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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 14:11

Les doutes sur les risques du portable demeurent

La plus importante étude menée à ce jour sur l'utilisation du téléphone portable n'a pas montré de liens clairs avec certains cancers du cerveau mais la suspicion demeure et d'autres études seront nécessaires. Les résultats de l'étude Interphone de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) présentés mardi laissent en effet penser que les grands utilisateurs de portables courent un risque supérieur, sans toutefois trancher. "L'étude ne met pas en évidence un risque accru de tumeur, mais en même temps, on ne peut pas conclure qu'il n'y a pas de risque", explique Élisabeth Cardis, coordinatrice principale de l'étude, sur la radio des Nations unies.
"On a un certain nombre d'éléments qui semblent indiquer qu'il y a peut-être une augmentation de risque chez les gros utilisateurs, chez ceux qui tenaient le téléphone du même côté de la tête où s'est développée la tumeur", ajoute-t-elle. Certaines données montrent ainsi un risque de gliome de 40% supérieur et un risque de méningiome de 15% supérieur chez les participants qui ont déclaré une utilisation fréquente et habituellement du même côté de la tête que la tumeur.
Les auteurs de la recherche affirment toutefois que des difficultés méthodologiques et les erreurs limitent la force des conclusions et empêchent d'établir une "interprétation causale".
Pour l'association Robin des toits, cette étude montre bien des risques de cancer du cerveau "accrus de 40% chez les utilisateurs d'un téléphone mobile pendant une durée de 10 ans à raison d'une demi-heure d'utilisation par jour." "Les risques pour la santé de la téléphonie mobile ne sont pas 'possibles', 'allégués' ou 'supposés', ils sont réels", écrit-elle dans un communiqué.
UNE ÉTUDE "MOBIKIDS" LANCÉE
En conséquence, l'association militant pour la sécurité sanitaire dans les technologies demande aux pouvoirs publics d'ajourner le déploiement de toute nouvelle technologie sans fil "jusqu'à ce que son innocuité soit démontrée". Pilotée par le Centre international de recherche sur le cancer, qui dépend de l'OMS, l'étude a été lancée en 2000 pour vérifier si l'engouement sans précédent pour le téléphone portable pouvait être dangereux. Pour disposer de données puissantes, l'enquête a été menée dans 13 pays (Allemagne, Australie, Canada, Danemark, Finlande, France, Israël, Italie, Japon, Norvège, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni, Suède). Elle vise à établir une éventuelle relation entre l'usage du téléphone mobile pendant dix ans et les tumeurs du cerveau (gliome, méningiome), du nerf acoustique et de la glande parotide (salivaire). La majeure partie des ondes sont absorbées par les organes à proximité immédiate de l'appareil, notamment le cerveau.
La majorité des personnes observées n'étaient pas des utilisateurs intensifs du téléphone, avec un temps médian de deux à deux heures et demi par mois. Les plus gros utilisateurs (10% du total) l'utilisaient en moyenne une demi-heure par jour. L'une des raisons justifiant la poursuite des études sur le sujet est développement rapide de l'utilisation du téléphone portable chez les jeunes, qui ne sont pas couverts par l'étude Interphone.
Un nouveau projet - Mobikids - a été ainsi lancé en mars 2009 pour étudier le risque de tumeurs cérébrales chez les enfants et les adolescents, toujours dans 13 pays.
(Gérard Bon, édité par Yves Clarisse)

Lu sur Reuters

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 22:45

INDISCRÉTIONS
Gérard et Gérard
Mercredi, à la sortie d'une réunion avec Greg Germain, à Sonis, il n'y avait personne pour faire fonctionner l'ascenseur. Deux membres de l'association, Bruno et Gustave avaient accepté de redescendre Gérard Lefort, président du Groupement des acteurs de la Guadeloupe, au rez-de-chaussée. Mais, ils avaient mal au dos. Mauvaise manœuvre, chute dans l'escalier, double fracture tibia-péroné de la jambe gauche pour M. Lefort.
Gérard Poumaroux, directeur de Sonis, qu'il a rencontré peu après, l'a accueilli, « comme d'habitude avec une grande gentillesse », explique M. Lefort, « mais, regrette-t-il, il ne s'est pas excusé pour les déficiences de sa structure ou de l'organisation de sa structure. Je ne sais pas si les gens se rendent compte des difficultés que représente une double fracture tibia-péroné lorsque vous êtes déjà en fauteuil roulant et que vous vivez seul. » Il dépose plainte contre Sonis.

