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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 23:20

Réunion : le gouvernement entérine l'abandon du projet tram-train (région)

Le gouvernement a entériné jeudi l'abandon du projet du tram-train de la Réunion, s'est félicité jeudi le nouveau président du conseil régional de l'île Didier Robert (UMP), qui y était hostile, à l'issue d'une rencontre à Paris avec François Fillon.
"C'est une avancée majeure, je suis extrêmement satisfait", a déclaré M. Robert après son entretien avec le Premier ministre, qui s'est déroulé en présence de la ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard.
Il a assuré avoir obtenu de François Fillon le redéploiement des crédits d'Etat prévus pour le tram-train (435 millions d'euros, sur un total de 1,6 milliard) en faveur de la réalisation d'une nouvelle route du littoral reliant le nord et l'ouest de l'île.
Pendant la campagne des régionales, M. Robert avait fait de cette route sa priorité au détriment du projet tram-train, qu'il jugeait non réalisable, faute de financement.
Ce projet devait permettre de traverser, sur 40 km, cinq communes entre le nord et l'ouest de l'île, dont un massif montagneux par un tunnel de 11 km. Il avait été conclu le 2 décembre entre la région et le groupement Tram'Tiss réunissant Colas, Véolia Transports urbains, Bouygues et Bombardier.
Le contrat de partenariat d'une durée de 45 ans prévoyait un loyer annuel de 100 millions d'euros versés par la région. Mais faute d'avoir pu boucler le montage financier, cette dernière avait obtenu du groupement un délai de six mois supplémentaires pour trouver les fonds nécessaires.
Le projet avait été initié par l'ancien président du conseil régional Paul Vergès (PCR) qui a été battu aux dernières régionales par M. Robert.



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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 23:11

INDISCRÉTIONS
Henri
L'ami Henri habite à Sainte-Rose et s'étonne que le silence soit fait sur un mouvement de grève qui paralyse les services postaux depuis un bon mois, sans que quiconque trouve à redire. Ni les habitants, ni les autorités...

José
« Il faut payer l"électricité... et quand on vous paie vos publicités 50 euros par 50 euros... » C'est ainsi que José Gaddarkan explique la mise en liquidation de La Une Guadeloupe, télévision privée dont les salariés étaient en grève depuis 43 jours. Depuis 2000, cette chaîne locale vivotait, se mourait lentement. Accusé de ne pas avoir mis au pot, Victorin Lurel a expliqué que des aides avaient été accordées mais que, si c'était pour payer des créanciers sans que les emplois soient pérennisés il ne pouvait pas dépenser plus d'argent public.

Max
Max Etna, directeur adjoint de cabinet de Victorin Lurel à la Région, part prochainement à la retraite. Pas facile de remplacer un homme qui connaît bien la politique locale et tout autant l'administration. Une sorte de préfet du palais... Qui pourrait faire l'affaire ? Il y a... mais chut, ceux dont on parle pourrait se voir glisser des peaux de bananes !

José 2
José Toribio est bien silencieux, en ce moment, après avoir beaucoup donné pour Eric Jalton au tout début de la campagne des régionales. Dès qu'il a compris que c'était foutu pour son champion, il a lâché la corde. Un bon politique !

Marie-France, Bernard...
Nos confrères de 7 magazine sont en ce moment bien marris. Depuis la liquidation de cet hebdomadaire, ils ne sont ni au chômage ni salariés d'une structure. Magie des embrouilles. Bientôt, ils vont être rejoints par nos confrères de La Une Guadeloupe. En tout une vingtaine de salariés des médias locaux. Dans une sorte d'indifférence criante. Et les mêmes qui les ont mis à la rue, sans un sou d'indemnité, vont poursuivre leurs activités en toute quiétude... avec la considération générale, en plus !

Renato
Renato Rinaldi, d'Espace Tropicale, défenseur des cétacés, a sauvé une baleine, il y a quelques jours. « Elle était à la surface, accrochée à quelque chose. Autour d'une des nageoires pectorales, il y avait un cordage enroulé. Je l'ai tirée doucement vers le bateau. Caro (son épouse) a coupé le cordage... Ce jour là, je m'en souviendrai toute ma vie, nous avons sauvé une baleine ! » Bel exploit, Renato !
André-Jean VIDAL

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 00:21

INDISCRÉTIONS
Christian
Christian Baptiste, conseiller régional, invite l'Etat à mettre la main à la poche pour des commandes publiques afin de relancer le BTP et l'emploi. « La Région ne peut pas tout faire », dit-il.

Jacques
Jacques Bangou, maire de Pointe-à-Pitre, ne devrait pas augmenter les impôts locaux à Pointe-à-Pitre. Sagesse quand on sait que ces dernières années les Pointois n'ont pas été épargnés. Cependant, la taxe sur les ordures ménagères pourrait être revue à la hausse. C'est qu'il y a encore de gros efforts à faire en la matière, notamment d'éducation civique...

