, ensuite la suspension dans la structure des prix des carburants de la taxe sur la collecte des huiles usagées, encore la mise en place de dispositifs pour que les taxes soient collectées sur les volumes réels de carburants livrés aux distributeurs. Enfin, « faire rembourser les sommes indûment perçues par les compagnies pétrolières et la Sara dans le cadre d'un fonds pour la formation professionnelle. »
« Ayen pa fèt », conclue le LKP.
Le peuple, en trois lignes, est mis face à ces manquements. Le LKP appelle « le peuple guadeloupéen » à manifester.
Le LKP affirmait, hier soir, qu'il ne demanderait pas audience à la secrétaire d'Etat mais que ci celle-ci voulait lui parler... il lui suffirait de venir à sa rencontre...
C'est par ces mots que le LKP entend accueillir Marie-Luce Penchard, secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, à la préfecture de Basse-Terre, ce mercredi.
Ayen pa fèt !
Un tract, diffusé hier, appelle à un rendez-vous, ce mercredi, à 15 heures, devant la préfecture.
Le motif est tout trouvé : « Pwòfitasyon fini é byen fini »
Du moins pour ceux que visent les leaders du LKP.
De qui s'agit-il ? La société anonyme de raffinerie des Antilles, la Sara.
« Malgré le rapport de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire du 23 juillet 2009, Mme Penchard, accuse le tract, a décidé d'augmenter le prix de l'essence en Guadeloupe alors que les services de l'Etat sont incapables de justifier la base de calcul sur laquelle repose l'évaluation des prix. »
L'accusation vise plus directement la secrétaire d'Etat à l'Outre-mer : « Mais pour qui travaille-t-elle ? Sûrement pas pour les Guadeloupéens. »
Fidèle à sa stratégie de dénigrement de l'action de l'Etat (français), le LKP énumère ce qui, dans les articles 29, 30, 31, 32 et 90 du protocole du 4 mars 2009, n'a pas été mis en œuvre par le gouvernement.
Tout d'abord, la mise en place d'un nouveau dispositif de gestion des carburants, ensuite la suspension dans la structure des prix des carburants de la taxe sur la collecte des huiles usagées, encore la mise en place de dispositifs pour que les taxes soient collectées sur les volumes réels de carburants livrés aux distributeurs. Enfin, « faire rembourser les sommes indûment perçues par les compagnies pétrolières et la Sara dans le cadre d'un fonds pour la formation professionnelle. »
« Ayen pa fèt », conclue le LKP.
Le peuple, en trois lignes, est mis face à ces manquements. Le LKP appelle « le peuple guadeloupéen » à manifester.
Le LKP affirmait, hier soir, qu'il ne demanderait pas audience à la secrétaire d'Etat mais que ci celle-ci voulait lui parler... il lui suffirait de venir à sa rencontre...
dj.gano 02/09/2009 12:06