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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 14:33

INDISCRÉTIONS
Amélius
« Depuis près d'un an, je projète de vous signaler un fait qui me préoccupe énormément s'agissant de la consommation électrique de votre établissement. Je constate que votre bâtiment est éclairé toutes les nuits sans interruption par de gros projecteurs très puissants qui inondent la façade du bâtiment. J'ai même constaté qu'au moment de certaines pannes électriques secteur.. il l'est encore. Je suppose qu'un groupe électrogène doit prendre le relais. » De quel bâtiment s'agit-il ? Du siège social du SIAEAG que préside Amélius Hernandez, conseilelr général du Gosier. Allez Amélius, un petit geste pour l'environnement durable !

Jacques
Il faut beaucoup de pugnacité à Jacques Bangou pour assumer une situation pas simple : la gestion de la commune de Pointe-à-Pitre. Avec une baisse de la population de 32% en vingt ans, les rentrées de taxes diverses sont diminuées d'autant alors que la ville a bien besoin d'un coup de neuf. Ou, à tout le moins, d'une rénovation. L'Etat et la Région devraient se pencher sur ce problème, sous peine de voir la sous-préfecture mourir à petit feu... dans l'atroces convulsions alors que tout est là (port de croisière, sites touristiques) pour faire de Pointe-à-Pitre une ville modèle de rénovation en respectant le patrimoine architectural. Asé palé, an nou alé !

Alain
Les élèves du lycée Gerville-Réache sont, pour la plupart, hébergés dans des salles de classe où il n'est pas rare que la température avoisine les 40*. La cause en est l'absence de ventilateurs, le proviseur hésitant à les faire réparer ou remplacer car l'établissement doit être relooké aux frais de la région incessamment sous peu. Sauf que cela fait quatre ans que ça dure. Allons Alain, un p'tit effort !

Gugusses
Maintenant que les dossiers ont été montés et que des indemnités ont été demandées à l'Etat, difficile de se débarrasser de la banane endommagée — ou pas — par les cendres de Montserrat. En Sud Basse-Terre et notamment du côté de Trois-Rivières ce sont des tonnes de bananes tout à fait consommables (sinon exportables) qui sont jetées dans les ravines. Attention que ça ne déborde pas !

Jocelyn
Responsable de l'Octroi de mer, Jocelyn Mirre, vice-président du conseil régional, indique que la taxe d'octroi de mer sur l'énergie, donc l'électricité, n'a pas bougé depuis 2004. Elle est de 1,5% pour le consommateur guadeloupéen. Il fait référence à la facture reçue par Alain (notre édition de samedi). « Alain, qui a constaté une hausse importante sur sa facture, a beaucoup consommé... D'où le fait qu'il paie plus. Ce qui n'a rien à voir avec la taxe régionale. » Il a raison !
André-Jean VIDAL

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 22:28

Réunion d'information à l'attention des entreprises guadeloupéennes sur le processus de préparation internationale à la  reconstruction en Haïti (CWTC, lundi 22 mars 2010)

            A l'occasion du passage en Guadeloupe de Monsieur Gilles Leblanc, collaborateur de l'Ambassadeur Pierre Duquesne en charge de la mission interministérielle pour la reconstruction d'Haïti, la CCI de Pointe-à-Pitre, en partenariat avec la Préfecture de Guadeloupe, a organisé ce lundi 22 mars une réunion d'information à l'attention des entreprises guadeloupéennes.

Cette réunion présidée par Mme Colette KOURY , Présidente de la CCI de Pointe-à-Pitre réunissait aux côtés de M. LEBLANC , M. Stéphane GRAUVOGEL Secrétaire général aux affaires Régionales de la Préfecture ,  M. Bertrand MAZUR , Directeur général adjoint et M. Jean-Louis BOUCARD, Directeur des affaires européennes et de la Coopération de la Région Guadeloupe  ainsi que M. Claude FABIGON Charge dé mission de la Région Guadeloupe en Haïti

            Cette réunion a été l'occasion de présenter à une centaine de  Chefs d’entreprises guadeloupéens opérant principalement dans le secteur du BTP l'état du processus de préparation à la conférence internationale des donateurs de New York prévue le 31 mars prochain.

