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5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 15:53

INDISCRÉTIONS
Gugusses
Il aura fallu trois semaines aux étudiants en médecine de l'UAG en Guadeloupe pour voir leur premier professeur en chair et en os. Celui-ci leur a précisé qu'il n'a jamais vu des étudiants devoir prendre des photos et enregistrer les cours, à Bordeaux ou dans les autres faculté où il enseigne. Que cela était inadmissible d'autant que les étudiants en métropole ont accès aux cours via internet.
Que s'est-il passé ? En Guadeloupe, ces étudiants doivent arriver une heure avant le début du cours pour pouvoir se mettre dans l'amphi à une place stratégique pour photographier les cours et les enregistrer via un magnétophone. Car c'est un film qui passe sur un écran, actionné par un appariteur. Nul moyen de temporiser le débit d'un professeur filmé, ni de poser la moindre question ! Comment fait celui qui n' a pas d'ordinateur, de disque dur d'appoint, pas d'appareil photo et pas de magnétophone ? Il ne sera pas dans les 10% retenus pour la seconde année...

Marie-Luce
Dans un sondage pour le Figaro magazine, il apparaît que 34% des sondés pensent qu'on peut supprimer le ministère délégué à l'Outre-mer. C'est triste pour Marie-Luce Penchard, actuelle titulaire du job...

Elie
Voix du peuple pour les uns, dangereux agitateur pour les autres : Elie Domota a cristallisé, l'an dernier, autour de son nom toutes les passions. Mais derrière le culte de la personnalité, qui est vraiment Elie Domota ? Elie Domota est l’invité de Grand Angle, sur RFO, pour un face à face avec Sophie Pointaire. Un peu de pub à la télé avant le 26 octobre (jour de mobilisation) ne peut pas faire de mal...

Victorin
Inlassablement, la rumeur court d'un ministère de l'Outre-mer pour Victorin Lurel. Alors que le président du conseil régional ne cesse pas de tacler le gouvernement... Et que M. Lurel attend avec impatience le retour de ses amis au pouvoir, en 2012. Sauf qu'il n'a quasiment aucune chance d'être alors ministre, les places étant rares et les postulants nombreux, après dix ans d'attente. La seule chance pour Victorin Lurel d'être ministre un jour est de céder aux appels de Nicolas Sarkozy. Mais, veut-il d'un maroquin ministériel distribué par le président de la République ?.. Il en a pris des coups ces derniers temps, mais là, ce serait une volée de bois vert !

Hervé
Hervé Damoiseau, p.-d.g. des rhums Damoiseau, a choisi Fashion Caraïbe, de l'écrivain Anne de Laval, paru chez Mon Petit Editeur, comme objet promotionnel de sa communication pour la Route du Rhum.
André-Jean VIDAL

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 21:21

Motion-Presidents--CCI--DOM-Ant.-Guyane.jpg

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 21:19

Kreyol an mouvman : Le Conseil Général lance la 2ème édition du Mois du Créole

Le Conseil Général dévoilera, à travers son bureau de la promotion de la langue et de la culture créoles la programmation du Mois du créole :

Samedi 2 octobre  2010 à 10h au Fort Fleur d’Epée, au Gosier.


Dans le cadre de la deuxième édition de cet évènement, la collectivité départementale organisera, tout au long du mois d’octobre, de nombreuses manifestations destinées à sensibiliser la population sur la richesse de notre patrimoine culturel, à faire vivre la mémoire, valoriser les échanges et les débats autour de problématiques actuelles mais également à faire connaitre des pratiques tombées en désuétude.

Le lancement du Mois du créole aura lieu en présence du docteur en linguistique créole Juliette FACTHUM SAINTON et sera également l’occasion de présenter l’édition actualisée du Manuel de la graphie du créole guadeloupéen.

Afin de prendre toute la mesure de cet évènement et relayer l’information auprès du plus grand nombre, la présence de votre média est vivement sollicitée ce samedi 2 octobre  2010, à 10h00 au Fort Fleur d’Epée, au Gosier.

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 17:38

UN café/débat qui se tiendra à la Casa del tango, Ce jeudi 30 septembre, à 19 heures. Le conférencier, de la nouvelle génération des philosophes guadeloupéens –et qui mérite vraiment d’être écouté- nous parlera, en ce premier mois de rentrée scolaire, beaucoup de l’école.