Jean
Jean Fabre s'inquiète des déchets de chantiers. Que fait-on des gravats et autres cuvettes de toilettes et tuyaux quand on démolit un bâtiment ? Habituellement, monsieur le préfet, on les jette dans la mangrove, du côté de Jarry, pour combler celle-ci et lotir le terrain ainsi gagné sur l'eau. On comprend l'inquiétude du représentant de l'Etat quand on sait que la rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre/Les Abymes, ce sont des centaines de milliers de mètres cubes de déchets de chantiers. Il paraît que du côté du port on est intéressés par ces déchets (pour déverser dans la mer et servir de base pour les futurs quais) mais où les stocker en attendant ? Les entrepreneurs du BTP chargés de la démolition ne sont pas intéressés par le paiement du stockage...

Victorin
Le débat sur le texte de la réforme des collectivités locales est prévu à l’Assemblée Nationale à partir du 25 mai. Parmi les nombreux amendements déposés, celui signé par Victorin Lurel et deux députés de la Réunion. Ce texte demande l'exclusion de la Guadeloupe et la Réunion de la modification qui consisterait à remplacer les conseillers généraux et régionaux par les seuls conseillers territoriaux qui siégeront dans les deux assemblées. M. Lurel demande, si la Guadeloupe est concernée que les populations soient consultées.

Victorin et Jacques
Victorin Lurel, président de Région, a eu l'idée d'un Mémorial Acte. Il s'agit d'un Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage. Qui va s'élever sur l'ancienne friche de l'usine sucrière Darboussier, lieu qui, pour information, n'est en rien symbolique de l'esclavage puisque construite après l'Abolition de 1848, à la fin du XIXe siècle ! Coût : 45 millions d'euros. Entretenir les forts Delgrès et Fleur d'Epée, qui appartiennent au conseil général de Jacques Gillot, monuments symbolique de la geste héroïque des Noirs de ce pays, les transformer en... Mémorial Acte en aménageant leurs espaces, aurait permis de valoriser deux sites historiques de premier rang tout en coûtant moins cher !

Jacques
Il en a du courage, Jacques Anselme, du conseil général ! Chaque semaine il visite les collèges, s'entendant partout demander des sous pour une porte qui ne ferme pas, des toilettes bouchées, des ampoules qui manquent, etc. Que fait-on, à ce propos, des plans de rénovation des établissements scolaires dans le cadre de la mise aux normes antisismiques ? On attend le prochain tremblement de terre ? La porte sera changée, les toilettes seront débouchées, les ampoules seront là... en miettes sous les gravats ?
André-Jean VIDAL

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 14:27

TRIBUNE LIBRE
SEXE, HISTOIRE ET TECTONIQUE
Par Dominique DOMIQUIN

A l’époque où la masse sombre qui domine l’embouchure du Galion s’appelait encore Fort St Charles (années 80), j’y rejoignais mon père après l’école en grimpant à travers le quartier populaire du Carmel. Cet imposant édifice militaire abritait alors l’observatoire de vulcanologie de Guadeloupe, antenne de l’Institut de Physique du Globe de Paris. J’en connais chaque pierre pour y avoir passé une partie de mon enfance. J’y ai mainte fois repoussé l’anglais à coups de canons rouillés, échappé à des fantômes aux orbites vides qui tentaient de m’agripper quand je rodais trop près des cachots. Tel Louis Delgrès, par une poterne dérobée surplombant la falaise, j’ai échappé aux troupes impériales venues rétablir l’esclavage. J’ai écrasé des amandes pour en savourer les graines. J’ai saigné des manguiers pour en récolter l’ambre, gratté la croûte des gommiers tel un indien Karib radoubant son embarcation. Mes exploits accomplis, je dévorais mon goûter avant de faire pipi sur la tombe de Richepanse. Je n’en tire aucune fierté. Ce rituel n’était pas un acte réfléchi. Il se trouve simplement que le bougre est enterré à l’endroit le plus élevé du fort, celui d’où l’on peut voir descendre le soleil sur la Mer des Caraïbes.