Les premières conclusions de la mission d'évaluation inter-agences sur les besoins et l'estimation des dommages ont été rendues publiques le 12 mars. Le gouvernement haïtien poursuit de son côté ses consultations avec la société civile pour la finalisation d'un “plan d'action pour le relèvement et le développement national”. Les besoins sont énormes et concernent à la fois le secteur des infrastructures, les logements, les services sociaux, l'éducation et la gestion des risques.

            Monsieur Leblanc a rappelé la position de la France qui vise à assurer une reconstruction pilotée par les Haïtiens, pour les Haïtiens, fondée sur une vision de long terme, en vue d’un aménagement différent du territoire haïtien, et portée par un groupe de bailleurs de fonds coordonnés.  Après une mobilisation sans précédent lors de la phase d'urgence, l'ensemble des partenaires publics, Conseil régional, CCI, DRCE-UBIFRANCE, AFD et l'Etat demeurent mobilisés pour la phase de la reconstruction et poursuivre la contribution guadeloupéenne en soutien à Haïti

            Plusieurs entrepreneurs présents lors de la réunion, dont la Fédération guadeloupéenne des bâtiments publics et l'ordre des architectes, ont dit leur intérêt pour se positionner dans ce processus. Les entreprises guadeloupéennes disposent en effet d'un savoir-faire confirmé pour répondre aux besoins identifiés dans la reconstruction et d'avantages comparatifs dont ne disposent pas toujours les grands groupes tels que les réseaux personnels, la proximité géographique et culturelle, le savoir-faire tropical.

            Parmi les outils financiers disponibles pour accompagner les entreprises ont été cités les prêts OSEO (contact : AFD) ainsi que le SIDEX (soutien individuel à l'exportation, contact : DRCE). Par ailleurs, au sein de la chambre franco-haïtienne, un expert mis à disposition par le Conseil régional relaie les informations concernant les appels d'offre et met en réseau les entreprises guadeloupéennes avec les partenaires haïtiens qui restent la cheville ouvrière de la reconstruction.

           

           

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 18:08

3 PEINTRES À L'HONNEUR À PARIS
 
L’événement inédit « 3x3 », initié par la Fondation Clément, sous la direction du commissaire indépendant Simon Njami, entend valoriser la création caribéenne à l’extérieur et montrer ainsi à un large public la vitalité des propositions esthétiques ultramarines : du 8 avril au 15 juillet 2010, trois galeries parisiennes de renom accueilleront trois artistes contemporains originaires de la Guadeloupe et de la Martinique, Bruno Pédurand, Ernest Breleur et David Damoison.
 

Extraits des déclarations d’intention
 
« L’événement 3x3 associe trois artistes caribéens à trois galeries parisiennes et vise à montrer par la force de leurs esthétiques et de leurs sensibilités la manière particulière dont ils posent leurs regards sur le monde. Trois générations, trois univers, trois techniques pour dire, une fois pour toutes, que ce qui fait la beauté de l’humanité se niche dans ce qu’elle produit, non dans la manière dont elle est définie.», Simon Njami.
 
 « Nos artistes ont besoin d’être reconnus à l’extérieur et c’est ce à quoi nous nous attelons avec les expositions 3x3. Nous avons déjà soutenu plusieurs d’entre eux dans le cadre d’expositions individuelles ou collectives à la Martinique. Nous devons être un relais pour valoriser la création caribéenne à l’extérieur et soutenir des échanges avec d’autres lieux dans le monde », Bernard Hayot.
 