Marlène
Le retour de Marlène Mélisse, grande perdante des régionales puisque son choix de pousser la candidature d'Eric Jalton s'est soldée par un retentissant échec personnel. Elle s'est encore plus grillée auprès du PS et n'a pas pu entrer à la Région, sa position sur la liste le lui interdisant. On l'a vue au conseil municipal de Pointe-à-Pitre, bien sage, votant avec la majorité le budget. Il est vrai que le travail effectué en ce moment par Jacques Bangou pour transformer la ville par la rénovation urbaine, la RHI, les grands travaux du côté de Darboussier ne peuvent qu'obtenir l'assentiment du conseil. Même des opposants inconditionnels...

Marie-Luce
La ministre de l'Outre-mer a été agacée de ne pouvoir assister à la plénière d'hier à la Région. C'est qu'elle avait une autre obligation, impérative celle-là, le conseil des ministres du mercredi... Et comme Victorin Lurel a quitté la Guadeloupe pour Paris hier soir... Bref, il faudra désormais concilier les emplois du temps de nos deux excellences...

Jacques
Hier s'est tenu le dernier conseil d’administration du CHU, en présence de Jacques Bangou, président, et des autres membres du conseil d'adninistration : Jean Bardail, Ary Chalus, Monique Décastel, Georges Jean-Baptiste, Roberte Jeanne-Méri, Guy Losbar,  etc. Il sera remplacé par la mise en place du conseil de surveillance. L’article 9 de la loi portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires précise les attributions de cette nouvelle instance. Mais, qui va présider cette instance ?

Gugusses
A Marie-Galante, levée de boucliers contre l'installation d'une unité bagasse-charbon de production d'énergie électrique. « Pourtant, c'est le moyen de pérenniser la culture de la canne à sucre à Marie-Galante pour les 25 ans à venir ! », affirme un expert.

Maxime
Maxime Wolff, directeur général de Gardel SA, semble jusqu'à présent réfractaire à quelque participation financière que ce soit de cette société très hexagonale implantée en Guadeloupe à la vie culturelle locale : finie la fête de Saint-Eloi qui réunissait les ouvriers de l'usine dans la grande cour, finie l'aide aux initiatives locales culturelles comme le Prix des Amériques insulaires, fini le soutien aux voiliers locaux de la Route du rhum. Ben oui, il faut faire de l'argent en Guadeloupe, pas en dépenser !
André-Jean VIDAL

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 14:10

INDISCRÉTIONS
Victorin
Marie-Luce Penchard, ministre de l'Outre-mer, a visité les Iles du Nord, ce week-end. Au grand dam de Victorin Lurel, député de la quatrième circonscription — dont font encore partie les collectivités d'Outre-mer de Saint-Martin et Saint-Barthélemy —, qui n'a pas été invité à l'accompagner. Quand il comprendra que pour cette dame il n'existe pas !

Lucienne
Lucienne Salcède est gérante du Karakoli, restaurant de bord de plage à Deshaies. Régulièrement, le Comité du tourisme des îles de la Guadeloupe (CTIG) profite de sa situation exceptionnelle — des tables sous un couvert d'arbres aux feuillages rafraîchissants — pour y conduire des visiteurs de marque. L'autre jour, c'étaient des agents de voyages de Rhône-Alpes.

Eric
Eric Jalton, maire des Abymes, a des collaborateurs un peu largués. L'autre jour, nous demandions le service de presse. « Attendez, Monsieur... » Et une voix étouffée de lancer à la cantonade : « Le monsieur de la communication, le Blanc, il est où ? » Pour info, le Blanc en question, Patrick Sautereau, ne fait plus partie du service depuis cinq ou six mois !

Patrick
Patrick Gob, ancien conseiller régional, avait engagé une instance contre le conseil régional au motif que certains élus avaient reçu les documents sur le budget primitif six jours au lieu de douze jours avant la date de la plénière. Il retirerait, en fin de compte, son instance, « compte tenu, nous dit-il, du résultat des régionales. » Sage !..

Willy
« La Guadeloupe compte des centaines d’écrivains dont les œuvres occupent les rayons des librairies pour le plus grand plaisir des lecteurs. Voie incontournable de la culture, la lecture de tout temps crée le lien entre les civilisations, et permet à l’homme de s’enrichir intellectuellement. » Ainsi s'exprime Willy Nestor, des Editions Nestor, qui vient de créer les rencontres littéraires itinérantes. Le 25 avril, Il sera aux Jardins de Basmély, à Capesterre Belle-Eau. Courageux Willy !