A l’époque, Michel Feuillard dirigeait l’observatoire. Il était aussi membre de la Société d’Histoire de Guadeloupe. Le bâtiment de la Grande Poudrière avait été choisi parce qu’on le savait capable de résister à une éruption sérieuse. L’endroit avait quelque chose du cloître avec ses murs humides supportant une voûte cloquée de salpêtre. On y parlait peu si ce n’était pour murmurer des mots hermétiques : « hypocentre », « onde mécanique », « lapilli », « plagioclases », « faille de San Andréas », «continental drift », « Vésuvien » ou « Péléen »…

Partout des câbles enchevêtrés, des outils, des diodes, des cartes géographiques, des bouquins en anglais, en espagnol ou en français. Aux murs, un lot de photos et de gravures jaunies montrant la Soufrière dans tous ses états. Studieux, on analysait des roches, de l’eau, des gaz. On épluchait les données prélevées aux quatre coins de la Caraïbe et d’Amérique. Le sourcil froncé, on surveillait de grosses bandes magnétiques. On programmait les tout premiers ordinateurs en langage Basic. On déchiffrait de mystérieux rouleaux crachés par de grosses machines prenant constamment le pouls du volcan. On y recevait des scientifiques de stature mondiale comme Haroun Tazieff ou Katia et Maurice Kraft. Là, dans ce bunker tropical, j’ai appris combien mon île pouvait être fatalement vivante. Appris à ressentir dans mon corps d’enfant des secousses sismiques quasi imperceptibles pour les profanes.

Les hommes de Michel Feuillard, guadeloupéens et métros, n’étaient pas tous des diplômés ayant fait de grandes études. Beaucoup ont appris sur le tas, à la dure et gravi les échelons au fil des formations. En vérité, ces gars là renvoyaient Mc Gyver à sa place de comique. Ils furent les premier a installer et exploiter éoliennes et panneaux solaires en Guadeloupe (suite à l’éruption de 1976) Des pionniers ! Ils travaillaient en sous-effectif permanent avec de maigres moyens qu’intelligence et débrouillardise devaient compenser. A l’époque, tout ou presque était à inventer… Ces scientifiques étaient aussi des randonneurs solides, connaissant bien les traces qu’abrite la forêt tropicale humide. Grimper dans la gadoue sous une pluie diluvienne et/ou dans une chaleur étouffante avec, sur le dos, un groupe électrogène ou un sismomètre qui se dérègle au moindre choc, garder l’esprit clair pour effectuer des relevés et des opérations complexes de calibrage : Ay chèché y, piti !

Fort Delgrès -c’est aujourd’hui son nom- est moins connu pour avoir accueilli les « basses » et ébats amoureux des lycéen(ne)s acnéiques de Gerville-Réache, (ceux du très austère et catholique Pensionnat de Versailles préféraient, je le confesse, l’herbe du Jardin Botanique de Basse-Terre). Le Fort fut surtout l’hôte de nombreux spectacles (théâtre, musique, danse, projections de films, reconstitutions, expos), et d’un musée jamais vraiment abouti… L’endroit est donc un haut lieu de l’Histoire et de la Culture de notre archipel. Il ne demande qu’à revivre. Hélas ! Depuis que l’observatoire a déménagé, le Fort s’ennuie…

Le 27 mai 2008 fut posée la première pierre du Mémorial Acte : “Centre Caribéen d’Expressions et de Mémoire de la Traite et de l’Esclavage”. Ce projet ambitieux ressuscite au passage la friche de l’ancienne usine Darboussier à Pointe-à-Pitre. Un édifice colossal de 4000 m2 de murs et 2300 m2 de jardins, le tout pour un coût de 45 millions d’euros… Caramba ! Ça donne envie d’être architecte ! Inclure le Fort dans un tel projet, ou plutôt l’y relier, permettrait peut-être de joindre l’utile à l’utile ? Je n’ai rien contre Darboussier, lieu tout aussi symboliquement « chargé » d’histoire. Mais pourquoi ne pas habiller la Basse-Terre sans déshabiller la Grande-Terre ? Faire d’une pierre plusieurs coups ? Valoriser le patrimoine existant, honorer la mémoire des ancêtres, étudier sans tabous la question de l’esclavage tout en faisant des économies ? Créer des emplois, redynamiser le tourisme ? Surtout en cette période de crise, quand bien même l’on sait que l’Europe finance la chose pour moitié ?

