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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 18:13

INDISCRÉTIONS
Eric
Eric Jalton a interpellé le ministre de l’intérieur pour lui demander... la sanctuarisation du campus de Fouillole où des étudiants se sont récemment faits agresser. Il demande la tenue d’un ou plusieurs conseils intercommunaux de sécurité et de prévention de la délinquance de l’agglomération pointoise en vue de la mise en place d’un plan d’actions concertées entre l'UAG, l'Etat, la Région et la communauté d’agglomérations. Qu'en disent MM. Saffache, Fabre, Lurel, Bangou ?..

Pascal
Pascal Saffache, président de l'UAG, est très sensible, quand on parle d'insécurité sur le campus de Fouillole. Interrogé par notre confrère Thierry Fundéré, de RCI, il lui a répondu : « Cette question laisserait entendre que le président de l'Université ne fait rien !.. » Ce dont s'est défendu le journaliste. D'autant que M. Saffache a pris le problème au sérieux, ce dès l'an dernier, demandant des patrouilles de police. Lors de l'interview, il a rappelé son expérience quand il était doyen en Martinique. Il avait fait boucler le campus et des policiers avec des chiens avaient traqué les intrus. Il propose de faire la même chose à Fouillole.

Jacques, Jean, Victorin
Le jour du défilé du LKP dans les rues de Pointe-à-Pitre (mardi), Jacques Gillot a expédié à toutes les rédactions un document par lequel il entend démontrer que le Département qu'il préside a tenu les engagements pris dans les accords de 2009. « Sur 21 engagements pris par le conseil général dans le cadre de l’accord du 4 mars 2009, 16 points ont été actés pour seulement 5 en cours d’achèvement », indique-t-il (voir notre précédente édition). Par contre, Jean Fabre, préfet de Guadeloupe, et Victorin Lurel, président de région, sont restés silencieux.

Willy, Jean-Marie
Willy Angèle, du Medef, poursuit son incantation : il nous faut de l'emploi pour une jeunesse formée, il nous faut attirer les touristes, préserver les emplois locaux, etc. Certes, sauf que la grève illimitée annoncée pour le 14 décembre va sûrement dissuader les touristes de venir en Guadeloupe, sabordant la saison touristique des opérateurs de ce secteur (qui emploient du monde) et que les commerçants de la place (qui emploient du monde) ne vont sûrement pas réaliser de belles affaires de fin d'année... Bah, comme dirait Jean-Marie Nomertin, de la CGTG : « Faites des économies, préparez-vous ! »

Gugusses
A la réflexion, ce ne sont pas des gugusses, ceux qui ont acheté des euros estampillés Guadeloupe vendus 10 euros par souscription par la Monnaie de Paris, il y a un mois. Il valent, qualité fleur de coin (jamais touchés, dans un sachet en plastique)... 40 euros ! Il y en a qui ont du flair...
André-Jean VIDAL

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 21:28


Nous vous invitons à notre prochain café/débat qui se tiendra le jeudi 4 novembre à partir de 19 heures à la Casa del tango.
   Le thème de la conférence : « L’agriculture en Guadeloupe : de la production coloniale à une production guadeloupéenne »Par Louis Théodore en collaboration avec Alex Bandou, secrétaire général de l’UPG. 
Il nous a semblé important d’inviter ces deux intervenants. Louis Théodore (dit Jean) est connu comme fondateur historique du mouvement national guadeloupéen mais aussi de l’UTA, de l’UPG et de l’UGTG. Sa longue expérience du mouvement paysan guadeloupéen devrait susciter un débat fructueux, pour nous essentiel.
En effet, le système capitaliste actuel, dans son stade néolibéral mondialisé, impose son ordre au monde dans tous les domaines y compris dans l’agriculture. Les injustices qu’il produit sont de plus en plus criantes surtout depuis la dernière crise financière. Or, paradoxalement, en Europe, aux USA comme dans le reste du monde, l’action politique et sociale qui devrait s’y opposer apparaît en panne, malgré le mécontentement social qui explose çà et là. C’est comme si, ainsi que l’analyse le sociologue Alain Touraine dans son dernier livre Après la crise (Seuil), la domination actuelle produisait des formes d’individuation empêchant les acteurs sociopolitiques de s’ériger comme sujets de leur propre histoire. Pour le sociologue français, les impasses théoriques de toute la gauche sont en grande partie responsables de l’inertie actuelle.
 