Thème :
La misère intellectuelle au temps du consumérisme.
Par Jenner Benmister.
(Dans un récent entretien, Alain Badiou disait très clairement et laconiquement à son interlocuteur Finkielkraut : « l’école est foutue ! Il est donc difficile de ne pas être en accord avec un tel diagnostic. L’école est foutue, certes, mais en quel sens et pourquoi ? Serait-ce à cause du développement du capitalisme mondialisé ? Mais celui qui soutient une telle thèse ne risque-t-il pas de se ridiculiser en accusant « un processus sans sujet » ? de tous les maux possibles et inimaginables ? Ne faut-il pas être un gauchiste attardé, comme Badiou, pour accuser ainsi le « grand capital » de tous les maux, désormais considéré comme Le bouc émissaire universel, le Grand Satan, quoi ? Je crois pourtant que cette thèse, en apparence simpliste, est fondée et qu’il faut en prendre la mesure exacte, en vue d’une action ajustée à la situation. Pour cela, il faut comrendre en quoi le capitalisme généralisé détruit en effet les existences dans leur intimité et engendre ce qu’Adorno appelait une « vie mutilée ». Alors de quoi s’agit-il exactement quand on parle de la vie mutilée et de la misère intellectuelle ?)
La Casa del tango, 651 Rue Alfred Lumière, à Jarry. Salle climatisée. Possibilité de restauration légère avec bar.

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 17:34

 
Etude nationale IME sur le stress au travail 
 
Du stress de l’individu à la « biocompatibilité » de l’organisation :  
l’Institut de Médecine Environnementale (IME) présente les résultats de son étude et ses 
recommandations pour mieux évaluer, comprendre, prévenir le stress au travail et les RPS 
 
 
 
Selon  l’étude  nationale  menée  par  l’IME  auprès  de  plus  de  3 000  personnes1,  une  large  majorité  des  salariés  se disent  tellement  stressés  par  leur  travail  que  cela  les  rend  dépressifs,  insomniaques  ou  souffrants2  et 
reconnaissent subir des problèmes organisationnels3 rendant difficile l’accomplissement de leurs missions.  
Ce  stress  aux  effets  pathologiques,  indicateur  de  Risques  PsychoSociaux,  est  fortement  lié  à  la  « non 
biocompatibilité » du poste occupé, autrement dit l’inadaptation du poste au fonctionnement humain4.  
Découvrez  les  résultats  de  cette  étude  et  les  recommandations  de  l’IME  pour  gérer  le  stress  de  l’individu  et 
développer la biocompatibilité de l’organisation en vue d’une meilleure prévention des Risques PsychoSociaux. 


Mieux comprendre pour mieux gérer.

 

Dans  la  lignée  des  démarches  institutionnelles  concrétisées  notamment  par  les  rapports  Nasse‐Légeron5, 
Gollac6  et  Lachmann7,  l’IME  a  souhaité  participer  au  développement  de  la  connaissance  scientifique 
interdisciplinaire  sur  la  question  du  stress  au  travail  et  à  une  démarche  nationale  de  prévention  /  gestion  du 
stress  et  des  Risques  PsychoSociaux.  Dans  l’étude  nationale  IME  sur  le  stress  au  travail  et  ses  causes,  l’Institut 
de  Médecine  Environnementale  vise  à  comprendre  les  interactions  des  dimensions  individuelles,  managériales 
et  organisationnelles  en  jeu,  afin  de  contribuer  à  définir  des  plans  d’action  efficaces  et  ciblés,  tant  aux  niveaux 
sociétal et institutionnel qu’au niveau des organisations elles‐mêmes. 


Stress, stressabilité et stress pathologique 


Plus  de  la  moitié  des  personnes  interrogées  disent  qu’elles  sont  stressées  au  travail.  Ce  vécu  de  stress  a  été 
étudiée  à  travers  quatre  questions :  trois  qui  testent  la  « stressabilité »  (ou  « stress  cognitif »)  et  une  quatrième qui 
teste le « stress pathologique », c’est‐à‐dire le stress qui a des conséquences sur la santé.  
                                                
1
 Etude conduite du 25 mai au 25 juillet 2010 auprès de 3052 personnes (2840 questionnaires online + 212 questionnaires papier). 
2
 Cf. 60,7 % des personnes interrogées ont répondu « Assez d’accord », « D’accord » ou « Tout à fait d’accord » à la question 13 : « Mon travail me stresse 
tellement que cela me rend dépressif(ve), insomniaque ou souffrant(e) (douleurs, maladies...). » (45,5 % ont répondu « D’accord » ou « Tout à fait d’accord »). 
3
 Cf. 55 % des personnes interrogées reconnaissent subir des problèmes organisationnels dus à une mauvaise circulation de l’information, un déséquilibre 
entre leur autonomie et leur responsabilité dans les missions confiées et un décalage entre le travail qu’ils font au quotidien et leur vrai cœur de fonction 
(8 questions posées sur le sujet de l’organisation). 
4
 Corrélation très forte (r = 0,53). Pour mémo, lire l’encadré sur les corrélations.  