« Décidément, quoiqu’on fasse, le Créole n’est jamais content ! »  Dira t’on. Evidemment, que le Fort reprenne vie, que les guadeloupéens s’y sentent comme chez eux, que les touristes aient envie d’y revenir me ferait plaisir, puisque cet endroit a -à plus d’un titre- contribué à faire de moi qui je suis. Mon propos n’est donc pas de déclencher quelque polémique stérile ni de fustiger la mandature régionale fraîchement reconduite. Je n’ai d’ailleurs aucune idée de ce qu’une telle entreprise peut coûter en matière de réfection, de remise aux normes de sécurité, d’hygiène, etc. Alors disons que c’est ma contribution du moment au débat citoyen. Ma façon à moi, tout en commémorant les deux abolitions de l’esclavage, de saluer ceux qui, comme mon père Alain Domiquin, Christian Anténor-Habazac, Gilbert Hammouya, Bertrand Figaro, André Salin ou Michel Feuillard ont, souvent dans l’ombre, beaucoup, beaucoup, beaucoup veillé à ce que nous puissions dormir tranquilles.

Et le sexe dans tout ça ? Pourquoi ce titre racoleur ? Ben… y’en a un peu quand même ! Mais j’avoue que c’était pour accrocher le chaland. Le procédé est ô combien minable, j’en conviens, mais comme à ce qu’il paraît plus personne ne lit en Guadeloupe…
 
Dominique DOMIQUIN
Basse-Terre, le 16/05/10

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 14:26

GÉRARD LEFORT EST BIEN TRISTE

Bonjour,

Mercredi, à la sortie de la réunion avec Greg GERMAIN, à Sonis, il n'y avait personne pour faire fonctionner l'ascenseur. Les 2 membres de l'association, Bruno et Gustave, qui, gentiment, avaient accepté de me redescendre au rez-de-chaussée, avaient mal au dos. Il s'en est suivi une mauvaise manoeuvre qui a abouti à ma chute dans l'escalier avec pour conséquence une double fracture tibia-péroné de ma jambe gauche.

Quand j'ai appris cette nouvelle à Gustave samedi, sa première parole a été de me dire que c'était de ma faute. Cela m'a fait mal ! Heureusement nous nous sommes vus samedi soir, lors de la clôture de Cap Excellence en Théâtre, et fort humainement il est resté longuement à mes côtés, nous avons discuté et il s'est excusé de m'avoir fait tombé.

Bruno, pour sa part, a réagi en ami, en véritable ami et je l'en remercie publiquement chaleureusement.

Gérard POUMAROUX, que j'ai rencontré aussi samedi soir, m'a accueilli comme d'habitude avec une grande gentillesse, mais il ne s'est pas excusé pour les déficiences de sa structure ou de l'organisation de sa structure. Je ne sais pas si les gens se rendent compte des difficultés que représente une double fracture tibia-péroné lorsque vous êtes déjà en fauteuil roulant et que vous vivez seul.

J'en suis donc à me poser la question de savoir si je vais porter plainte contre Sonis. J'hésite entre mon combat pour la reconnaissance du devoir d'intégration des personnes handicapées, et mon engagement pour le théâtre (Sonis n'a pas besoin de ce type de publicité, ni d'un procès qui pourrait lui coûter cher).

Pendant que j'y suis, je vais parler des débuts de l'association. J'en ai marre des procès d'intention et des interprétations qui ne débouchent pratiquement jamais sur des demandes d'explications. Si je ne décroche pas moi-même le téléphone pour savoir ce qui ne leur plaît pas, ou si je ne vais pas au devant d'eux lorsqu'on se croise, tout reste du domaine du non dit et du fantasme. Je laisse pratiquement tout le temps mon numéro de téléphone à la fin de mes mails. Appellez moi, qu'on se parle ! Autre chose, lorsqu'on me dit qu'on n'est pas pressé d'adhérer et quand même temps on me demande de diffuser des informations sur des cours qu'on souhaite donner à la rentrée, j'ai l'impression qu'on me prend pour un con. Mais c'est vrai, on est toujours le con de quelqu'un.
Tout n'est pas négatif, loin de là, et je remercie ceux qui m'ont soutenu dans ces derniers jours : Eric, Laurence et Laurent pleinement et Isabelle avec interrogations. Je ne serai pas ingrat, je sais qu'il y aura d'autres personnes comme Gigi, Chrystèle, Sosso ...qui seront toujours prêtes à m'aider, que cela soit sur un plan personnel ou pour l'association et elles l'ont déjà amplement prouvé. Merci pour elles.

Voilà, demain je pars à Trinidad, jusqu'au 24. Cela va me faire une bonne coupure. J'en ai besoin parce que le théâtre ...

Gérard

Merci à ceux qui m'ont envoyé des messages de soutien.