François-Joseph
François-Joseph Ousselin, mèt a manniok des antennes locales de RFO Guadeloupe, accueillera les personnalités, vendredi, à l’occasion de l’inauguration du nouveau bureau décentralisé à Basse Terre. Margaret Lawrence, marketing et communication de la station, emmènera les journalistes pointois à Basse-Terre, en minibus ! Il paraît qu'elle animera le voyage ! Olé Margaret !..

Marie-Luce
Marie-Luce Penchard, qu'on se le dise, n'a pas accompagné M. Joyandet, ministre de la Coopération tâclé pour avoir utilisé un avion privé portugais loué à prix d'or pour faire le trajet Paris/Fort-de-France pour assister à une réunion sur la reconstruction d'Haïti. Elle a fait savoir à tout le monde qu'elle avait utilisé, elle, un avion d'Air France, comme tout le monde. En classe éco ?..

Claude-Georges et Anne-Marie
Les fondateurs de la troupe Courtes Lignes font un triomphe avec une nouvelle pièce, La monnaie de la pièce, qu'ils promènent de salle en salle, avec les acteurs bénévoles. Une équipe très professionnelle. Bravo Alexandra Gadjard, Hervé Laurent, Joëlle Castela, Franck Sorrant, David Couchet, Fabien Minatchy ! Hier soir, ils ont donné une séance spéciale pour Haïti, avec l'intégralité de la recette reversée à Espoir santé pour Haïti, du Dr Thierry Caussé. 
André-Jean VIDAL

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 14:08

Le palmarès 2010 des meilleures cliniques et hôpitaux "Le Figaro" (26 mars 2010) classe la Clinique de Choisy au 37e rang national et au 1er rang des DOM dans les meilleures cliniques de moins de 100 lits.
 
Quels sont les centres hospitaliers les plus performants ? Le classement du Figaro Magazine, associé au Guide Santé, distingue les établissements universitaires des unités plus réduites et des cliniques. Mais surtout, il révèle les meilleurs par actes et par spécialités.