Rapport « Détermination, mesure et suivi des risques psychosociaux au travail » (publié le mercredi 12 mars 2008) de Philippe Nasse, magistrat 
honoraire et Patrick Légeron, médecin psychiatre, remis à Xavier Bertrand, Ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité. 

Rapport « L’observation statistique des risques psychosociaux au travail » (publié le 27 novembre 2009) de Michel Gollac, Membre du Centre de 
recherche en économie et Statistique (http://www.cnis.fr/agenda/DIV/DIV_0191.pdf). 

Rapport « Bien‐être et efficacité au travail : 10 propositions pour améliorer la santé psychologique au travail » (publié le 17 février 2010) fait à la 
demande du Premier Ministre par Henri LACHMANN, Christian LAROSE et Muriel PENICAUD, avec le support de Marguerite MOLEUX.
 

Sur  le  plan  de  la  « stressabilité »,  53  %  des  personnes  affirment  stresser  facilement  face  à  un  problème8,  67  % 
pensent  stresser  davantage  que  leurs  collègues9  et  52  %  déclarent  stresser  pour  un  rien  en  se  mettant  toutes 
seules  sous  pression10.  Sur  le  plan  du  stress  pathologique,  60  %  des  personnes  interrogées  disent  stresser 
tellement au travail que cela les rend dépressives, insomniaques, souffrantes (douleurs, maladies…) 11. 
Or,  cette  étude  révèle  que  ce  stress  dit  « pathologique »  est  fortement  lié  à  la  «  non  biocompatibilité  »  du  poste 
occupé, autrement dit l’inadaptation du poste au fonctionnement humain (r = 0,53).  
D’ailleurs, 55 % des répondants reconnaissent subir des problèmes organisationnels dus à une mauvaise circulation 
de  l’information,  un  déséquilibre  entre  leur  autonomie  et  leur  responsabilité  dans  les  missions  confiées  et  un 
décalage entre le travail qu’ils font au quotidien et leur vrai cœur de fonction (cf. 8 questions posées). 
Le  stress  «  pathologique »  est  aussi  fortement  lié  à  l’existence  de  rapports  de  force  avec  leurs  managers  et 
collaborateurs12 : une personne sur deux déclare rencontrer ce type de problèmes au travail 13. 
Enfin,  l’étude  confirme  le  rôle  important  du  manque  de  reconnaissance  dans  la  survenue  du  stress 
pathologique  (r  =  0,39)  mais  aussi,  à  l’inverse,  du  rôle  préventif  d’un  management  attentif  à  mobiliser  les 
motivations profondes et durables des salariés (r = ‐0,21). 
Surprenant :  
Les hommes sont plus stressés au travail que les femmes sur tous les aspects du stress évalués ici et dans toutes 
les situations professionnelles… alors que bien des enquêtes présentent les hommes comme moins stressés !  
En fait, le stress habituellement identifié est d’abord l’anxiété (« stress de fuite ») et, dans une moindre mesure, la 
tendance  dépressive  (« stress  d’inhibition ») ;  alors  que  la  combativité  (induite  par  l’énervement  et  la  colère,  ou 
« stress de lutte ») souvent cataloguée de « bon stress », n’est pas inclus dans la plupart de ces études.  
De  plus,  cette  combativité  induite  par  le  stress  de  lutte  est  plutôt  valorisée  chez  les  hommes,  qui  expriment 
généralement moins que les femmes leur ressenti négatif. 
En  évaluant  les  différentes  composantes  de  la  stressabilité  et  du  stress  pathologique,  l’étude  nationale  IME 
révèle un stress professionnel plus élevé chez les hommes. 
5 idées clé pour développer la biocompatibilité  
D’après  l’analyse  réalisée  par  l’Institut  de  Médecine  Environnementale,  il  apparaît  que  le  plus  facile  mais  aussi  le plus efficace pour réduire le stress au travail et prévenir les Risques PsychoSociaux serait de rendre les postes et le 
management « biocompatibles », quel que soit le mode d’organisation : pyramidal, matriciel, en réseau…  
En  pratique,  voici  donc  les  5  recommandations  de  l’IME  à  l’« entreprise  France »  et  à  toutes  les  organisations 
désireuses de développer la « biocompatibilité » de l’organisation et du management : 
Etablir  une  circulation  de  l’information  ouverte  qui  permette  à  chacun  d’obtenir  ou  de  transmettre  des 
informations utiles sans craindre de conséquences négatives pour lui‐même (conflit d’intérêts…) 
Donner à chacun toute l’autonomie nécessaire pour exercer pleinement ses différentes responsabilités 
Se concentrer sur les tâches relevant de son cœur de fonction et apprendre à mieux déléguer le reste 
Former  les  managers  à  la  prévention  /  gestion  des  rapports  de  force  en  abandonnant  le  management  par  le 
stress et la compétition interne 
Manager  davantage  en  fonction  des  motivations  profondes  durables  et  des  capacités  d’adaptation  qui 
diminuent la sensibilité à l’échec ou au manque de reconnaissance. 
                                                

Cf. 52,8 % personnes interrogées ont répondu « Assez d’accord », « D’accord » ou « Tout à fait d’accord » à la question 10 : « Quand je dois gérer un 
problème, je me sens facilement anxieux(se), irritable ou découragé(e) (stressé(e)). » (30,7 % ont répondu « D’accord » ou « Tout à fait d’accord »). 