Je tiens cependant à préciser que je ne pars pas en vacances mais pour des raisons professionnelles. Je dois participer à un forum de business international (  www.tic-tt.com ) pour le développement de mon entreprise pour laquelle j'ai déjà investi beaucoup d'argent. Des médecins me déconseillent de voyager en raison des risques multiples de complication (un valide ne pourrait pas partir à cause des douleurs), mais si je ne m'occupe pas de mes affaires, qui va le faire pour moi ?

Si vous voulez savoir ce que je fais, allez sur le site de mon entreprise  www.exotyc-fun.com et prenez le temps de consulter les rubriques "Sécurité routière" (c'est ce qui me nourrit) et "Handicap" (c'est ce qui m'anime). Vous aurez peut-être une autre image du "gagman" !

Je suis paraplégique depuis le 06/11/03. J'ai cru pouvoir apporter mon enthousiasme au théâtre guadeloupéen depuis le 06/12/09. Il en résulte que ma position actuelle est le dépôt d'une plainte contre Sonis, même si la décision judiciaire peut être la fermeture de la salle jusqu'à ce que l'ascenseur soit opérationnel.

On m'accuse d'agir trop vite (D'abord par rapport à qui ? Est-ce entièrement de ma faute si les gens ne comprennent pas mon action et si ils pensent que je vais à l'encontre de leurs intérêts ?), aussi vais-je laisser passer cette semaine à Trinidad. A mon retour je prendrai une décision, et vous me connaissez, j'irai au bout. D'ailleurs je tiens à préciser que je n'abandonne pas le Groupement, et j'insiste sur le fait que plus nous serons nombreux à croire en nous, plus nous aurons de poids (c'est une idée de base mais tellement peu partagée).

On se revoit le 27.
Gérard

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 14:26

INDISCRÉTIONS
Gérard et Gérard
Mercredi, à la sortie d'une réunion avec Greg Germain, à Sonis, il n'y avait personne pour faire fonctionner l'ascenseur. Deux membres de l'association, Bruno et Gustave avaient accepté de redescendre Gérard Lefort, président du Groupement des acteurs de la Guadeloupe, au rez-de-chaussée. Mais, ils avaient mal au dos. Mauvaise manœuvre, chute dans l'escalier, double fracture tibia-péroné de la jambe gauche pour M. Lefort.
Gérard Poumaroux, directeur de Sonis, qu'il a rencontré peu après, l'a accueilli, « comme d'habitude avec une grande gentillesse », explique M. Lefort, « mais, regrette-t-il, il ne s'est pas excusé pour les déficiences de sa structure ou de l'organisation de sa structure. Je ne sais pas si les gens se rendent compte des difficultés que représente une double fracture tibia-péroné lorsque vous êtes déjà en fauteuil roulant et que vous vivez seul. » Il dépose plainte contre Sonis.

Jean
Jean Fabre s'inquiète des déchets de chantiers. Que fait-on des gravats et autres cuvettes de toilettes et tuyaux quand on démolit un bâtiment ? Habituellement, monsieur le préfet, on les jette dans la mangrove, du côté de Jarry, pour combler celle-ci et lotir le terrain ainsi gagné sur l'eau. On comprend l'inquiétude du représentant de l'Etat quand on sait que la rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre/Les Abymes, ce sont des centaines de milliers de mètres cubes de déchets de chantiers. Il paraît que du côté du port on est intéressés par ces déchets (pour déverser dans la mer et servir de base pour les futurs quais) mais où les stocker en attendant ? Les entrepreneurs du BTP chargés de la démolition ne sont pas intéressés par le paiement du stockage...

Victorin
Le débat sur le texte de la réforme des collectivités locales est prévu à l’Assemblée Nationale à partir du 25 mai. Parmi les nombreux amendements déposés, celui signé par Victorin Lurel et deux députés de la Réunion. Ce texte demande l'exclusion de la Guadeloupe et la Réunion de la modification qui consisterait à remplacer les conseillers généraux et régionaux par les seuls conseillers territoriaux qui siégeront dans les deux assemblées. M. Lurel demande, si la Guadeloupe est concernée que les populations soient consultées.

Victorin et Jacques
Victorin Lurel, président de Région, a eu l'idée d'un Mémorial Acte. Il s'agit d'un Centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage. Qui va s'élever sur l'ancienne friche de l'usine sucrière Darboussier, lieu qui, pour information, n'est en rien symbolique de l'esclavage puisque construite après l'Abolition de 1848, à la fin du XIXe siècle ! Coût : 45 millions d'euros. Entretenir les forts Delgrès et Fleur d'Epée, qui appartiennent au conseil général de Jacques Gillot, monuments symbolique de la geste héroïque des Noirs de ce pays, les transformer en... Mémorial Acte en aménageant leurs espaces, aurait permis de valoriser deux sites historiques de premier rang tout en coûtant moins cher !