Nous pensons que le mouvement social initié par le LKP comportait, outre une revendication identitaire mal définie, une critique inédite –mais faiblement théorisée- de la domination capitaliste telle qu’elle s’effectue dans les conditions spécifiques de la Guadeloupe. S’était alors mis en branle ce que nous avons appelé un réveil de la société civile guadeloupéenne, malgré les erreurs et les fautes commises par les dirigeants du LKP.
 
La société civile guadeloupéenne ne peut être forte sans un mouvement volontaire de développement de la production locale contre les lois du système qu’on voudrait nous présenter comme une logique de la nature. Or, ce sont les hommes qui font l’histoire. En ce sens, notre société doit faire sienne  les tentatives d’affirmation d’autres stratégies de développement dans l’agriculture.
 
Mais nous ne savons pas encore ce que pourrait donner ce passage de l’individu isolé et écrasé sous la logique de la consommation au sujet se réappropriant la dialectique consciente de son devenir. A l’évidence, cela nous intéresse tous. Par conséquent, parallèlement aux actions concrètes engagée par les acteurs réels du secteur agricole, plus largement, la mise en commun, au plan théorique, de nos idées respectives et  contradictoires, dans des conditions rationnelles et sympathiques du débat argumenté, nous paraît incontournable. Ce pourquoi nous vous invitons à notre prochain café/débat.
 
Jacky Dahomay

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 21:26


 
XVIE CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS DES RUP SESSION PARTENARIALE DU
28 OCTOBRE 2010
 
 
Monsieur le Président du Gouvernement des Canaries, Monsieur le Commissaire européen,
cher Johannes, Mesdames et Messieurs les représentants des Ministres des affaires
européennes de l’Espagne et du Portugal, Messieurs les Présidents des régions
ultrapériphériques, Monsieur le Président du Conseil général de Mayotte, Monsieur le
Premier ministre du Cap vert, Mesdames et Messieurs les représentants de la Commission
européenne,
 
Mesdames et Messieurs,
 
 
Je suis heureuse de participer à cette XVIème Conférence des «Régions Ultra-Périphériques»
et je tiens tout d’abord à vous remercier, Monsieur le Président du Gouvernement des
Canaries, pour votre invitation et pour votre accueil, toujours aussi chaleureux. Nous
assisterons tout à l’heure à la cérémonie de « passage du relais » entre vous-même et le
Président de la Région Martinique, Serge LETCHIMY, que je salue bien cordialement. C’est
l’occasion pour moi de vous remercier, et de remercier votre équipe, les fonctionnaires des
Canaries et tous les collaborateurs qui vous ont assisté dans l’important et fondamental travail
réalisé sous votre Présidence. Je vous ai aussi écouté avec attention à Bruxelles. Vous avez
parlé avec votre coeur et de cela aussi, Monsieur le Président des Canaries, je tiens à vous en
remercier.
 
Comme vous l’avez rappelé, cette Conférence se situe à un moment charnière, à un moment
où plusieurs agendas se rencontrent :
- d’abord, dans quelques jours, le 5° « rapport sur la cohésion » sera diffusé, nous allons
certainement l’évoquer tout à l’heure ;
- ensuite, la communication de la Commission relative au réexamen du budget de l’Union
européenne, qui vient d’être adoptée, va lancer la réflexion sur la réforme des politiques
de l’Union européenne dans le cadre de la négociation du prochain cadre financier;
- enfin, notre réflexion « RUP », qui est déjà bien avancée, doit maintenant aboutir à une
«Communication» de la Commission.
 
J’en tire la conclusion que c’est dès à présent que se prépare 2014.
C’est la raison pour laquelle je souhaite délivrer aujourd’hui un triple message, dans le
respect du mémorandum RUP/Etats membres :
- d’abord, tirer toutes les conséquences pour les RUP du calendrier de la négociation du
futur cadre financier ;
- ensuite, vous faire part de quelques réflexions pour l’avenir ;
- enfin, aborder la question des stratégies régionales.
 

Le mémorandum des RUP ainsi que le mémorandum conjoint RUP/Etats-membres
constituent une base de travail riche, que nous avons commencé à exploiter.
 
Je souhaite que l’on puisse ensemble donner des suites concrètes à ces documents stratégiques
et que l’on veille, en s’appuyant sur notre partenariat avec la Commission européenne et le
Parlement européen, à la prise en considération appropriée des RUP dans le débat budgétaire
qui s’amorce au niveau européen.
 
Or, si nous voulons aujourd’hui concrétiser notre mémorandum, il nous appartient de ne pas
«manquer le train des négociations».
 