Cf. 66,6 % des personnes interrogées ont répondu « Assez d’accord », « D’accord » ou « Tout à fait d’accord » à la question 11 : « A situations comparables, je 
stresse davantage que la plupart de mes collègues. » (42,7 % ont répondu « D’accord » ou « Tout à fait d’accord »). 
A noter qu’il est mathématiquement impossible que 67 % des gens stressent plus que leurs collègues : ceci met en évidence la sous‐évaluation du stress des 
autres sans doute dû au fait qu’on cherche à le cacher et à une certaine sur‐évaluation du sien ! 
10 
Cf. 51,9 % des personnes interrogées ont répondu « Assez d’accord », « D’accord » ou « Tout à fait d’accord » à la question 12 : « Je me stresse souvent pour 
un rien parce que je me mets tout(e) seul(e) sous pression. » (33 % ont répondu « D’accord » ou « Tout à fait d’accord »). 
11
 Cf. note n°2 ci‐dessus. 
12
 Corrélation élevée (r = 0,35) entre la question 13 (stress pathologique) et la question 44 (rapports de forces dans le service). 
13
 Cf. 51,5 % des personnes interrogées ont répondu « Assez d’accord », « D’accord » ou « Tout à fait d’accord » à la question 44 : « Les rapports de forces font 
partie du fonctionnement normal dans mon service. » (31,4 % ont répondu « D’accord » ou « Tout à fait d’accord »).
 
Qu’est‐ce que la « biocompatibilité » ? 
Selon  l’IME,  la  «  biocompatibilité  »  est  ce  qui  rend  un  poste,  l’organisation  et  le  management  compatibles  avec 
le  fonctionnement  humain.  Elle  définit  des  caractéristiques  universelles  qu’ils  doivent  posséder  (en  termes  de 
circulation  de  l’information,  de  cohérence  entre  pouvoirs  de  décision  et  responsabilités,  de  centrage  sur  le  cœur de 
fonction, de délégation, de communication managériale…) pour être compatibles avec le fonctionnement d’un être 
humain, indépendamment des compétences ou qualités personnelles de celui‐ci. 
La  «  biocompatibilité  »  se  distingue  donc  du  « casting »  qui  définit  les  caractéristiques  particulières  que  doit 
posséder l’individu pour correspondre le mieux possible à son poste (notamment en termes de compétences et de « 
personnalité » : esprit d’équipe, ouverture, franchise, motivation, gout du challenge, affirmation…). 
 
 
 
Pour mémo : 
Cette  étude  apporte  2  types  d’informations :  des  valeurs  descriptives  et  des  valeurs  plus  explicatives,  les 
corrélations.  Une  corrélation  est  un  calcul  mathématique  permettant  d’évaluer  si  2  facteurs  sont  liés  et  évoluent 
ensemble, ce qui laisse supposer l’existence de relations de causes et d’effets. 
Si la corrélation entre 2 facteurs est maximum (r = 1), elle signifie qu’il y a parallélisme total d’évolution entre les 2, 
ce qui laisse supposer l’existence d’une relation de cause à effet directe. 
Si cette corrélation est nulle (r = 0), les 2 facteurs sont indépendants. 
Si  cette  corrélation  est  négative  (r  =  entre  0  et  ‐1)  cela  signifie  que  les  2  facteurs  sont  antinomiques  ou  antidotes  : 
développer l’un revient donc à se protéger de l’autre ! 
 
 
 
L’Institut de Médecine Environnementale (IME) 
Institut  de  recherche,  conseil  et  formation,  l’IME  réalise  un  transfert  de  compétences  entre  les  neurosciences, 
sciences  du  comportement,  et  les  domaines  de  la  santé,  du  management,  de  l’organisation  en  entreprises  et 
institutions, dans la perspective d’un développement durable. 
 