Pas moins de 1 288 établissements de santé ont été passés au crible par nos experts et partenaires les Drs Stéphane Bach et Jean-Pascal Del Bano du Guide Santé. Fidèle à notreméthodologie , nous avons réalisé un palmarès général de cinq catégories d'établissements et un palmarès des pôles d'excellence dans 50 spécialités données, qui mêlent secteurs publics et privés tous statuts confondus. La première partie du classement met à l'honneur les entités qui, dans leur gestion générale, assurent une prise en charge efficace des patients et une haute qualité des soins. Les hôpitaux et cliniques figurant dans nos cinq tableaux d'honneur sont dotés d'un excellent rapport de certification émanant de la Haute Autorité de santé. Cette procédure d'évaluation est effectuée par une équipe de médecins, de soignants et de gestionnaires indépendants qui visitent les établissements pour en vérifier les bonnes pratiques. Une certification sans recommandation est un gage reconnu de qualité. De même, ces centres de santé disposent du plus haut score en matière de lutte contre les infections nosocomiales. Deux indicateurs essentiels car révélateurs du professionnalisme de l'établissement. Mais ils ne se suffisent pas à eux-mêmes. Pour évaluer la qualité des soins, nous avons retenu les effectifs de l'établissement, que nous avons mis en rapport avec son activité. Un personnel en nombre est une condition indispensable à la bonne administration des soins. Et bien sûr, l'activité reste un critère primordial pour juger de sa performance, qui tient notamment à la répétition des actes.
Dans un souci d'équité nous avons choisi de classer les différentes entités en cinq catégories:les CHU qui disposent de centres de recherche, les centres hospitaliers de plus de 300 lits, les centres hospitaliers de moins de 300 lits, les cliniques de plus de 100 lits et les cliniques de moins de 100 lits. Chaque structure répond à un mode de fonctionnement et de financement spécifique, qu'il nous semble inapproprié de placer sur un même plan. Un CHU de 800 lits ne peut se comparer avec une clinique de 50 lits. Cette grille d'évaluation affinée présente l'intérêt de donner sa chance à toutes les filières d'une offre de soins diversifiée en France.
Résultats : dans la catégorie «CHU» arrive en tête l'hôpital pédiatrique Robert-Debré suivi du groupe interhospitalier Bichat- Claude-Bernard à Paris. A noter, seuls ces deux CHU se sont vu doter d'une certification 4 étoiles. Ce sont deux hôpitaux de l'AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris) qui revient en une sorte de leitmotiv d'excellence avec 13 sites classés! La palme du meilleur CH (centre hospitalier) de plus de 300 lits est décernée à l'hôpital public de Douai tandis que le CH Les Bluets à Paris, spécialisé en obstétrique, se voit gratifié de la place d'honneur pour les CH de moins de 300 lits. La clinique Saint-Charles à La Roche-sur-Yon et la clinique d'Arcachon, établissements privés déjà bien positionnés dans nos précédents palmarès, décrochent les médailles d'or des centres de soins privés.
Une fois de plus, ce palmarès bat en brèche nombre de préjugés. Il atteste que les hôpitaux publics ont des niveaux d'activité très élevés, bien supérieurs au privé. Productivité et dynamisme ne sont pas l'apanage du secteur privé. Celui-ci s'illustre par de bons niveaux de certification, mais aussi et contre toute attente par la prise en charge de cas lourds et complexes (chirurgie cardiaque, neurochirugie...). La réorganisation de cette filière porte ses fruits.... Notre classement confirme également le bon positionnement des hôpitaux de province en qualité de soins, que ce soit dans la gestion des urgences, dans la polyvalence des prises en charge, dans la modernisation des plateaux techniques et dans le volume d'activité. Ainsi, le centre hospitalier d'Avignon ou le centre hospitalier intercommunal de Belfort-Montbéliard cumulent tous ces atouts. Ils figurent dans notre palmarès général et dans plusieurs pôles d'excellence. De même que le CHU de Lille, l'Institut mutualiste Montsouris à Paris, l'hôpital Saint-Joseph à Marseille ou la polyclinique Saint-George à Nice, pour ne citer qu'eux... Des exemples qui montrent que plus que la taille de l'établissement, plus que les investissements en matériel ou les autorisations administratives accordées pour des activités, c'est d'abord la motivation des équipes et leur encadrement par une direction efficiente qui garantissent la performance.
Mais cela reste évidemment une photographie de l'excellence à un moment donné. Dans un paysage en pleine mutation et turbulences, avec la mise en oeuvre de la loi hôpital, patients, santé, territoires (HPST), tout peut se redessiner. «D'autant plus que le contexte est à la décroissance du secteur hospitalier avec des durées de séjour en chute, des charges en augmentation et des tarifs conventionnés qui évoluent pas ou peu», souligne Claude Le Pen, économiste de la santé. Secteurs public et privé se vivent en rivalité et se livrent concurrence. L'un défendant son pré carré, l'autre s'imposant dans le système de soins avec 8 millions de patients traités chaque année, à l'affût de nouvelles activités et ressources. Le privé se devant de dégager des bénéfices et le public d'équilibrer ses comptes. «Ce que plus de la moitié des hôpitaux publics sont parvenus à réaliser», précise Cédric Lussiez, de la Fédération hospitalière de France.
Ainsi, les cliniques qui ont opéré leur mutation sont bien positionnées en chirurgie ambulatoire (60 % de l'activité), et en cancérologie. Elles misent sur les soins de proximité, jouent la rentabilité. Beaucoup se « superspécialisent » en traumatologie, en ophtalmologie, par exemple. «Nos regroupements ont entraîné de nombreuses fermetures de cliniques. Sur les 1 200 qui existaient dans les années 80, 500 ont disparu, explique Jean-Loup Durousset, président de la Fédération de l'hospitalisation privée. Mais nous connaissons des créations d'établissements notamment en rééducation, en soins de suite et en gériatrie. Nous avons pour atout de fonctionner avec des structures souples, souvent de taille modeste.» Elles entendent que leur soient confiées des missions de service public, ce que prévoit la loi HPST. Déjà, elles développent les services d'urgences (9 %), longtemps chasse gardée du secteur public. C'est l'un des moyens de recrutement des patients les plus efficaces... Elles tentent d'obtenir des autorisations pour effectuer des actes spécifiques tels que les transplantations d'organes, actes réservés au public. «Le privé a su trouver la voie de la restructuration alors que le secteur public a peu bougé», analyse Olivier Mariotte, président de Nile, agence de conseil en affaires publiques de santé.
De son coté, le secteur public s'impose nettement en obstétrique, en chirurgie lourde. Il traite trois fois plus de pathologies que le privé. Il assure par ailleurs ses missions de service public : la recherche, l'enseignement, les urgences, les prises en charge dérogatoires, la permanence des soins et son accès pour tous... Contraintes qui pèsent dans ses finances, même s'il perçoit des enveloppes spécifiques de l'Etat. Le pari à relever sera de réaliser au mieux les regroupements de service et coopérations entre établissements publics, d'effectuer les rapprochements entre monde hospitalier et monde libéral, une des mesures phares de la loi Bachelot. «Un programme qui ne sera pas facile à mettre en oeuvre, chaque entité ayant son statut, son histoire... et ses mandarins, prêts à en découdre, commente Claude Le Pen. Pour preuve, les vives réactions et manifestations suscitées par les restructurations lancées à l'AP-HP, laquelle prévoit le regroupement des 37 hôpitaux de l'institution en 12 pôles avec en toile de fond la menace de suppressions d'emplois. Ainsi des syndicalistes ont occupé le siège de l'APHP tandis que des opposants à la fusion de l'hôpital Charles-Foix-Jean-Rostand d'Ivrysur- Seine (Val-de-Marne) avec l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris ont séquestré la directrice de l'établissement... Un malaise exacerbé à Paris mais qui se perçoit dans bien d'autres hôpitaux publics.