Dans ce contexte, il me semble que nous ne pouvons pas attendre 2012 pour définir ce que
sera la future stratégie européenne à l’égard des régions ultrapériphériques, car à cette
date, le cadre des prochaines perspectives financières aura été vraisemblablement arrêté.
 
En effet, la Commission européenne doit présenter ses propositions pour le prochain cadre
financier pluriannuel avant le 1er juillet 2011. C’est pourquoi, Cher Johannes, je souhaite
que la commission puisse, en étroit partenariat avec les RUP, intégrer par écrit nos
objectifs dans ces propositions, notamment, relatives aux futurs cadres financiers.
 
Afin de contribuer concrètement à cet exercice, notre Conférence pourrait proposer la mise en
place de groupes de travail Commission -Etats-membres et RUP, sur les problématiques-clés
que nous avons déterminées dans notre Mémorandum, et qui appellent à une réflexion
partagée ; je pense notamment à : 
- la coopération territoriale et les stratégies régionales intégrées ; 
- l’accès des RUP au marché intérieur, au nom du principe de l’égalité des chances, et
l’équilibre entre marché intérieur et insertion régionale ;
- les domaines dans lequel les RUP ont une valeur ajoutée tels que l’environnement et
l’énergie.
 
Bien entendu, ce ne sont que des exemples que je vous soumets aujourd’hui.

Le deuxième point que je souhaiterais aborder avec vous estcelui des grandes
orientations que nous avons définies pour l’avenir. Il nous appartient désormais de les
affiner et je souhaiterais, à cet égard, vous faire part de quelques réflexions : 
 
=> D’abord, comment maintenir et pérenniser les instruments et les dispositifs qui nous
sont les plus adaptés et les plus utiles ? 
Dans mon esprit, ce « maintien des instruments existants » concerne non seulement les fonds
structurels, mais aussi l’allocation spécifique de compensation des contraintes des RUP, le
POSEI, l’octroi de mer ainsi que les aides d’Etat.
 
Bien évidemment, il ne s’agit pas de préempter nos discussions nationales sur les perspectives
financières, mais je souhaite appeler votre attention sur deux cadres d’intervention spécifiques
aux RUP qui me semblent requérir une réflexion particulière : l’allocation de compensation
des contraintes, d’une part ; le POSEI, d’autre part. 
 
L’allocation de compensation des contraintes est juste car elle correspond à la prise en compte
par l’Union de la réalité des RUP. Elle facilite aussi l’accès des RUP au marché intérieur dans
des conditions égales à celles des autres régions européennes. Son principe est donc
important. Aussi, il nous a paru utile de lancer d’ici la fin de l’année 2010 une étude à mi-
parcours destinée à formuler des recommandations pour le futur.
 
Le POSEI est quant à lui l’expression de l’adaptation des politiques européennes à la réalité
des RUP. Nous en souhaitons, par conséquent, pour la prochaine période, le maintien, sur la
base de l’article 349. Ce maintien doit concerner tant l’enveloppe que le mécanisme. En outre,
la pêche pour nous en fait partie, l’article 349 ne devant pas se limiter au seul volet agricole !
 
􏰀 Ceci me conduit naturellement à une deuxième réflexion : comment veiller à un
traitement favorable et spécifique des RUP dans le prochain cadre
communautaire ?
 
Je me félicite que le nouvel article 349 du Traité de Lisbonne conforte le champ des
adaptations possibles. Il s’agit désormais de veiller à sa parfaite prise en compte dans la
conception et la mise en oeuvre des politiques européennes.
 
La Commission européenne doit pouvoir donner aux Etats-membres la garantie que les
adaptations au droit européen, dans les domaines définis par l'article 349 du Traité, sont
rendues possibles et ce, dans la durée.
 
Or, nous constatons de ce point de vue une évolution qui me paraît préoccupante : nous avons
de plus en plus de mal à faire apparaître cette base, alors même qu’elle figure dans le Traité.
Je citais tout à l’heure le POSEI, ce n’est pas par hasard ! Je demande donc que l’article 349
puisse être mentionné, systématiquement et sans ambigüité, dès lors qu’il s’agit des RUP.
Ceci doit être compris et accepté de tous les services de la Commission.
 
􏰀 Troisième réflexion : quels sont les domaines dans lesquels les RUP pourraient
être moteurs sur le plan européen ?
 