 
 
Jacques Fradin, Directeur de l’IME 
Docteur  en  Médecine,  Comportementaliste  et  Cognitiviste,  membre  de  l’Association  Française  de 
Thérapie  Comportementale  et  Cognitive,  Jacques  Fradin  dirige  l'Institut  de  Médecine 
Environnementale  (IME),  qu’il  a  fondé  à  Paris  en  1987,  et  y  anime  une  équipe  de  recherche  en 
neurosciences  cognitives  et  comportementales,  en  partenariat  avec  l’Université  de  Paris  8  et 
l’Institut  de  Recherche  Biomédicale  des  Armées  –  Antenne  IMASSA  (Institut  de  Médecine  Aérospatiale  du 
Service de santé des Armées). 
Il  est  expert  auprès  des  entreprises  et  des  institutions  dont  l’Association  Progrès  du  Management  (APM),  la  cellule Risques  PsychoSociaux  de  la  Direction  Générale  du  Travail,  le  Réseau  Francophone  de  Formation  en  Santé  au Travail sous la tutelle du Ministère du Travail et le Plan Urbanisme Construction et Architecture (PUCA). 
Conférencier  lors  d’événements  scientifiques  ou  professionnels,  Jacques  Fradin  est  aussi  auteur  ou  co‐auteur  de 
nombreux  articles  et  ouvrages,  allant  de  la  publication  scientifique  à  la  vulgarisation  des  neurosciences,  avec 
notamment  :  Manager  selon  les  Personnalités  (2006)  et  L’intelligence  du  stress  (2008),  publiés  aux  Editions 
d'Organisation  /  Groupe  Eyrolles  ;  Crises  et  facteur  humain.  Les  nouvelles  frontières  mentales  des  crises, 
ouvrage collectif sous la direction de Thierry Portal, aux Éditions De Boeck Université (2009). 
 
 

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 17:32

INDISCRÉTIONS
David
David Tibilan vient d'être nommé secrétaire général aux affaires économiques et régionales (voir par ailleurs). Ce foyalais de 57 ans, a été, entre autres fonctions au cours d'une carrière riche chef de la délégation française au Codex Alimentarius à Ottawa (Canada) relatif à l’étiquetage des denrées alimentaires en 1987 et 1989. Ce qui devrait lui permettre de vérifier lui-même l'étiquetage dans les hypers chez nous puisque les services chargés de le faire sont en sous-effectif chronique !

René
Le Président de l’Association des maires, René Noël a convié ses mandants à une séance de travail aujourd'hui — à 8h 30 à la Salle des délibérations de la mairie de Baillif. Il s'agira de débattre du projet de construction de la structure unique de traitement des déchets. Ce à quoi semblent s'opposer les maires... qui doivent estimer que les décharges sauvages c'est l'idéal. Autre sujet : la mise en jeu de la responsabilité des chefs d’édilité en période cyclonique, notamment par l’élagage des arbres. Là, nos maires sont champions qui font sauter sans restriction les arbres qui agacent les uns ou les autres... Pas de pitié pour les espaces ombragés et manfou les gens qui n'ont qu'à circuler en voiture !

Geneviève et Josette
Quand Josette Emmanuelle, sa représentante en Guadeloupe, reçoit un courrier de Geneviève de Fontenay, ça donne : « Ma très chère Josette, je peux te confirmer que notre finale se déroulera dimanche 5 décembre à Paris dans un cadre prestigieux... Tout va très bien ! Partout salles pleines, public enthousiaste, candidates qui soutiennent  notre combat. Presse positive ! Que du bonheur ! Je t'embrasse affectueusement. Ta Geneviève. »

Ary
Ary Broussillon va faire paraître, chez Nestor Editeur, Petit-Bourg 1910. Il s'agit de relater la mort de sept habitants de la commune, tués au cours d'échauffourées avec les gendarmes. « La tragédie du octobre 1910 était l'aboutissement d'une lutte qui, pendant 10 ans, avait opposé à Petit-Bourg comme dans le reste de la Guadeloupe, les partisans d'Hégésippe Légitimus à ceux d'Achille René-Boisneuf », dit-il.

Marine
Marine Robillard, fille de Jean-François Robillard, ancien Monsieur Croisière au PAG, élevée et éduquée en Guadeloupe, vient d'être reçue docteur en ethno-écologie avec mention très honorable et félicitations du jury réuni, hier, au Muséum d'histoire naturelle, à Paris. Elle a planché sur l'impact des politiques environnementale sur des populations de pygmée en Afrique centrale... En matière d'environnement chez nous aussi il y a des pygmées !
André-Jean VIDAL


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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 17:31

INDISCRÉTIONS
Victorin
L'UGTG fait circuler un document intitulé Analyse juridique des audits techniques et financiers de la délégation de service public
du câble sous-marin Guadeloupe numérique exploité par la société GCN. De cette analyse, demandée par le Conseil régional que préside Victorin Lurel, il ressort que l'exploitation n'est en rien conforme au contrat passé entre la Région et GCN, tant du point de vue technique que financier. La conclusion est simple : « La délégation de service public pourrait être plus rentable et se traduire en conséquence, depuis longtemps, par une baisse substantielle des tarifs au bénéfice des usagers du service public... » Il convient selon les cabinets Tactis et Michel Kopler, consultants finances locales, d'envisager « la négociation d'un autre avenant pour acter les mises en conformité du délégataire avec les non-conformités d'ordre technique, organisationnel et financier avec les engagements contractuels relevées dans le cadre de l'audit. » Il y a de l'eau dans le gaz !