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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 13:55

Manipulation médiatico-indépendantiste


Répondant, le 13 mars 2009, à la lettre que m’avait adressé Yves Jégo, alors Secrétaire d’Etat chargé de l’Outre-mer, je l’interpellais ainsi :

« Se soustraire à l’évidente obligation de rétablir l’ordre républicain et les libertés fondamentales, au prétexte des 87(!!) morts de 1967, constitue une troisième erreur, aux conséquences dramatiques pour l’économie, l’emploi, et le moral de tous ceux qui travaillent ou créent des activités aux Antilles.    

Comment  lancer enfin un tel chiffre, lourd de significations historique et politique, sans avoir l’obligation morale, voire juridique, de l’étayer de façon décisive par des preuves irréfutables ? Tant il est vrai qu’un peuple, dont la mémoire est falsifiée doit craindre pour son avenir ».

Et je le mettais en garde en ces termes :

« C’est ainsi qu’avant longtemps, on nous dira que le malheureux syndicaliste Binot, assassiné par un malfaisant armé par ses propres amis, au motif « qu’on l’a pris pour un policier en civil », sera présenté comme une victime des « forces colonialistes françaises » ou du « patronat Béké ».

Eh bien ! Nous y sommes !

On a assisté, ces derniers jours, à propos de cette affaire,  sur internet, à une mise en cause de la justice alors même que celle-ci n’a pas encore rendu les conclusions de son enquête.
Sous le titre : « Mystères autour de la mort de Jacques Bino », un blog s’en prend aux enquêteurs en ces termes : « Ruddy Alexis, le « coupable idéal » dans l’affaire du meurtre du syndicaliste Jacques Bino, est depuis samedi 28 février sous les verrous, Mais l’affaire ne pourrait que commencer .De nombreuses questions restent en suspens. Pourquoi Le procureur de la République, Jean Michel Prêtre, est-il si pressé de boucler ce dossier? Cette affaire n’est elle pas beaucoup plus complexe? Qui et que cherche t on à cacher et pourquoi? »

L’article est truffé d’affirmations gratuites. Florilèges : « Du côté grand patronat et des puissances d’argent, on commence à paniquer. Pourquoi ?  Yves Jégo, en dépit de ses insuffisances, a quand même mis le doigt sur le fonctionnement de la caste des possédants de la colonie. Au cours d’une réunion qui s’est tenue à la Préfecture, Jégo a très sérieusement stigmatisé le grand patronat…
Cette «affaire Bino» est bizarre. Il faut se souvenir qu’il y a déjà eu plusieurs versions «officielles» de la mort de Jacques Bino...
Sur le site officiel de l’UGTG, une «brève» annonce le décès, mais une petite phrase mérite d’être soulignée : «Jacques Bino travaillait depuis quelque temps sur un dossier mettant en cause des personnalités ayant des fortunes mal acquises ou non déclarées».
Jacques Bino pourrait donc avoir été l’objet d’un «contrat» de la part de ces «personnalités»? Cette thèse n’a pourtant pas été retenue par le procureur. Pourquoi ? Elle mérite d’être approfondie.
… la sacoche personnelle de Jacques Bino, contenant des «documents», n’a pas été retrouvée. En tout cas pas restituée à ses proches. Qui l’a emportée ?
… A l’Elysée, quand deux jours après, Nicolas Sarkozy reçoit les parlementaires colonisés, il fait une déclaration qui peut paraître surprenante, mais qui n’est sûrement pas le fruit du hasard. Elle mérite qu’on s’y arrête. «Il est inadmissible qu’un syndicaliste ait été tué. Il s’agit d’un assassinat», dira le chef de l’Etat français.
Sarkozy a parlé d’un assassinat. C’est donc un meurtre avec préméditation. S’agit-il d’un message codé à l’attention d’éventuels «commanditaires» de ce crime ? Alors que l’enquête officielle n’est pas bouclée, le chef de l’Etat se permet de parler d’assassinat. Doit-on penser que dans les hautes sphères, on en sait plus que ne dit le procureur de Pointe-à-Pitre ? …
Il semble bien que l’enquête sur les vraies raisons de l’assassinat de Jacques Bino reste à faire. Saurons-nous un jour la vérité ? Ceux qui savent accepteront-ils de parler ?
Les enquêteurs dépêchés par le Ministre de l’Intérieur au lendemain du crime ont-ils tout dit de cet assassinat très mystérieux ?
Le LKP lui, n’a pas dit son dernier mot, car certains dossiers de Bino sont en lieu sûr… »