La stratégie européenne à l’égard des RUP doit avoir pour objectif le développement
«intelligent, durable et inclusif» des RUP, en visant l’exploitation de leurs atouts propres et la
croissance des secteurs d’excellence, sans pour autant occulter, ni les contraintes structurelles
spécifiques auxquelles nous faisons face, ni le rôle joué par les secteurs traditionnels. Bref,
notre intérêt est celui de la meilleure prise en compte possible de « Europe 2020 » dans la
stratégie des RUP.
 
C’est précisément le message que nous avons délivré dans le Mémorandum signé le 7 mai
dernier.
 
Les RUP peuvent être des modèles et des terrains d’expérimentation des politiques
européennes, elles peuvent notamment être des modèles de croissance verte, mais il nous faut
pour cela établir des synergies entre la protection de l’environnement et la croissance.
L’Europe doit pouvoir soutenir les RUP dans ce sens, à travers une approche et des politiques
appropriées.
 
Mais je le redis ici, cette valorisation des atouts uniques des RUP ne peut se faire que dans le
cadre d’un juste équilibre avec la compensation de leurs contraintes.
 

Le dernier point que je souhaite aborder avec vous est celui de nos stratégies de
coopération régionale.
 
A cet égard, deux sujets me tiennent particulièrement à coeur : la question de la coopération
territoriale de nos RUP et celle des accords commerciaux que l’Union européenne signe avec
des Etat-tiers faisant partie de l’environnement des RUP.
 
Comme nous l’avons écrit dans le Mémorandum, l’insertion régionale demeure un axe
essentiel de la stratégie de développement de nos RUP. Nos échanges, lors de notre premier
Forum sur l’ultrapériphérie européenne, en ont aussi largement témoigné. Je crois qu’il nous
faut désormais penser différemment la coopération et l’insertion territoriale de nos RUP.
 
Il semble en effet aujourd’hui évident que la coopération territoriale, telle qu’elle actuellement
définie et mise en oeuvre, n’est pas en mesure d’intégrer les spécificités des RUP, et
notamment leur environnement régional. 
 
Dans une Europe élargie dont les équilibres sont modifiés, les frontières externes de l’Union
européenne que sont nos RUP sont celles de l’Europe tout entière. Aussi, la création d’un
cadre d’intervention approprié est indispensable. Je défends le principe 9 d’une
coopération territoriale active au voisinage des RUP, dans un esprit «gagnant-gagnant ».
 
Et je rebondis sur la proposition de la Commission de raisonner par zone de coopération et de
réfléchir à l’élaboration de stratégies régionales par zone, à l’exemple des stratégies de la mer
Baltique et du Danube.
 
Cette coopération territoriale encouragerait bien évidemment les RUP à l’ouverture sur leur
environnement régional. S’agissant des RUP françaises, cet encouragement prend d’ores et
déjà plusieurs formes : possibilité de mettre en place des « représentations » au sein des
ambassades de France ; recherche d’un statut amélioré au sein des organisations régionales ;
et surtout recherche du développement des relations commerciales avec les pays voisins. Car
le véritable « marché intérieur » de nos RUP n’est-il pas celui des pays proches ? Mais cette
évolution suppose, encore une fois, un article 349 du Traité bien compris et bien accepté par
tous…
 
Par ailleurs, les accords commerciaux conclus par l’UE dans les régions concernées par
cette stratégie doivent prendre en compte les intérêts des RUP :
 
Si l’on souhaite renforcer les échanges commerciaux avec les pays tiers, il est nécessaire de
veiller à une bonne complémentarité économique et à ne pas mettre en péril les équilibres de
nos économies.
 
C’est pourquoi une des premières mesures à prendre me semble la mise en place d’analyses
d’impact de ces accords sur les RUP par la Commission européenne. Pourquoi ? Tout
simplement pour agir le plus en amont possible, donc de préférence avant la signature de
l’accord, lorsque cela est possible.
 
Lorsque l’accord est déjà signé, cette étude d’impact est quand même utile, de façon à
analyser les conséquences de l’accord sur nos échanges.

Cette meilleure connaissance de l’évolution de nos marchés ne peut qu’avoir des effets
positifs en permettant aux acteurs économiques d’agir en toute connaissance de cause.
 
Je voudrais maintenant terminer, Monsieur le Président du gouvernement des Canaries, en
vous remerciant pour votre remarquable action depuis deux ans.
 
Je souhaite que les travaux conduits par la prochaine Présidence, la Martinique, soient tout
aussi fructueux. Notre soutien et notre appui, cher Président LETCHIMY, vous sont acquis. 
 
