6 novembre 2009
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Jacques Gillot réserve un accueil mitigé aux mesures annoncées
Le Président du Conseil général a réservé un accueil mitigé aux mesures annoncées par le Président de la République à l’issue du premier conseil interministériel consacré à l’outremer.
Selon Jacques Gillot, Nicolas Sarkozy a affiché une volonté de réformer en profondeur les relations entre l’outremer et la France Métropolitaine, même si le président de la république est demeuré prudent en affirmant que ce CIOM constituait une première étape.
L’exécutif départemental a pris acte de certaines pistes intéressantes mais a regretté qu’elles ne soient adossées à aucun chiffrage précis, aucune inscription budgétaire sanctuarisée, ce qui est particulièrement préoccupant lorsqu’on sait que la loi de finances pour 2010, déjà en débat devant le parlement, ne tient pas compte de ces mesures.
Jacques Gillot regrette en revanche très vivement que le Président Sarkozy n’ai apporté aucune réponse forte sur des sujets fondamentaux où l’engagement de l’Etat est particulièrement attendu à l’instar d’une vraie réforme du mode de fixation des prix des carburants, d’un plan d’urgence pour la formation et l’emploi des jeunes de moins de 25 ans, de l’application anticipée du RSA, des finances des collectivités locales et du plan de rattrapage des équipements structurants.
Le Président du Conseil général a réservé un accueil mitigé aux mesures annoncées par le Président de la République à l’issue du premier conseil interministériel consacré à l’outremer.
Selon Jacques Gillot, Nicolas Sarkozy a affiché une volonté de réformer en profondeur les relations entre l’outremer et la France Métropolitaine, même si le président de la république est demeuré prudent en affirmant que ce CIOM constituait une première étape.
L’exécutif départemental a pris acte de certaines pistes intéressantes mais a regretté qu’elles ne soient adossées à aucun chiffrage précis, aucune inscription budgétaire sanctuarisée, ce qui est particulièrement préoccupant lorsqu’on sait que la loi de finances pour 2010, déjà en débat devant le parlement, ne tient pas compte de ces mesures.
Jacques Gillot regrette en revanche très vivement que le Président Sarkozy n’ai apporté aucune réponse forte sur des sujets fondamentaux où l’engagement de l’Etat est particulièrement attendu à l’instar d’une vraie réforme du mode de fixation des prix des carburants, d’un plan d’urgence pour la formation et l’emploi des jeunes de moins de 25 ans, de l’application anticipée du RSA, des finances des collectivités locales et du plan de rattrapage des équipements structurants.