Voilà comment les indépendantistes prétendent bâtir la vérité historique ! Car bien sur, ces affirmations et accusations gratuites ont été reprises à souhait par les media locaux, toujours prêt, pour de multiples et différentes raisons à courber l’échine devant les thèses des indépendantistes, sous prétexte d’impartialité. Mais l’impartialité ! Ne serait-elle pas plutôt de ne pas colporter des rumeurs, sans aucun fondement ? Un pays ne peut construire son avenir sur une « vérité historique » mensongère ! Ce qui se passe aujourd’hui, en ce moment en Pologne, est là pour nous le rappeler. On peut, en la falsifiant, cacher la vérité pendant soixante dix ans. Plus forte que le mensonge, elle finira par sortir. Mais avec encore plus de force et de douleur !

On le voit donc, sur de multiples aspects, nous porterons encore longtemps les stigmates de l’incurie d’un gouvernement dont on se demande quelles arrières pensées il pouvait bien nourrir pour laisser se dégrader une situation montée de toute pièce par un syndicat indépendantiste qui avait préalablement affiché ses objectifs et ses méthodes.

Et s’il est vrai que sur le plan des libertés, - et celle de circuler principalement – l’Etat a depuis plusieurs mois repris la main, il est non moins vrai que sur celle de la liberté de travailler notamment, il lui reste du chemin à faire. Est-il en effet admissible que ce syndicat extrémiste continue sa stratégie d’extermination des entreprises, en y déclenchant des grèves dures, le plus souvent sans motif sérieux, conduisant à leur blocage et souvent à leur disparition même. Alors, la Ministre de l’Outre-mer aura beau aller, répétant  que tous les décrets d’application sont prêts pour développer les zones franches globales, ce n’est pas cela qui arrêtera la fuite des Chefs d’entreprises et fera revenir les investisseurs. Dans le contexte actuel, l’Etat peut-il tolérer ces comportements suicidaires? Combien de temps encore faudra-t-il aux Préfets des DOM pour comprendre que dans de tels conflits leur Direction du Travail ne peut être l’allier de mouvements terroristes, prétendument « syndicaux » ?

Encore faudrait-il que ceux d’entre-eux – les Préfets des DOM – qui ont enfilé leur « tee-shirt rouge » acceptent de s’en débarrasser.

 

Amédée ADELAIDE
Président du CSRL
10 avril 2010

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 13:53

INDISCRÉTIONS
Pap
Ya bon Banania ! Personnage sympathique, qui a bercé l'imaginaire enfantin de millions de petits français, le bonhomme Banania est devenu le thème d'un combat que mène Pap Ndiyae. « Sous le charme poétique ou l’exotisme cruel des archétypes se cachent des formes d'oppression coloniale réduisant à des images simples, des phénomènes complexes », affirme-t-il. Il débattra de ce thème à l’Université populaire du quai Branly, le 27 mai.

Marie-Luce
Marie-Luce Penchard a invité les Saint-Martinois à se débrouiller s'ils veulent développer leur île. Elle réaffirme ainsi que les Dom ne doivent plus compter sur la manne de l'Etat pour compenser des gestions hasardeuses. Surtout s'il s'agit d'entreprises privées. L'habitude de faire compenser les pertes d'exploitation par des aides publiques doit se perdre...

Julien
« Les élections régionales aux Antilles et en Guyane : entre changement et continuité ». Tel est le thème traité par le CAGI, samedi prochain, à Fouillole. Elections régionales et démocratie locale par Fred Deshayes, et De la mobilisation sociale à la stabilité politique par Julien Mérion, ponctueront cette soirée.

Eric
Curieux qu'Eric Jalton, smsiste effréné durant la campagne des régionales, n'ait pas inondé son réseau de sms accusant la Région d'avoir rainuré le rond-point d'entrée des Abymes exprès pour brimer les Abymiens... C'est vrai que la campagne de démagogie est finie et qu'il faudra, désormais, apprendre à vivre avec une région luréliste pendant les quatre prochaines années !

Edouard
Edouard Boulogne, du blog lescruteur.com, mène actuellement une croisade personnelle contre les autorités ecclésiastiques locales. Il veut en appeler aux tribunaux civils, à Rome ! Au Pape ! A suivre...