Vous le savez – et j’en terminerai par là – nos territoires ont engagé des évolutions
institutionnelles qui ont des conséquences concrètes. J’ai donc le plaisir de saluer l’arrivée de
Saint-Martin dans la « famille des RUP », ainsi que la présence parmi nous de Mayotte, qui
souhaite devenir une RUP, démarche que nous soutenons pleinement et activement.
 
Un chaleureux « merci » à tous les acteurs de cette XVIème conférence des Présidents de
RUP.
 
Merci beaucoup aux Canaries.
 
Muchas gracias Canarias !

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 22:59

Avis à la clientèle du bureau de poste de MOULE

La Poste rappelle à son aimable clientèle qu’en raison de travaux visant à améliorer l’accueil, le bureau de Poste de Moule est fermé
Depuis le vendredi 23 octobre et ce jusqu’au 4 décembre 2010

La Poste invite son aimable clientèle à se rapprocher des bureaux suivants :

Bureau de Saint-François
8h-12h30 et 14h-16h : lundi, mardi, jeudi vendredi
7h30-12h : mercredi
8h-12h : samedi


Bureau de  Morne à L’Eau
Lundi, mardi, jeudi et vendredi
de 07h30 à 12h15
de 14h00 à 16h00
Mercredi et samedi :7h30 à 12h

et pour le Retrait de Colis, Lettres Recommandées
Centre Courrier du Moule
La Baie-Route de Caillebot - 97160 LE MOULE
Accueil de 8h15 à 12h

Pour plus d’infos : 3639 ou 3631 (service consommateurs gratuit d’un poste fixe)

Toutefois, les distributeurs de billet restent accessibles.

La Poste demande à ses clients de l’excuser pour la gêne occasionnée et les remercie pour leur compréhension.

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 22:59

Avis à la clientèle du bureau de poste de BAIE-MAHAULT

La Poste informe son aimable clientèle qu’en raison de travaux visant à améliorer l’accueil, le bureau de Poste de Baie-Mahault sera fermé
Depuis le samedi 30 octobre et ce jusqu’au 3 décembre 2010 à 14h

La Poste invite son aimable clientèle à se rapprocher des bureaux suivants :


Bureau de JARRY - ZAC HOUELBOURG SUD
Lundi, mardi, jeudi, vendredi : 8 h – 16 h
Mercredi, samedi : 8 h – 12 h

Bureau du LAMENTIN - Rue de la république
Lundi, mardi, jeudi, vendredi : 7 h 45 – 12 h et 14 h – 16h
Mercredi, samedi : 7 h 45 – 12 h

et pour le Retrait de Colis, Lettres Recommandées
Centre Courrier de Baie-Mahault - Rue de la république
97122 Baie-Mahault - (derrière le bureau de poste)

Pour plus d’infos : 3639 ou 3631 (service consommateurs gratuit d’un poste fixe)


Toutefois, les distributeurs de billet restent accessibles.

La Poste demande à ses clients de l’excuser pour la gêne occasionnée et les remercie pour leur compréhension.

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 22:58

Il abordera:

 

Liens entre Culture et Management
Multiculturalité: Chances & Problématiques
La Culture Guadeloupéenne
Problématiques et opportunités de Management en Guadeloupe
Comment utiliser le Management Interculturel en Guadeloupe?
Comment adapter son management aux spécificités locales ?
 

Le 19 .11.2010 à 18h 30 à la Soleillade (à Moudong : plan d'accès)

 

Merci de réserver le nombre de places souhaité (pour vous et vos invités) de préférence par email à : christiane.marie-catherine@wanadoo.fr (ou par téléphone 0690-716664 entre 18h et 21h) avant le 10. 11.2010.

Notre invité sera Monsieur Constantin Weitbrecht, Formateur-Consultant en Management, d’origine allemande, ayant vécu et travaillé pendant 5 Années à New York, vivant en Guadeloupe depuis 11 ans, recherche académique sur le management interculturel appliqué au cas de la Guadeloupe.

