1 décembre 2009
2
01
/12
/décembre
/2009
21:49
INDISCRÉTIONS
Fély
Samedi soir, Fély Kacy-Bambuck, vice-présidente du conseil régional, était missionnée pour remettre son Elwa d'or à Jacob Desvarieux, qui n'avait pu le recevoir car retenu ailleurs au moment de l'ouverture du Gwadloup Festival. Elle a patiemment attendu l'arrivée du musicien, écoutant avec un intérêt soutenu Akiyo, puis hypnotisée au fond de son fauteuil par El Canario. Non, elle n'a pas dansé au son des gwokas, ni sifflé avec le Dominicain, mais elle était tout sourire pour remettre, devant les objectifs de la presse nationale et locale, son Elwa à un Jacob ravi. Sans doute parce qu'elle avait cessé d'attendre...
Victorin
On l'a vu danser, dimanche soir, sur la place de la Victoire transformée en formidable salle de bal à ciel ouvert. Le point final du Gwadloup Festival a été à l'instar de toutes les manifestations de cet événement culturel et populaire : très professionnel !
Jean-Michel
La scène se passe à RFO. Jean-Michel Ribes, comédien, auteur, metteur en scène, réalisateur de cinéma, directeur du théâtre du Rond-Point, qui anime un stage à l'Archipel, est l'invité du journal du soir. Une jeune femme s'approche tandis qu'on le maquille. Elle demande comment il s'appelle, qui il est, ce qu'il fait. Visiblement, elle ne le connaît pas. C'est la journaliste qui va l'interviewer en direct sur la plateau quelques minutes plus tard !
Jean-Michel 2
Honte, lundi soir, au ciné-théâtre de Lamentin. Jean-Michel Ribes est présent dans la salle pour assister à la projection de Musée haut, musée bas, le film qu'il a réalisé en 2008. Et qui a remporté un grand succès. Douze personnes dans la salle. A la fin de la projection, il répond à quelques questions, puis, visiblement, dégoûté, pose le micro et quitte les lieux. « C'est la première fois que je vois ça. Si peu de monde à la projection de mon film ? Combien étaient-ils ?.. » Il se pose des questions. Nous aussi quand on pense que les états généraux ont souligné que les Guadeloupéens voulaient plus d'accès à la culture, plus d'ouverture sur le monde, etc. Des mots ? Des mots !
André-Jean VIDAL
Fély
Samedi soir, Fély Kacy-Bambuck, vice-présidente du conseil régional, était missionnée pour remettre son Elwa d'or à Jacob Desvarieux, qui n'avait pu le recevoir car retenu ailleurs au moment de l'ouverture du Gwadloup Festival. Elle a patiemment attendu l'arrivée du musicien, écoutant avec un intérêt soutenu Akiyo, puis hypnotisée au fond de son fauteuil par El Canario. Non, elle n'a pas dansé au son des gwokas, ni sifflé avec le Dominicain, mais elle était tout sourire pour remettre, devant les objectifs de la presse nationale et locale, son Elwa à un Jacob ravi. Sans doute parce qu'elle avait cessé d'attendre...
Victorin
On l'a vu danser, dimanche soir, sur la place de la Victoire transformée en formidable salle de bal à ciel ouvert. Le point final du Gwadloup Festival a été à l'instar de toutes les manifestations de cet événement culturel et populaire : très professionnel !
Jean-Michel
La scène se passe à RFO. Jean-Michel Ribes, comédien, auteur, metteur en scène, réalisateur de cinéma, directeur du théâtre du Rond-Point, qui anime un stage à l'Archipel, est l'invité du journal du soir. Une jeune femme s'approche tandis qu'on le maquille. Elle demande comment il s'appelle, qui il est, ce qu'il fait. Visiblement, elle ne le connaît pas. C'est la journaliste qui va l'interviewer en direct sur la plateau quelques minutes plus tard !
Jean-Michel 2
Honte, lundi soir, au ciné-théâtre de Lamentin. Jean-Michel Ribes est présent dans la salle pour assister à la projection de Musée haut, musée bas, le film qu'il a réalisé en 2008. Et qui a remporté un grand succès. Douze personnes dans la salle. A la fin de la projection, il répond à quelques questions, puis, visiblement, dégoûté, pose le micro et quitte les lieux. « C'est la première fois que je vois ça. Si peu de monde à la projection de mon film ? Combien étaient-ils ?.. » Il se pose des questions. Nous aussi quand on pense que les états généraux ont souligné que les Guadeloupéens voulaient plus d'accès à la culture, plus d'ouverture sur le monde, etc. Des mots ? Des mots !
André-Jean VIDAL
Partager cet article