Jacques
Lors d'une séance au Sénat, Jacques Gillot a évoqué le fait que la France aurait intérêt à profiter de sa situation stratégique aux Antilles, « en mobilisant activement et fortement ses départements d'outre-mer, après avoir rappelé que dès le lendemain de la catastrophe, les départements français d'outre-mer, notamment la Martinique et la Guadeloupe, se sont immédiatement mobilisés pour apporter leurs premiers secours à leurs frères haïtiens, en raison de la proximité non seulement géographique, mais également historique et culturelle liant ces territoires créolophones. » Et pourquoi pas mobiliser, pour des missions de deux ou trois mois, des ouvriers du BTP actuellement en chômage pour qu'ils aillent soutenir les Haïtiens dans la reconstruction de leur pays ? Ça, c'est de la solidarité !

Roger
Après le décès de l'ancien préfet de Guadeloupe, Jean-Paul Proust, devenu Ministre d'Etat de Monaco (l'équivalent d'un Premier ministre), Roger Raymondi, un Guadeloupéen, a écrit au prince Albert II, souverain du rocher, pour lui dire sa tristesse et son soutien après cette grande perte. Roger Raymondi, ingénieur des routes à la DDE de Guadeloupe, avait travaillé avec Jean-Paul Proust lors de la reconstruction d'aorès-Hugo.
André-Jean VIDAL

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 13:52

INDISCRÉTIONS
Jean-Claude
Jean-Claude Lombion, maire de Morne-à-l'Eau, doit être fier de sa performance. Il a redressé financièrement la commune, même si selon la chambre des comptes, « il doit encore consolider son administration et sa gouvernance. » Ce qui est dit par là c'est que, souligne la chambre, il y a « une pratique inadmissible de "placardisation" de certains cadres, inemployés mais payés » et que « l'absence de gestion des ressources humaines pèse sur le niveau élevé de l'absentéisme que la commune ne gère pas. »

Alain
Alain Souchon sera-t-il en tournée en Guadeloupe le 16 juin ? Il se produirait, selon Rony Pizio, organisateur de spectacles, salle Laura Flessel, à Petit-Bourg. Sauf qu'il semble que la salle ne soit pas disponible... Pour les curieux de l'actualité d'Alain Souchon, France-Antilles a publié une interview dans son édition du mardi 30 mars. 

Jean-Claude 2
Jean-Claude Malo, maire de Bouillante, a rétabli le ponton de Malendure. Après un an d'absence, ce qui occasionnait des difficultés aux exploitants des bateaux à fond de verre. Mais, comme il l'a dit en public, il se moque de Malendure. Excellent, d'autant que personne n'irait à Bouillante s'il n'y avait pas Malendure pour attirer le chaland. Sans doute le maire de Bouillante s'est-il rendu compte que sa commune ne peut être renflouée en permanence par des fonds publics... ce qui explique qu'il ait imposé une taxe d'un euro par tête de touriste empruntant le ponton... Faire payer ce cochon de touriste, voilà la solution !

Jean
On dit le nouveau préfet de Guadeloupe, Jean Fabre, un peu dubitatif en ce moment. Il est vrai que la situation économique et sociale n'est guère favorable à un enthousiasme débordant. L'économie ne redémarre pas vraiment, le touriste évite notre archipel, l'essence va augmenter incessamment sous peu. L'emploi, c'est pas ça non plus. La grogne monte dans certaines entreprises...

Marie-Luce
MLP, contrairement aux allégations de certains confrères, n'a pas été rétrogradée lors du récent remaniement ministériel. Elle est toujours ministre auprès du ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, chargée de l'Outre-mer et non pas secrétaire d'Etat à l'Outre-mer...
André-Jean VIDAL

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 15:22

INDISCRÉTIONS
Etienne
« La destruction du Kabrit ! C'est la sanction la plus efficace. » Ainsi s'est exprimé Etienne Desplanques, directeur du cabinet du préfet, qui a expliqué : « Il y a des zones où il y en  a plus, à Pointe-à-Pitre, Capesterre, Basse-Terre... » Il a promis que dans six mois il n'y aurait plus de scooters désossés roulant sur les routes du département. S'il y arrive, c'est bien !

Philippe
Philippe Jouve, délégué du Syndicat des marins-pêcheurs artisans de la Guadeloupe, n'est pas si sympa que cela ! Mercredi soir, sur RCI, il a stigmatisé les pêcheurs du dimanche qui font concurrence aux 1 200 artisans pêcheurs de l'archipel, doublant l'effectif des usagers de la ressource marine. Quand un confrère lui a demandé pourquoi les autorités ne faisaient pas grand-chose, il a mis en cause le préfet et l'administration des affaires maritimes « qui ne font rien ». A suivre ?..

Alsace
Alsace Césarin a remplacé Claudy Davilé à la communication de la préfecture de Guadeloupe. Claudy a gagné le froid des administrations hexagonales. Alsace prend ses marques. Bienvenue parmi nous !