Jacques
Il en a du courage, Jacques Anselme, du conseil général ! Chaque semaine il visite les collèges, s'entendant partout demander des sous pour une porte qui ne ferme pas, des toilettes bouchées, des ampoules qui manquent, etc. Que fait-on, à ce propos, des plans de rénovation des établissements scolaires dans le cadre de la mise aux normes antisismiques ? On attend le prochain tremblement de terre ? La porte sera changée, les toilettes seront débouchées, les ampoules seront là... en miettes sous les gravats ?
André-Jean VIDAL

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 21:07

La saison des ouragans 2010 sera "intense" dans les Caraïbes, Haïti menacé

La probabilité qu'un ou plusieurs ouragans majeurs frappent les Caraïbes est plus élevée cette année que d'ordinaire, avertissent les météorologues américains, qui pointent du doigt la vulnérabilité d'Haïti, à genoux depuis le séisme du 12 janvier.
La saison des ouragans, qui s'étale du 1er juin au 30 novembre, "sera plus intense que d'ordinaire", explique William Gray, qui dirige un groupe de météorologues spécialisés dans les ouragans à l'université du Colorado (ouest des Etats-Unis).
Selon les projections qu'ils ont réalisées, cette année verra la formation dans l'Atlantique d'un total de 11 à 16 tempêtes tropicales (la moyenne tourne autour de 9 à 10), desquelles pourraient naître entre 6 et 8 ouragans, et qui pourraient à leur tour donner de 3 à 5 ouragans majeurs.
Un ouragan est qualifié de majeur lorsque ses vents dépassent les 178 km/h.
Cette année, les experts se sont particulièrement penchés sur le cas d'Haïti, où 1,2 million de personnes ont été jetées à la rue par le séisme du 12 janvier.
Or, avertit M. Gray, "cette année, le risque qu'Haïti se trouve sur la trajectoire d'un ouragan pourrait être légèrement plus élevé que d'habitude".
En 2010, explique Phil Klotzbach, un des météorologues de l'université du Colorado, "nous avons calculé qu'il y avait 49% de risques qu'une tempête tropicale passe à moins de 80 km d'Haïti".
Mais avant que débute la saison des ouragans, les Haïtiens doivent d'abord faire face à la saison des pluies.
Jeudi, une pluie tropicale a réveillé Port-au-Prince, compliquant grandement la vie des centaines de milliers de sinistrés qui vivent sous des bâches et des tentes. La première grosse averse depuis le séisme qui a fait 217.000 morts a débuté peu avant 05H00 (10H00 GMT) et forcé les milliers de sinistrés à abandonner leurs abris de fortunes pour la recherche d'un toit temporaire.
Le "pire est devant nous à Haïti", a estimé le président de la Croix-Rouge française (CRF) Jean-François Mattei, pour qui un "deuxième drame se prépare" avec "l'arrivée de la saison des pluies dans six semaines, marquée par des pluies torrentielles, des inondations et des glissements de terrain".
Le "pire" est presque certain dès qu'un ouragan frappe Haïti, dont la vulnérabilité est encore un peu plus accentuée par la déforestation. Seuls 2% du territoire sont en effet recouverts par la végétation, une exception dans les Caraïbes.
L'an passé, la saison a été particulièrement calme dans l'Atlantique nord, ce que les experts expliquent en grande partie à cause du développement modéré du phénomène El Niño.
En revanche, 2008 restera dans les annales comme une des années les plus agitées dans la région. En l'espace de quelques semaines, quatre ouragans ont soufflé sur Haïti. 800.000 personnes ont été affectées. Par milliers, les maisons ont été détruites, des milliers d'hectares de cultures ont été dévastés.
A en croire William Gray, 2010 pourrait bien ressembler à 2008. "El Niño est très fort pour le moment. Mais nous pensons que ses effets se seront dissipés en août. Et là, nous serons au coeur de la saison des ouragans".