 
La Fondation Clément, fondation d’entreprise de GBH, mène des actions de mécénat en faveur des arts et du patrimoine culturel caribéens. Hébergée à la Martinique à l’Habitation Clément, site patrimonial classé monument historique, elle soutient la création contemporaine grâce à une saison annuelle d’expositions, l’édition d'ouvrages consacrés aux artistes et la constitution d'une collection d’œuvres. www.fondation-clement.org

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 18:07


Plan Banane Durable en Guadeloupe et Martinique
 2008-2013 : 15 mois après, une réalité tangible 
 
Mobilisée en faveur de l’environnement depuis plus de dix ans, la filière Banane de Guadeloupe & Martinique fait continuellement évoluer ses pratiques pour mieux préserver l’air, l’eau et la terre, pour économiser les énergies, gérer ses déchets et développer la biodiversité dans ses plantations.
De même, au quotidien, l’adoption de nouvelles pratiques culturales et l’introduction d’innovations techniques ont pour objectif une agriculture verte, c’est à dire durable.  
 
Ces efforts ont déjà porté leurs fruits avec une réduction de 70% des pesticides utilisés depuis plus de dix ans, portant la filière Banane de Guadeloupe & Martinique parmi les moins consommatrices de pesticides au niveau mondial, de 5 à 10 fois que ses principaux
concurrents sur le marché européen. 
 
Cet engagement pour assurer la pérennité de la filière Banane aux Antilles françaises s'est naturellement concrétisé par la signature du Plan Banane Durable (2008-2013) avec Michel Barnier, Ministre de l'agriculture en décembre 2008. Ce Plan a été un coup d'accélérateur fort de la démarche initiée par la filière, une nouvelle illustration de l’esprit d’initiative qui anime les 700 planteurs de Guadeloupe et Martinique et les 10 000 salariés qui composent la filière, pour faire du développement durable une réalité quotidienne. Dans le cadre de ce plan, la filière s’investit en effet avec les pouvoirs publics, pour le consommateur, autour d’engagements forts et pionniers sur les
dimensions économique, sociale, et bien sûr, environnementale :
- Objectif pérennité économique : assurer la pérénnité économique de la filière dans un contexte économique difficile aux Antilles françaises
 
- Objectif développement social : défendre les conditions de travail des planteurs et des salariés de la filière; être soucieux de l'évolution des carrières (formations, transferts de compétences)
 
- Objectif environnemental : évaluer et réduire tous les impacts de la culture de - la banane sur l’environnement remarquable et fragile de la Guadeloupe et de la - Martinique

En somme, des initiatives concrètes de développement durable qui s'inscrivent dans la lignée du Grenelle de l'environnement et les objectifs des pouvoirs publics à ce sujet. Mais la filière Banane de Guadeloupe & Martinique va tenter de faire encore mieux et plus
vite que les objectifs fixés : elle s’est donné l'objectif de remplir ses engagements en 2013, soit 5 ans plus tôt que ceux du Grenelle de l’environnement…
Et déjà, un peu plus d'un an après sa mise en place officielle, le Plan Banane Durable en Guadeloupe et Martinique est une réalité tangible.  Les premiers résultats sont concluants et les chantiers prometteurs pour l'avenir sont bel et bien engagés, ce qui fait de la production Banane Durable de Guadeloupe et Martinique une démarche exemplaire, la différenciant sur le marché international.

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 14:37
Alain Joyandet : "Je ne pense pas être un ministre dépensier"

Epinglé pour avoir loué un jet privé pour participer à une conférence internationale à la Martinique, le secrétaire d'Etat à la Coopération, Alain Joyandet affirme ne pas être "un ministre dépensier" dans un entretien à Aujourd'hui en France paraissant mardi.
Le site d'informations Mediapart avait révélé que le ministre avait loué un jet privé pour 116.500 euros afin de participer à une conférence internationale à la Martinique créant la polémique.
"Je ne pense pas être un ministre dépensier" affirme M.Joyandet qui précise que "M.Dozière a indiqué que mon cabinet était l'un des moins dépensier".
René Dozières est député de l'Aisne apparenté socialiste. Surnommé le comptable de la République, il s'est spécilisé dans la chasse aux gaspillages de dépenses publiques.
Celui-ci également interrogé par le quotidien populaire ne confirme cependant pas les propos du ministre.
"Joyandet est un récidiviste" explique M.Dozières qui raconte qu'il "avait déjà fait le coup pour se rendre à Haïti".
M.Dozières dénonce une "dérive chez les ministres". "Ils ont de plus en plus recours à l'utilisation de jets privés -pourtant plus coûteux", alors que l'Etat leur met à disposition des avions gouvernementaux par l'ntermédiaire de l'Etezc (ndlr: l'Escadron de transport, d'entraînement et de calibration).
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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 14:36
Alain Joyandet : "Je ne pense pas être un ministre dépensier"