Alfred
Alfred Dona-Erié, maire d'Anse-bertrand, confronté à un avis de la chambre drégionale des compte laissant apparaître nettement un déguisement à la baisse du déficit communal, entend ne pas augmenter les impôts. Ne lui reste plus qu'à dégraisser sa mairie ! Les maires n'ont que deux solutions en cas de déficit : augmenter les impôts et fâcher la population, donc risquer de perdre des électeurs ou dégraisser dans les effectifs à la mairie, mais là, c'est quasi la grève assurée. Cruel dilemme.

Jacques
Jacques Gillot lance la route de l'esclavage, circuit reprenant les sites remarquables de l'histoire de la Guadeloupe. Belle idée concrétisée par la préservation de sites. A suivre.

Gugusse
L'argent du contribuable est pour certains, même en période de crise, une manne dans laquelle on puise sans vergogne. Ainsi d'un responsable de lycée qui veut faire construire un préau dans son établissement à la seule fin d'y faire installer un panneau portant le nom d'un professeur d'université aujourd'hui décédé bien connu localement. S'il n'y a rien à dire quant à la notoriété de ce professeur de médecine, ceux qui l'ont connu pensent qu'il aurait refusé que l'on fasse 300 000 euros de travaux pour construire le support d'un panneau portant son nom. D'autant qu'il y a des murs vierges dans ce lycée !..

Gugusse 2
Une camionnette de la commune de Trois-Rivières qui se promène à Sainte-Rose, c'est troublant. Nous imaginerons donc que le conducteur n'était pas en train de se livrer à des activités personnelles avec le bien communal (et le plein d'essence) mais qu'il était là dans le cadre d'une mission à lui confiée par le maire, Hélène Vainqueur-Christophe... Sans doute aller chercher le courrier !

Eric
Le député-maire des Abymes Eric Jalton s’étonnait, hier, des axes budgétaires choisis par le gouvernement et proposés dans son projet de budget 2011. « Il semble, en effet, en total désaccord avec la réalité économique «, dit-il. Ou c'est un bon comédien et il feint de s'étonner alors qu'il s'attendait comme toute la Guadeloupe à ce qui a été décidé ou il est très crédule... Et là !..
André-Jean VIDAL

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 21:41

PLF 2011 :
La valse d’hésitations continue…



Le député-maire Eric JALTON s’étonne des axes budgétaires choisis par le gouvernement et proposés dans son projet de budget 2011. Il semble, en effet, en total désaccord avec la réalité économique.

Outre le photovoltaïque et le passage de 50 à 25% des exonérations fiscales, ce projet de loi de finances propose la fin des exonérations relatives aux départs volontaires à la retraite, l’augmentation de la TVA sur le « triple play » (téléphone, Internet, télévision),  l’abaissement des exonérations fiscales en direction des jeunes chefs d’entreprises innovantes, la réduction des financements attenants aux politiques pour l’emploi, la suppression de 16 120 postes dans l’Education nationale…

Rigueur budgétaire ne peut signifier hypothèque sur l’avenir de nos enfants, dans un territoire où un guadeloupéen sur quatre révèle des lacunes en écriture. Elle ne peut signifier rigueur des politiques d’emploi sur un territoire qui compte plus de 20% de chômeurs. Elle ne peut signifier abandon de jeunes chefs d’entreprise engagés sur des créneaux d’avenir (nouvelles technologies, environnement notamment), fondamentaux au développement économique durable de l’archipel.

Le député-maire Eric JALTON en appelle, une nouvelle fois à la redéfinition de la rigueur dans le sens d’une meilleure évaluation des politiques gouvernementales, dans le sens de la logique avec les réalités économiques ultramarines et singulièrement guadeloupéennes.