Ce diner débat va se dérouler à 18h30 le 19.11.2010 à la Soleillade pour une participation de 30€ par personne. Notre Ami Jérôme nous préparera le  menu suivant :

 

 

  Apéritif :

UN BUFFET APERITIF SERA À VOTRE DISPOSITION

ENTREE

- ASSIETTE FRAICHEUR

REPAS

-  FILET DE DAURADE SAUCE CREOLE

(riz pilaf, RATATOUILLE)

DESSERT

- FONDANT AU CHOCOLAT

Thé ou Infusion

 

Vin rosé : Côtes de Provence

Vin rouge : Bordeaux SUPERIEUR

Eau Plate & Gazeuse

 

 

(Si vous êtes allergiques à certains aliments, merci de le préciser lors de votre réservation)

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 18:07

INDISCRÉTIONS
Eric
Eric Jalton a interpellé le ministre de l’intérieur pour lui demander... la sanctuarisation du campus de Fouillole où des étudiants se sont récemment faits agresser. Il demande la tenue d’un ou plusieurs conseils intercommunaux de sécurité et de prévention de la délinquance de l’agglomération pointoise en vue de la mise en place d’un plan d’actions concertées entre l'UAG, l'Etat, la Région et la communauté d’agglomérations. Qu'en disent MM. Saffache, Fabre, Lurel, Bangou ?..

Pascal
Pascal Saffache, président de l'UAG, est très sensible, quand on parle d'insécurité sur le campus de Fouillole. Interrogé par notre confrère Thierry Fundere, de RCI, il lui a répondu : « Cette question laisserait entendre que le président de l'Université ne fait rien !.. » Ce dont s'est défendu le journaliste. D'autant que M. Saffache a pris le problème au sérieux, ce dès l'an dernier, demandant des patrouilles de police. Lors de l'interview, il a rappelé son expérience quand il était doyen en Martinique. Il avait fait boucler le campus et des policiers avec des chiens avaient traqué les intrus. Il propose de faire la même chose à Fouillole.

Jacques, Jean, Victorin
Le jour du défilé du LKP dans les rues de Pointe-à-Pitre (mardi), Jacques Gillot a expédié à toutes les rédactions un document par lequel il entend démontrer que le Département qu'il préside a tenu les engagements pris dans les accords de 2009. « Sur 21 engagements pris par le conseil général dans le cadre de l’accord du 4 mars 2009, 16 points ont été actés pour seulement 5 en cours d’achèvement », indique-t-il (voir notre précédente édition). Par contre, Jean Fabre, préfet de Guadeloupe, et Victorin Lurel, président de région, sont restés silencieux.

Willy, Jean-Marie
Willy Angèle, du Medef, poursuit son incantation : il nous faut de l'emploi pour une jeunesse formée, il nous faut attirer les touristes, préserver les emplois locaux, etc. Certes, sauf que la grève illimitée annoncée pour le 14 décembre va sûrement dissuader les touristes de venir en Guadeloupe, sabordant la saison touristique des opérateurs de ce secteur (qui emploient du monde) et que les commerçants de la place (qui emploient du monde) ne vont sûrement pas réaliser de belles affaires de fin d'année... Bah, comme dirait Jean-Marie Nomertin, de la CGTG : « Faites des économies, préparez-vous ! »

Gugusses
A la réflexion, ce ne sont pas des gugusses, ceux qui ont acheté des euros estampillés Guadeloupe vendus 10 euros par souscription par la Monnaie de Paris, il y a un mois. Il valent, qualité fleur de coin (jamais touchés, dans un sachet en plastique)... 40 euros ! Il y en a qui ont du flair...
André-Jean VIDAL

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 18:06

INDISCRÉTIONS
Eric
Eric Jalton, sur Canal 10, hier, a réagi au défilé dans les rues de Pointe-à-Pitre. Il n'a pas de contacts, dit-il, avec les leaders du LKP, mais il se tient au courant et porte les revendications — baisse du prix de l'essence, des prix de l'alimentaire, etc. — au niveau national par des questions écrites et des interventions à l'Assemblée.

Alain-Félix
Alain Félix Flémin, secrétaire général de la CGTG, a quitté la co-direction du LKP, tout en soutenant le mouvement. Pourquoi ? Parce qu'il est sans doute déçu des retombées du mouvement de 2009 sur le résultat des élections régionales.
En effet, le PCG, locomotive de l'action sociale, devenu un groupuscule au fil des années, avait l'occasion de se remplumer en profitant du combat social initié par le LKP. Au vu des résultats calamiteux obtenus lors de cette élection et la réélection de maréchal de leur ennemi Victorin Lurel, on peut comprendre que M. Flémin change de cap...