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 17:40

INDISCRÉTIONS
Alain
« Laissons aux historiens et aux analystes le soin de savoir pourquoi il y a eu et il y a peut être encore tant d’obstacles pour que nos mouvements sportifs puissent exprimer leurs identités singulières et s’épanouir dans un bassin d’excellence sportive reconnue dans le Monde... Je ne vais pas ici trop révéler l’amour que j’ai pour la Martinique car cela serait vite mal interprété. Mais là où il y a  du respect mutuel et de la complicité, il y a l’amour », a dit Alain Sorèze, président du Crosgua, à l'assemblée générale des Cros, en Martinique. Une déclaration d'amour qui sera suivie d'effets ?

Lucette
Lucette Michaux-Chevry, ancien ministre, ancien président du conseil général, ancien président du conseil régional, maire de Basse-Terre, vient de prendre une décision : donner son nom à une école, à Basse-Terre. On n'est jamais mieux servi que par soi-même. Il y avait déjà un boulevard Lucette Michaux-Chevry au Moule, mais c'était une décision de son ancienne amie Gabrielle Louis-Carabin, qui doit s'en mordre les doigts !

Victorin
Victorin Lurel sera en Guyane, dimanche, pour y rencontrer Rodolphe Alexandre, tout nouveau président (ex-PS, néo-UMP) de Région. L'occasion de faire le point sur les relations entre ces deux collectivités. Relations très éloignées stratégiquement, quoique le prix de l'essence en Guyane et en Guadeloupe (mais aussi en Martinique) soit sans doute le lien le plus ténu. Celui qui va agiter le landernau dans les prochaines semaines...

Charles
Charles White en partie de campagne, c'est marrant à voir. Tout de blanc vêtu (chemise manches longues), y compris les chaussures, marchant dans l'herbe mouillée de rosée, au bord de la rivière, son transat à fleurs pliant sous le bras. Lunettes de soleil, coupe fraîche. Portable en main (au cas où Hollywood appellerait...), il en jette. Très poli d'ailleurs, il serre la main des gens. Mais, qui est-ce ? Un footballeur américain, un photographe renommé, un présentateur de la BBC, un chirurgien anglais, le leader de White's Serenade, un membre du Parlement britannique, un patineur artistique ? Non, un amuseur sur RFO ! Très amusant, d'ailleurs.

Gugusses
il paraît qu'à Fort Royal, les employeurs n'appliquent pas la réglementation du travail. Un tract de l'UTHTR-UGTG, distribué dans les rues de Jarry, hier, indique : « Les Suédois qui travaillent dans cet hôtel sont nourris, logés et payés avec 300 euros pour le mois. » Et de réclamer : « Nous avons un pays à construire et pour cela nos enfants doivent être les premiers à travailler dans cet hôtel. » Pour 300 euros ? Mais, laissez ça aux Suédois !
André-Jean VIDAL

 

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 17:39

INDISCRÉTIONS
Alain
« Le CROS de la Guadeloupe, ne pouvant en l’état engager les dépenses pour constituer une délégation de 90 sportifs, ne participera pas aux Jeux des Iles 2010 », affirme Alain Sorèze, président du Crosgua, à l'issue d'une réunion du comité directeur tenue la semaine dernière. Triste, non ? Que font les bailleurs de fonds habituels ?..

Victorin
C'est en toute discrétion que Victorin Lurel a présenté le Mémorial Acte l'autre jour à Paris. Et plus rpécisément à l'ambassade américaine, durant la visite de John W. Franklin, directeur des Partenariats et des Programmes Internationaux du Musée National de l’Histoire et de la Culture Afro-Américaine de Washington D.C. « Il s'est montré très interessé par notre démarche. Ce qui peut nous permettre d'intégrer des réseaux de musées internationaux », affirme-t-on à la Région.

Victorin 2
Mémorial Acte (pour donner toute sa place à ce débat). En général, les dépenses culturelles sont toujours celles qui sont les plus suspectes en temps de crise, nous dit un ami. Nous posions les questions (voir édition de mardi) : est ce bien le moment ? Est ce la priorité ? il semble, selon son entourage, que « le Mémorial ACTe n'est pas la priorité absolue du président ». Cependant, il y a des sous à saisir puisque le plan de financement initial prévoit un cofinancement Etat-Europe qui devrait permettre à la Région de financer moins de 50% du coût du projet.