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 21:38

Tactis BIRD & BIRD
TIC et Territoires

CABINET MICHEL KLOPFER
Consultants Finances Locales


ANALYSE JURIDIQUE DES AUDITS TECHNIQUES ET
 FINANCIERS
DE LA DELEGATION DE SERVICE PUBLIC
DU CABLE SOUS MARIN GUADELOUPE NUMERIQUE
EXPLOITE PAR LA SOCIETE GCN

La région Guadeloupe a demandé au cabinet Bird & Bird d'analyser les résultats des audits technique et financier qui ont été menés respectivement par les cabinets Tactis et Michel Klopfer au regard des engagements contractuels de la société GCN en tant que délégataire du service publie du câble sous-marin « Guadeloupe numérique » et de formuler des recommandations pour remédier aux éventuels dysfonctionnement et/ou non respect des engagements contractuels constatés par les auditeurs techniques et financiers.
I. Au regard des résultats de l'audit technique
Les résultats de l’audit technique appellent de la part du cabinet Bird & Bird les remarques suivantes :
1.1 Sur le nombre de paire de fibres allumées sur le réseau n'est pas conforme à celui indiqué dans le rapport d'exploitation 2008 et la liaison de transmission Sainte- Croix — Saint Martin
Cette incohérence constitue non seulement un non respect du titre III du contrat de concession sur les conditions d'exploitation, et plus particulièrement de l'article 17, mais également une violation des articles L. 1411-3 et R.1411-7 111 du CGCT imposant notamment un compte-rendu précis des conditions techniques d'exploitation du service public.
1.2 Sur les acquisitions et ventes par GCN sur différents segments du câble et l'architecture du réseau
L'audit technique souligne que l'architecture du réseau peut être modifiée à tout moment par configuration logicielle et la mutualisation d'équipement très poussée qui a été effectuée par GCN ne permet pas une séparation nette des activités de GCN, MCN, SCF et Antilles Crossing par la série d'achat et ventes d'IRU effectuées entre GCN et ses sociétés soeurs.
Ce constat laisse apparaître le non respect des engagements contractuels suivants :
- d’une part, les principes de l'article 3 du contrat de concession et des annexes 5, 6 et 7 qui ont également valeur contractuelles dans la mesure ou ces dispositions définissent les principales caractéristiques techniques mais également les conditions de mise en place et d'exploitation des éléments du câble sous-marin « Guadeloupe numérique » que le Concessionnaire s'est engagé à respecter :
- d'autre part, les principes encadrant le périmètre de la concession tels que posés à l'article 5 du contrat de concession qui prévoit que le Concédant est le seul à pouvoir modifier le périmètre de la présente concession pour des raisons économiques ou techniques. Or, en ayant modifié le périmètre du réseau et en pouvant modifier à tout moment l'architecture du réseau, les activités de GCN ne se distinguent plus nettement des activités effectuées par ses sociétés soeurs qui sont également des concurrentes de GCN. En conséquence, cela se traduit par une


immixtion du délégataire dans les prérogatives du Concédant qui n'est pas conforme à l'article 5 du contrat de concession.
1.3. Sur l'état des lieux des biens de retour
L'audit technique laisse apparaître que les biens de retour ne sont pas tous clairement répertoriés et qu'il faudrait compléter la liste dans la mesure où des équipements qui devraient y figurer sont manquants. Par ailleurs, les recettes des IRU vendues entre GCN. MCN, SCF et Antilles Crossing n'ont apparemment pas fait l'objet de recettes, ce qui engendre une certaine opacité dans l'établissement de l'inventaire des éléments composant le réseau public géré par GCN.
Cette opacité d'information sur certains équipements devant figurer dans les biens de retour n'est pas conforme avec les dispositions de l'article 48 et de l'annexe 1 du contrat de concession sur les biens constituant le réseau concédé. Le Concédant doit connaître très précisément pendant toute la durée de la concession et à tout moment la situation exacte des biens de retour. il s'agit de biens faisant partie du patrimoine de la région Guadeloupe.
1.4. Gestion du trafic, comptabilisation du nombre de Paths (NOC) et sécurisation du réseau
Que ce soit sur la gestion du trafic, la comptabilisation du nombre de Paths (NOC) ou encore la sécurisation du réseau, l'audit technique de Tactis a relevé des incohérences et des informations incomplètes par rapport à ce qui figure dans le rapport d'exploitation 2008.
De telles omissions et incohérences mettent en évidence un non respect des engagements pris par le délégataire au titre de sa mission de service public définis à l'article 2 du contrat de concession et rappelés aux articles 5 et 17 de ce contrat ne sont pas pleinement respectés dans la mesure où les missions d'intérêt général du délégataire ne sont pas accomplies selon les termes de l'article 2 précité « en vue d'une pleine satisfaction des besoins du service public ».
II. Au regard des résultats du rapport d'audit financier
11.1 Sur les flux intragroupe
Le rapport d'audit laisse apparaître des doutes sérieux quant à l'utilisation des équipements financés par GCN par d'autres sociétés du groupe.
Une telle pratique constituerait une violation de l'article 5 du contrat de concession relatif à l'exclusivité et au périmètre de la concession mais également de l'article 17 relatif au cadre général de l'exploitation.