Elie
Belle démonstration que celle d'Elie Domota et du LKP, hier. Il y avait du monde en ville. Avec le retour de la garde prétorienne, les solides membres de la Sécurité LKP. Tee-shirt noir, casquette, pectoraux impressionnants... et sourires conquérants. Des drapeaux rouges, des drapeaux rouges avec le logo de la CGTG, quelques drapeaux tirés du site boowakwala.uptoten.com/drapeau/guadeloupe.html (Imprime et fabrique le drapeau de Guadeloupe pour l'agiter !, dit la pub)... Sur Canal 10 qui filmait en permanence des heures durant, on aurait dit que toute la Guadeloupe était là. La préfecture — c'était en incrustation au bas de l'écran— estimait à 6 500 le nombre des marcheurs. Comme diraient les Corses : « Chi lo sa ? »

Jean
Jean Fabre, préfet de Guadeloupe, sur RFO, dimanche : « C'est une pantalonnade ! Ça n'a aucune valeur !.. » Il donnait son sentiment sur les cartes d'identité Nasyon Gwadloup émises par le FKNG quelques jours auparavant. Mais non, mais non, il faut attendre qu'un possesseur de cette carte se présente à la PAF, à l'aéroport Pôle Caraïbe, lors des prochaines vacances pour pouvoir dire si ce document a une valeur ou non. Et s'il est admis, la tête du préfet !.. Chiche... A force de ténacité on a bien fait admettre au plan international que la Guadeloupe a un drapeau distinct de celui de la France ! Tapez drapeau guadeloupe sur internet pour voir.

Philippe
Philippe Roquelaure est depuis deux ans directeur régional d'Orange Guadeloupe, directeur des relations extérieure et en charge des relations avec les élus ainsi qu'avec la presse. Cet homme charmant que nous avions directeurgénéralisé un peu tôt, reste à ce poste où son savoir-faire a permis de gérer au mieux avec le comité directeur d'orange Caraïbe la situation difficile en 2009.
 Depuis le 17 décembre 2009, le directeur Général d’Orange Caraïbe est André Dupic, qui a succédé à Jean-Philippe Gay. Il est aussi directeur territorial de France Telecom pour les Antilles-Guyane depuis la même date.
André-Jean VIDAL

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 15:37

Le 27/10/2010
Tous acteurs de la fête malouine

Même si le froid s'empare doucement des pontons de la Route du Rhum - La Banque Postale, Saint-Malo cultive au jour le jour son ambiance festive et s'apprête à vivre au rythme chaloupé du carnaval antillais. A bord des bateaux, les visites de personnalités, de partenaires ou d'amis se succèdent, quand demain sonnera l'heure de la traditionnelle journée réservée aux enfants. Dans l'ombre ou en lumière, une "armée" de bonne volonté composée de 350 bénévoles de la SNBSM œuvre au parfait déroulement de ce rendez-vous attendu. Acteurs à terre ou en mer, tous sont en scène pour la grande représentation de dimanche prochain.

Jamais sans les bénévoles

Mécanique bien huilée, pour sa neuvième édition La Route du Rhum - La Banque Postale peut compter sur 350 bénévoles passionnés qui n'auraient manqué pour rien au monde l'évènement. Originaires de la région de Saint-Malo pour la plupart, étudiants, retraités ou salariés en vacances, ils sont des acteurs essentiels au succès de cette semaine de départ. Impressions de ces hommes et femmes dans la course :

Tiphaine, 19 ans : "Pour ma première Route du Rhum - La Banque Postale, je suis bénévole à l'accueil accréditation presse et invités. Je suis étudiante en tourisme et pour moi c'est forcément intéressant d'être sur cet évènement. L'ambiance est très sympa et nous avons même eu la chance avec mes collègues d'aller visiter Oman Air Majan, le bateau de Sidney Gavignet. Il y a aussi quelques petites anecdotes parfois, notamment des gens connus, dont les visages nous disent quelque chose mais que nous ne reconnaissons pas forcément... sauf quand on leur demande leurs papiers d'identité!".

Maël, 27 ans : "C'est la première fois que je suis bénévole sur la course, mais mon père qui est là aussi est à l'accès ponton depuis la dernière édition. Comme je suis en vacances cette semaine, je me suis proposé. L'intérêt pour moi c'est d'être au plus près des pontons, d'avoir accès au Palais du Grand Large, d'être au cœur de la fête et d'essayer d'approcher quelques stars".

Yann, 20 ans : «  Pour moi, c’était important de participer à l’événement. Etre bénévole, c’est une chance inouïe car c’est non seulement la possibilité de vivre la course de l’intérieur mais aussi l’occasion de voir les bateaux de plus près, de faire de jolies rencontres avec les skippers. J’aime La Route du Rhum, mais aussi ses coulisses. Je suis très content de faire partie de la fête ».