Epinglé pour avoir loué un jet privé pour participer à une conférence internationale à la Martinique, le secrétaire d'Etat à la Coopération, Alain Joyandet affirme ne pas être "un ministre dépensier" dans un entretien à Aujourd'hui en France paraissant mardi.
Le site d'informations Mediapart avait révélé que le ministre avait loué un jet privé pour 116.500 euros afin de participer à une conférence internationale à la Martinique créant la polémique.
"Je ne pense pas être un ministre dépensier" affirme M.Joyandet qui précise que "M.Dozière a indiqué que mon cabinet était l'un des moins dépensier".
René Dozières est député de l'Aisne apparenté socialiste. Surnommé le comptable de la République, il s'est spécilisé dans la chasse aux gaspillages de dépenses publiques.
Celui-ci également interrogé par le quotidien populaire ne confirme cependant pas les propos du ministre.
"Joyandet est un récidiviste" explique M.Dozières qui raconte qu'il "avait déjà fait le coup pour se rendre à Haïti".
M.Dozières dénonce une "dérive chez les ministres". "Ils ont de plus en plus recours à l'utilisation de jets privés -pourtant plus coûteux", alors que l'Etat leur met à disposition des avions gouvernementaux par l'ntermédiaire de l'Etezc (ndlr: l'Escadron de transport, d'entraînement et de calibration).
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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 14:32
La campagne de vaccination contre la grippe H1N1 a coûté 670 M d'euros

La campagne de vaccination contre la grippe H1N1, qui a fait l'objet de vives critiques, a coûté à ce jour 670 millions d'euros, selon des estimations des ministères de la Santé et de l'Intérieur communiquées jeudi.
Ces estimations englobent le coût des vaccins, l'organisation et la mise en oeuvre de la vaccination dans les centres de vaccination, fermés depuis fin janvier. Elles ne prennent pas en compte les dépenses générées par la poursuite de la vaccination chez les généralistes et dans certains centres hospitaliers, a-t-on précisé au ministère de la Santé.
Le poste de dépenses le plus important, et aussi celui qui a suscité le plus de critiques, concerne les vaccins, dont 94 millions de doses avaient été initialement commandées.
Les dépenses d'acquisition des doses vaccinales sont évaluées à 334 millions d'euros, incluant le coût (56 millions d'euros) des 9 millions de doses données à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
A cette somme s'ajoutent 48 millions d'euros estimés pour l'indemnisation des laboratoires après l'annulation d'une partie des commandes par la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot.
La ministre a fait le point sur les négociations avec les laboratoires, mardi devant la commission d'enquête sénatoriale : un contrat d'indemnisation a été signé avec Novartis, d'un montant de 16% du contrat initial, et les négociations "continuent" avec les autres laboratoires, GSK et Sanofi-Pasteur.
Par ailleurs, les dépenses de fonctionnement des centres de vaccination, qui ont eux aussi fait l'objet de nombreuses critiques, sont évaluées aujourd'hui à 23 millions d'euros. Elles comprennent l'équipement des centres (17 millions) et l'indemnisation pour la réquisition des locaux (6 millions).
Les dépenses de personnels sont estimées à quelque 172 millions d'euros, dont près de 104 millions pour les professionnels de santé et 68 millions pour les personnels administratifs.
Le coût du dispositif des bons de vaccination envoyés par l'assurance maladie (incluant la gestion informatique, l'édition et l'expédition) est évalué à 52 millions d'euros.
En outre, s'ajoutent au coût des vaccins proprement dit celui des "consommables" nécessaires à leur administration (vaccins, aiguilles...), estimé à 9 millions d'euros. Ainsi que celui de la "logistique", estimé à 30 millions (acheminement dans les centres, élimination des déchets médicaux).
Enfin 2 millions d'euros ont été consacrés à la promotion de la campagne de vaccination par l'Institut de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).
Quelque 6 millions de personnes ont été vaccinées contre la grippe H1N1 lors de cette campagne, selon le ministère de la Santé. Mme Bachelot a rappelé devant la commission d'enquête sénatoriale que les acquisitions de vaccins avaient été "dimensionnées de façon à pouvoir proposer la vaccination à l'ensemble de la population".
Une commission d'enquête sur la campagne de vaccination a également été mise en place à l'Assemblée nationale.
En septembre, avant le déclenchement de la grippe, la ministre de la Santé avait estimé le coût de la lutte contre la pandémie à 1,5 milliard d'euros, dont 1,1 milliard consacrés à l'achat de produits (vaccins, masques...) et 450 millions aux campagnes d'information, à la rémunération des médecins et du personnel.
Le grippe pandémique a fait en France métropolitaine 310 décès, auxquels s'ajoutent 30 décès outremer.
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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 14:32
Les épreuves d'un concours de recrutement de professeurs à nouveau reportées

