29 janvier 2010
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14:17
Réforme des collectivités territoriales :
Jacques GILLOT affiche sa perplexité face à la stratégie mise en place par le Gouvernement
Jacques GILLOT participe depuis hier aux débats du Sénat dans le cadre de l’examen du texte portant sur la réforme des collectivités territoriales et tout particulièrement sur la création du poste de conseiller territorial appelé à remplacer en mars 2014 les conseillers généraux et régionaux en France Hexagonale.
Pour le sénateur Jacques GILLOT, il est certes nécessaire de moderniser les institutions de la République afin de donner plus de lisibilité aux politiques publiques mais il a vivement regretté les zones d’ombre entourant le mode d’élection, les compétences, les atteintes à la parité au sein des assemblées ainsi que la représentativité territoriale de ce nouvel élu ; autant d’éléments fondamentaux qui ne seront définis qu’ultérieurement par voie d’ordonnance et dans de futurs projets de loi.
Selon Jacques GILLOT, cette stratégie empreinte de visées électoralistes ne garantit pas une suffisante concertation avec la population.
S’agissant de la Guadeloupe, Jacques GILLOT a en conséquence réaffirmé la nécessité de mettre en place un véritable projet de société, conformément aux orientations et à la méthode proposées lors du dernier Congrès des élus départementaux et régionaux, seule base de réflexion permettant de jeter les fondements de nouveaux rapports sociaux, économiques et politiques en Guadeloupe.
Jacques GILLOT affiche sa perplexité face à la stratégie mise en place par le Gouvernement
Jacques GILLOT participe depuis hier aux débats du Sénat dans le cadre de l’examen du texte portant sur la réforme des collectivités territoriales et tout particulièrement sur la création du poste de conseiller territorial appelé à remplacer en mars 2014 les conseillers généraux et régionaux en France Hexagonale.
Pour le sénateur Jacques GILLOT, il est certes nécessaire de moderniser les institutions de la République afin de donner plus de lisibilité aux politiques publiques mais il a vivement regretté les zones d’ombre entourant le mode d’élection, les compétences, les atteintes à la parité au sein des assemblées ainsi que la représentativité territoriale de ce nouvel élu ; autant d’éléments fondamentaux qui ne seront définis qu’ultérieurement par voie d’ordonnance et dans de futurs projets de loi.
Selon Jacques GILLOT, cette stratégie empreinte de visées électoralistes ne garantit pas une suffisante concertation avec la population.
S’agissant de la Guadeloupe, Jacques GILLOT a en conséquence réaffirmé la nécessité de mettre en place un véritable projet de société, conformément aux orientations et à la méthode proposées lors du dernier Congrès des élus départementaux et régionaux, seule base de réflexion permettant de jeter les fondements de nouveaux rapports sociaux, économiques et politiques en Guadeloupe.