Jean
Jean Fabre, préfet de Guadeloupe, a décidé de prendre le kabrit... Pardon, le taureau par les cornes ! Dix mesures pour lutter contre l'insécurité (voir notre précédente édition), dont la chasse aux kabrits. Rien qu'en venant au travail, ce matin, entre Pointe-à-Pitre et Jarry, j'en ai vu une dizaine. Qui circulaient avec les olibrius non casqués aux pilotage. Sans compter les gamins (et quelques adultes) sur des vélos trafiqués, qui ignorent les feux rouges, les stops, les priorités, etc. C'est vrai qu'à la télé, ils ont appris qu'ils sont immortels !

Alain
Alain Souchon sera-t-il en tournée en Guadeloupe le 16 juin ? Il se produirait, selon Rony Pizio, organisateur de spectacles, salle Laura Flessel, à Petit-Bourg. Sauf qu'il semble que la salle ne soit pas disponible... Pour les curieux de l'actualité d'Alain Souchon, France-Antilles a publié une interview dans son édition du mardi 30 mars. 

Jean-Claude
Jean-Claude Malo, maire de Bouillante, a rétabli le ponton de Malendure. Après un an d'absence, ce qui occasionnait des difficultés aux exploitants des bateaux à fond de verre. Mais, comme il l'a dit en public, il se moque de Malendure. Excellent, d'autant que personne n'irait à Bouillante s'il n'y avait pas Malendure pour attirer le chaland. Sans doute le maire de Bouillante s'est-il rendu compte que sa commune ne peut être renflouée en permanence par des fonds publics... ce qui explique qu'il ait imposé une taxe d'un euro par tête de touriste empruntant le ponton... Faire payer ce cochon de touriste, voilà la solution !
André-Jean VIDAL

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 15:21

INDISCRÉTIONS
Jacques
Comme la mairie de Pointe-à-Pitre n'a pas son toit recouvert de panneaux solaires et ne vend sans doute pas de l'énergie à EDF, comme le fait le SIAEAG (voir notre précédente édition), il conviendrait, pour diminuer les frais d'éclairage qui sont sans doute, par le biais des impôts locaux, imputés aux Pointois, être particulièrement vigilant afin de ne pas laisser des guirlandes de Noël illuminer les rues après Pâques. Merci Jacques !

Jacques 2
Le plus grave problème à gérer par Jacques Bangou, maire de Pointe-à-Pitre, est celui de la gestion de déchets, sachant que chaque Pointois en produit 530 kilos par an au lieu de 357 kilos partout ailleurs. Non que le Pointois soit particulièrement consommateur mais il s'agit d'uNe moyenne qui comprend aussi les déchets des commerces (boites en carton, en bois, plastiques, etc.).

Ary
Cher Ary Chalus, à moins que vous produisiez vous aussi de l'électricité que vous revendez à EDF, merci de faire éteindre le jour les réverbères au bord des routes qui traversent votre commune. Message qui s'adresse aussi à la plupart des maires des communes de l'agglomération pointoise...

Nicolas
« Que nous dit-on, explique Nicolas Vion, président de la Fédération des associations des professionnels de l’hôtellerie et du tourisme, lors de la réunion tenue avec Atout France en Préfecture, la semaine dernière : le tourisme ne serait qu’une affaire d’hôteliers, il ne profiterait qu’aux propriétaires d’hôtels, ce serait une filière réservée aux seuls Blancs, la population n’aurait aucun intérêt au tourisme, elle serait irritée de voir passer devant elle des bus bourrés de Blancs métropolitains, dixit Georges Boucard, directeur au cabinet du maire des Abymes. J’arrête là cette litanie absurde, outrancière, d’opposition au progrès, véhiculant des lieux communs et des fantasmes, qui loin de rassembler les acteurs est source de divisions et de conflits. Ramener le rejet de certains, à propos du tourisme, à des questions monochromes relèverait plutôt de troubles oculaires et d’un trop grand nombre de bâtonnets par rapport aux cônes, présents sur le fonds de l’œil. » Marrant !

Nicolas 2
M. Vion poursuit sa diatribe : « Quant à l’argumentation d’un responsable communal (qui se présente comme un banquier ?) et qui justifie l’économie informelle comme un modèle de société réussi en Italie (Peut-être faudrait-il aussi mettre en place une mafia structurante ?), on reste abasourdi :
au nom de l’égalité des citoyens, si on le suit, on ne doit alors plus payer d’impôts et taxes, ce qui conduit à ne plus faire d’investissements collectifs (plus d’écoles, de cantines, de routes, d’hôpitaux…). Je ne voudrais pas participer à la mise en place du budget de cette commune dans ces conditions ! » Mais, de qui s'agit-il ?.. Un nom !
André-Jean VIDAL

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