Quelque 2.000 candidats aux concours de recrutement des professeurs de lycée professionnel, dont les épreuves initiales avaient déjà été reportées, devront repasser des épreuves le 23 avril, a annoncé le ministère de l'Education dans un communiqué vendredi.
Les épreuves écrites d'admissibilité des concours de recrutement internes des CAPLP (certificat d'aptitude au professorat de lycée professionnel, ndlr) de langues vivantes-lettres et CAPLP de lettres-histoire, qui devaient se dérouler jeudi 25 mars, ont été reportées "au vendredi 23 avril, aux mêmes horaires, en raison d'un mouvement social sur le territoire de Wallis-et-Futuna", a affirmé le ministère.
2.122 candidats sont inscrits à ces concours.
Ces candidats avaient déjà vu leurs épreuves du 4 février reportées en raison de l'alerte au cyclone décrétée sur le territoire polynésien début février (cyclone Oli).
Quand les épreuves sont annulées, elles le sont sur tout le territoire, afin qu'il n'y ait pas rupture d'égalité des candidats à un concours de la fonction publique.
"Le bénéfice des épreuves subies le mercredi 3 février par les candidats au CAPLP interne sera conservé", précise le ministère.
Les candidats "recevront une nouvelle convocation des services académiques des examens et concours très prochainement", conclut-il.

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 14:31
La réforme du statut de la Guyane avant la fin de l'année devant le Parlement

 Le projet de loi statutaire de la future collectivité unique de Guyane "sera déposé devant la Parlement avant la fin de l'année afin qu'il soit débattu en 2011 en fonction du calendrier parlementaire", a annoncé lundi à Cayenne la ministre de l'Outre-mer Marie-Luce Penchard devant les présidents des assemblées territoriales et les parlementaires de Guyane.
"Conformément à la feuille de route du Président de la République, je suis venue en Guyane lancer la phase de consultation qui doit aboutir au dépôt de la loi devant le Parlement avant la fin 2010", a précisé Mme Penchard à l'AFP.
La méthode retenue consiste à "redonner la mains aux élus de Guyane", a poursuivit Mme Penchard, qui a fixé une première réunion "à Paris au mois de mai" afin "de vérifier que les propositions des élus respectent les dispositions législatives".
Des ateliers de travail des deux collectivités vont trancher sur les questions du nombre de conseillers territoriaux qui siégeront dans cette nouvelle assemblée, de son fonctionnement politique, de son nom ou encore du mode de scrutin pour élire ses futurs représentants.
La phase "d'arbitrage des propositions des élus se déroulera entre juin et septembre" afin de "faire une présentation des textes au mois d'octobre-novembre avec les contours de la loi qui devra être soumise au Parlement", a ajouté Mme Penchard.
Pour Christiane Taubira, députée de la première circonscription de Guyane et conseillère régionale d'opposition, "il faudra réussir parce que l'enjeu est considérable. Là, il ne s'est strictement rien passé, c'était une réunion pour réinventer le fil à couper le beurre" a poursuivi la députée.
La question de la date de mise en oeuvre de la nouvelles collectivité n'a pas été tranchée. Soit elle se mettra en place dès 2012, soit en 2014 "pour se caler sur le calendrier national" a indiqué Mme Penchard.
Les 10 et 24 janvier, les électeurs de Guyane avaient voté très largement (70,22%) contre un accroissement de l'autonomie de la Guyane dans le cadre de l'article 74 de la Constitution, puis pour la fusion (57,49%) du département et de la région en une seule collectivité.

