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Revue de l'actualité politique locale

INDISCRÉTIONS 11/02/13

INDISCRÉTIONS
Marcelle
Premier dossier sur lequel devra se pencher Marcelle Pierrot, préfète, celui de l'épandage aérien. Si en Martinique les choses avancent, avec une enquête publique lancée par le préfet il y a quelques semaines, chez nous le préfet partant, Amaury de Saint-Quentin a accepté, la semaine dernière seulement, l'idée d'une enquête publique. Le 2 janvier, Francis Lignières, président du Groupement, avait déposé une nouvelle demande de dérogation. Reçus en préfecture le 9 janvier, les bananiers attendaient  l'ouverture de l'enquête publique tandis que la cercosporiose noire attaque les bananeraies, que la cercosporiose jaune repart en beauté et que les bananes arrivant mûres dans l'Hexagone sont jetées à la décharge...

Lucette
Bon pied, bon œil, Lucette Michaux-Chevry a commenté avec beaucoup de détails les bons et moins bons moments vécus avec José Moustache, disparu la semaine dernière. Parmi les moins bons, la chikaya entre 1983 et 1986, quand José Moustache, président d'un conseil régional croupion (logé dans deux pièces sur les quais, de Basse-Terre) menait la fronde contre celle qui l'avait... fait roi. En effet, Lucette Michaux-Chevry avait remporté l'élection mais avait laissé son siège à son second de liste pour conserver la présidence du conseil général, bien mieux lotie...

Félix
Non, Félix Desplan ne dort pas au Sénat. Notre représentant s'est intéressé au projet de loi sur le Contrat de génération, dont le principe est de favoriser par une aide publique l’embauche d’un jeune tout en maintenant un senior dans l’emploi. M. Desplan a évoqué « le frein que pourrait toutefois poser la condition impérative pour les entreprises souhaitant en bénéficier d’être à jour de toutes leurs cotisations sociales, alors que, pour la seule Guadeloupe, les dettes sociales des entreprises s’élèvent à un milliard d’euros ». Oui, ça peut coincer...

Félix 2
Félix Desplan a profité du débat au Sénat pour rappeler qu’aux Antilles des organisations syndicales, « légitimes en terme d’adhérents, actives et capables de mobiliser fortement (toujours le mot pour rire, sénateur !), interlocuteurs incontournables à l’échelon local mais tenant à conserver leur autonomie, ne peuvent pas siéger dans nombre d’instances. » Attention à ne pas ouvrir la boite de Pandore !
André-Jean VIDAL

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