27 février 2009
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« C'est faux ! », dit le préfet
Le préfet de la Guadeloupe, Nicolas Desforges, a déclaré jeudi qu'il « s'inscrivait en faux » contre les affirmations du Medef selon lesquelles son président, Willy Angèle, aurait été physiquement menacé par le leader du LKP, Elie Domota, durant les négociations de la veille.
« Je m'inscris en faux contre les affirmations de M. Angèle. A aucun moment, sa sécurité n'a été en cause », a affirmé le préfet.
« Lorsque M. Domota », le leader du LKP, « a eu un geste déplacé envers M. Angèle, trois policiers du RAID se sont interposés » a affirmé M. Desforges. « M. Angèle n'a pas été touché par M. Domota », a précisé le préfet.
« J'ai immédiatement provoqué une suspension de séance pour calmer les esprits », a-t-il précisé. « M. Angèle n'a pas été menacé physiquement », même si le président de la Fédération locale du Medef peut, selon le préfet, se plaindre « d'une attitude déplacée ».
« Je déplore tous les effets de langage et j'appelle toutes les parties à un dialogue serein a affirmé M. Desforges. La sécurité de l'ensemble des participants est assurée lors des réunions ».
« J'appelle bien évidemment le Medef à retourner à la table des négociations en l'assurant que, comme par le passé, sa protection sera assurée », a conclu le préfet.
Le préfet de la Guadeloupe, Nicolas Desforges, a déclaré jeudi qu'il « s'inscrivait en faux » contre les affirmations du Medef selon lesquelles son président, Willy Angèle, aurait été physiquement menacé par le leader du LKP, Elie Domota, durant les négociations de la veille.
« Je m'inscris en faux contre les affirmations de M. Angèle. A aucun moment, sa sécurité n'a été en cause », a affirmé le préfet.
« Lorsque M. Domota », le leader du LKP, « a eu un geste déplacé envers M. Angèle, trois policiers du RAID se sont interposés » a affirmé M. Desforges. « M. Angèle n'a pas été touché par M. Domota », a précisé le préfet.
« J'ai immédiatement provoqué une suspension de séance pour calmer les esprits », a-t-il précisé. « M. Angèle n'a pas été menacé physiquement », même si le président de la Fédération locale du Medef peut, selon le préfet, se plaindre « d'une attitude déplacée ».
« Je déplore tous les effets de langage et j'appelle toutes les parties à un dialogue serein a affirmé M. Desforges. La sécurité de l'ensemble des participants est assurée lors des réunions ».
« J'appelle bien évidemment le Medef à retourner à la table des négociations en l'assurant que, comme par le passé, sa protection sera assurée », a conclu le préfet.