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 14:31
Deux siècles après sa mort, le "plébiscite" de Joséphine aux enchères

" Tout est fini, il abdique...": cette lettre de Joséphine à propos de Napoléon Ier a été acquise pour 86.745 euros samedi à Fontainebleau, lors de la vente aux enchères d'une collection rare qui a été "plébiscitée", selon la maison Osenat.
L'ensemble dispersé samedi, réuni par un collectionneur français, comportait 50 lettres de l'impératrice Joséphine (1763-1814) et environ 400 documents la concernant ou touchant à l'histoire de la Révolution et du Premier Empire.
Le produit total de la vente s'élève à 700.000 euros (frais compris), "un montant deux fois supérieur à ce que l'on en attendait", a indiqué à l'AFP le commissaire-priseur Jean-Pierre Osenat.
"C'est vraiment un triomphe ! C'est la confirmation que dans tous les pays du monde on s'intéresse à Joséphine", a ajouté le président de la maison Osenat, soulignant que des "Américains, des Anglais, des Allemands, des Russes, des Suisses" ont participé, par téléphone, aux enchères.
La lettre "Tout est fini, il abdique, je vis dans les transes et une anxiété horrible...", écrite par Joséphine en avril 1814 à son fils Eugène de Beauharnais, a atteint le montant record de 86.745 euros.
Elle a largement devancé la fameuse missive amoureuse de 1796 "Mon mari ne m'aime pas, il m'adore, je crois qu'il deviendra fou. Il est impossible d'être plus heureuse que je ne le suis de ce côté" (39.655 euros).
Un lot de trois lettres, dont une en copie à Napoléon lui disant "Bonaparte, tu m'as promis de ne pas m'abandonner...", a été vendue 55.765 euros.
Quant au mot d'Alexandre Berthier à Joséphine en 1797 "Oui vous possédés le coeur de l'honne qui sera le plus grand non seulement de son siècle mais de tous ceux passés..." (sic), il est parti pour 10.390 euros.
"Finalement, c'est la lettre la plus magique, la plus intéressante qui a atteint le montant le plus élevé", a estimé Jean-Pierre Osenat. Pourquoi ? "Parce que c'est l'Histoire. Une espèce d'épopée qui a fait frissonner la terre entière pendant quinze ans", s'enflamme le commissaire-priseur, pour qui "il y a encore aujourd'hui une passion napoléonienne incroyable".
Les Archives nationales de France ont préempté, pour le département des Hautes-Pyrénées, un témoignage sur l'incendie de Moscou. De nombreuses acquisitions ont en outre été réalisées par des collectivités locales et des musées, dont celui du château de Malmaison (Hauts-de-Seine), qui fut la propriété de Joséphine.
Née en 1763 en Martinique, Marie-Josèphe-Rose de Tascher de la Pagerie, dite Joséphine, a épousé en premières noces Alexandre de Beauharnais. Emprisonnée en 1794 puis relâchée, elle est devenue la maîtresse de Barras. Ce dernier l'a délaissée et lui alors présenté le jeune officier Napoléon Bonaparte.
Très épris, Bonaparte l'a épousée civilement en mars 1796. Proclamée impératrice en 1804, Joséphine a été contrainte de divorcer en 1809 faute de pouvoir donner à l'empereur une descendance. Elle est morte de pneumonie le 29 mai 1814.
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