11.2 Sur le décalage de trésorerie et la gestion de trésorerie
I.es remarques du cabinet Michel Klopfer sur le décalage de trésorerie et la gestion centralisée de la trésorerie soulignent des irrégularités dont les effets négatifs sont supportés financièrement par GCN.
Une telle pratique va à l'encontre des principes énoncés à l'article 17 du contrat de concession sur le cadre général d'exploitation et plus particulièrement contre les conditions financières d'exploitation énoncés à l'article 25-2 du contrat de concession.
11.3 Sur la rentabilité du délégataire et l'incidence d'une baisse des tarifs
Les remarques du cabinet Michel Klopfer sur ces deux points de l'audit mettent en évidence que la délégation de service public pourrait être plus rentable et se traduire en conséquence, depuis longtemps, par une baisse substantielle des tarifs au bénéfice des usagers du service public et une application de la clause retenue à meilleure fortune.
Cette pratique constatée va également à l'encontre de l'article 17 du contrat de concession ainsi que de l'article 25-2 sur les conditions financières d'exploitation et des principes exposés à l'article 26 du contrat de concession relatif aux tarifs.
Dans ces conditions, le rapport d'exploitation 2008 ne peut pas être validé par le Concédant en l'état car il contient des éléments qui ne correspondent pas à ce qui été constaté pendant l'audit et il est recommandé au Délégant de tirer les conséquences de cet audit par :
- l'envoi d'une mise en demeure du concessionnaire sur le fondement de l'article 42.1 du contrat de concession afin que le délégataire se mette en conformité avec les engagements contractuels non respectés dans le délai imparti sous peine d'application des pénalités prévues à cette disposition
- le remplacement de la grille tarifaire temporaire par un nouvel avenant tarifaire sur la base des résultats de l'audit afin de répondre au plus vite aux attentes des usagers du réseau, tel que cela ressort de l'enquête menée auprès de ces derniers, en élaborant avec le délégataire un plan d'affaires afin d'ajuster la grille tarifaire :
- la négociation d'un autre avenant pour acter les mises en conformité du délégataire avec les non-conformités d'ordre technique, organisationnel et financier avec les engagements contractuels relevées dans le cadre de l'audit.

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30 septembre 2010 4 30 /09 /septembre /2010 21:37

INDISCRÉTIONS
Patrick
Depuis deux mois, des poubelles ont fait leur apparition à l'abribus au-dessus de Destreland, face à la station-service. Un test après nettoyage du site, « pour prouver que les Guadeloupéens, quand il y a des poubelles, sont respectueux de l'environnement », explique Patrick Nérini, de l'association Deux mains pour demain. Ce test l'a conduit à équiper d'autres sites avec 38 poubelles. Notamment les abribus à la Jaille, les ponts et les bas de ponts.

Frédéric
Le plan pour une nouvelle politique culturelle sera financé à hauteur de 50 millions d'euros en 2011 dont 42 millions pour le secteur audiovisuel. « Dans le sillage des Etats généraux de l’outre-mer et des décisions du Comité interministériel pour l’Outre-mer (CIOM) du 6 novembre 2009 présidé par Nicolas Sarkozy, le ministère de la Culture et de la Communication souhaite donner une nouvelle impulsion à l’action culturelle menée en Outre-mer », précise Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture.

Victorin
« Une attention particulière sera portée aux archives du monde ultramarin, avec le projet de numérisation des archives de RFO porté par l’INA, ainsi qu’à la création d’un site dédié
à l’histoire et à la mémoire de l’esclavage. » Voici une phrase du Budget 2011 du ministère de la Culture et de la Communication qui fera plaisir à Victorin Lurel. Mais parle-t-on ici du fameux Mémorial ACTe ? Notons que ce n'est pas chiffré !

Victorin 2
Hier, Victorin Lurel, vice-président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, chargé des outre-mers, a laissé éclater son agacement après la lecture du rapport de la Commission des finances sur la Lodeom. « Ni la réglementation des prix, ni les zones franches d’activité, ni l’aide au fret, ni l’aide à la rénovation hôtelière, ni la mise en valeur de la pharmacopée caribéenne, ni le nouveau dispositif de continuité territoriale, ni la commission nationale d’évaluation de politiques publiques outre-mer ne sont effectivement mis en œuvre ! », a-t-il déploré. Encore un qui a cru aux promesse de Petit-Bourg ! C'était il y a... 16 mois !

Christine
Un seul exemple de la méconnaissance de l'Outre-mer et des dossier de l'Outre-mer par les ministres : la possibilité offerte au Gouvernement de réglementer certains prix outre-mer n’a toujours pas été mise en œuvre. Pourquoi ? C'est la lecture des minutes de la commission des finances de l'Assemblée nationale qui nous l'apprend.« La peur du gendarme a été suffisante pour faire baisser les prix ! », a-t-elle dit. Mais, c'est hilarant !
André-Jean VIDAL

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