Jean-Pierre, 67 ans : « C’est la quatrième fois que je me porte bénévole sur la Route du Rhum – La Banque Postale. J’aime l’ambiance et retrouver des gens d’une édition sur l’autre. J’apprécie aussi le contact avec ces marins magnifiques qui savent nous faire rêver. Ils sont toujours très disponibles pour signer quelques autographes. Je sais que certains de mes amis n’envient… »

Gérard, 59 ans : « Je suis président d’une association de bénévoles dans ma commune. Nous nous occupons de nettoyer la baie du Mont-Saint-Michel. C’est un tout petit truc par rapport à La Route du Rhum - La Banque Postale et pour moi, c’est vraiment incroyable de découvrir la gigantesque organisation d’une course comme celle-ci. C’est intéressant. Passionnant même. J’ai beaucoup de plaisir à être ici ».

René, 60 ans : « Avant, j’étais instituteur et je venais avec mes élèves. Aujourd’hui, je suis en retraite  et, comme en 2006, j’ai choisi de rendre service, de participer à l’événement. C’est une machine incroyable et les gens qui viennent sur le village ont des étoiles plein les yeux. Moi je suis dans le bateau qui reste à terre, mais je suis à l’intérieur quand même et je suis fier de cela ».

Frédérique, 56 ans: « La Route du Rhum - La Banque Postale est une manifestation très dynamique. Les équipes qui participent à son organisation le sont aussi. L’ambiance est absolument fantastique. Les bénévoles s’entraident, il y a vraiment de la convivialité. C’est un vrai plaisir d’être ici à Saint-Malo. Moi, je prends une semaine de vacances pour vivre ça car c’est réellement magique ».

Carnaval en octobre

Dans quelques jours ou quelques semaines, la Guadeloupe fêtera les marins de la neuvième Route du Rhum - La Banque Postale, valeureux solitaires qui auront rallié les remparts de Saint-Malo à Pointe à Pitre. Mais avant le coup d'envoi de dimanche prochain, le soleil des Antilles va animer les quais de la cité corsaire. Deux groupes carnavalesques, Vidim et Kontak, proposant un mélange épicé de percutions, de cuivres et de danseuses, vont ainsi déambuler à proximité des pontons de la course et en Intra-Muros, quotidiennement d'ici au départ. Retrouvez ces instants festifs mercredi de 14 heures à 18 heures, vendredi et samedi de 11 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 h 30 et samedi soir avant la présentation de l'ensemble des skippers au grand public. De quoi se réchauffer quand la température automnale prend ses droits à Saint-Malo.

Les chiffres du jour

35 000 visiteurs uniques ont été recensés sur le site internet officiel de la Route du Rhum - La Banque Postale, une fréquentation qui ne cesse de croître.

630 journalistes ont fait une demande d'accréditation auprès du service de presse de la course.

 

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 15:36

Contact-Entreprises
 
Lamentin, le 26 octobre 2010
 
A l'attention de Monsieur le Préfet de la Martinique
Préfecture
97200 Fort de France
 
Objet: Zone de la lézarde bloquée par des manifestants.
 
Monsieur Le Préfet,
 
La zone industrielle de la Lézarde est bloquée depuis ce matin par une dizaine de manifestants. C'est toute une zone économique, des centaines d'entreprises bloquées et des centaines de salariés qui doivent stationner dangereusement sur le bord de l'autoroute pour accéder à pied à leurs lieux de travail. De plus, ces derniers sont menacés lorsqu'ils tentent de passer le barrage.
 
Au-delà du préjudice moral supporté par tous, alors que les entreprises sont en grande difficulté et déjà très fragilisées par un contexte économique très dégradé, elles se trouvent confrontées à des actes de blocage illégaux.
 
Nous vous demandons de prendre toutes les mesures nécessaires pour rétablir l'ordre public afin de permettre à chacun de retrouver sa liberté de circuler et de travailler tout comme cela a été fait en métropole.
 
Nous vous prions de croire, Monsieur Le Préfet, en nos respectueuses salutations.
 
Olivier HUYGHUES DESPOINTES
Président
 
Centre d'affaires Gouyer - Bât. Pierre - 2eme étage· Californie - 97232 Lamentin • Tél.: 0596721876.0596721419 . Fax: 0596721232
E·mail: info@contact-entreprises.com • Association N° 9721004019 régie par la loi du 01/07/1901 - Siret 428078117 00010

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