Victorin 3
Le projet finalisé devrait, selon la plaquette réalisée par la Région,  créer une trentaine d'emplois. « Il sera un atout incontestable pour l'attractivité touristique du territoire, il sera payant et il sera un pôle de redynamisation de Pointe-à-Pitre », affirme le président Lurel. Ce n'est donc pas ce truc réalisé à grands frais pour lequel il n'aura pas été prévu de fonds pour son fonctionnement et son entretien (la Maison de la mangrove, aux Abymes, est l'exemple même de la gabegie des fonds européens...). A voir...

Eric
Eric Raoult, secrétaire national de l’UMP à l’outre-mer, tiendra un comité départemental dimanche, à 11 heures, à l’hôtel Salako, au Gosier. Les délégués des circonscriptions sont convoqués à cette séance de travail qui devrait se tenir à huis clos. Depuis la fin de la mission conduite par Louis Molinié, maire de Terre-de-Haut et l’expiration, le 6 avril, de l’intérim assuré par Aldo Blaise, maire de Sainte-Anne, l’UMP ne compte plus de secrétaire départemental... mais un président, Philippe Chaulet !
André-Jean VIDAL

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 01:57

Pose de la première pierre du Collège d’Excellence sportive

Dans le cadre d’une convention entre le Conseil Général, le Conseil Régional, l’Académie de la Guadeloupe, le CREPS Antilles-Guyane et le Ministère de la santé et des sports, le Collège d’excellence sportive ouvrira ses portes à la rentrée 2010.

Cet établissement sera implanté au CREPS Antilles-Guyane aux Abymes. Il permettra aux élèves qui s’engagent dans la voie sportive, de poursuivre leur scolarité avec des horaires aménagés. Ainsi, ils pourront participer aux compétitions sportives tout au long de l’année grâce à l’annualisation des enseignements, tout en suivant les cours à distance grâce aux Espaces Numériques de Travail (ENT).

Ce projet vise à terme à assurer une formation scolaire de qualité aux futurs sportifs de haut niveau.

Il est financé par le Conseil général (travaux), le Conseil Régional (équipement) et le Rectorat de l’Académie de la Guadeloupe (personnels pédagogiques et administratifs).

Le Président du Conseil général, Jacques GILLOT, le Président du Conseil Régional, Victorin LUREL, le Sous-Préfet, Bernard GUERIN, le Directeur du CREPS et le Recteur d’Académie, Laurent DEVER, poseront la première du collège d’Excellence sportive le samedi 15 mai 2010.

Le début des travaux est prévu le 17 mai 2010, pour une ouverture le 2 septembre 2010.

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 01:55



Le Conseil Général a tenu sa 5ème Commission Permanente de l’année

La commission permanente du Conseil Général s’est réunie le 11 mai 2010. Les élus se sont ainsi prononcé sur les dossiers ayant notamment trait aux compétences départementales suivantes :


INTERVENTIONS ECONOMIQUES


Aide à l’investissement artisanal : Le Département encourage le savoir-faire local

Au titre de l’aide à l’investissement artisanal, la collectivité apportera son soutien à 10 artisans souhaitant moderniser leur outil de production afin d’être plus compétitifs et d’offrir une prestation de meilleure qualité à leur clientèle. Le montant des opérations financées s’élève à 63 461 euros.
Rappelons que ce dispositif qui a pour objet d’aider les artisans régulièrement inscrits à la Chambre de Métiers et répertoriés tant dans les activités de production ou comme prestataires de services, concerne la rénovation des locaux ou l’acquisition de matériels d’équipement.
Qui peut en bénéficier ?

Aide à l’investissement matériel du petit commerce :
Un nouveau dispositif pour les entreprises commerciales

Souhaitant étendre son dispositif d’aide à l’investissement aux entreprises commerciales, la collectivité départementale a adopté un projet de règlement d’attribution d’une aide à l’investissement matériel du petit commerce. Ce dispositif a pour objectif de permettre aux petits commerces ruraux inscrits au Registre du commerce et des sociétés depuis plus d’une année à la date de la demande, comptant moins de 5 salariés  et dont le chiffre d’affaires n’excède pas 500 000€, de financer le programme de modernisation de leur entreprise. L’investissement aidé concerne la rénovation des locaux et/ou l’acquisition de matériels d’équipement intervenus dans l’année de la demande ou restant à réaliser (le matériel roulant, les travaux de gros-œuvre et l’achat de stock sont exclus de l’assiette des dépenses éligibles).
Pour les entreprises commerciales sises dans une zone géographique enclavée ou défavorisée (îles du Sud, Nord Grande-Terre, Côte sous le Vent), la subvention représente au plus 40% du coût total hors taxe des investissements éligibles.
Pour les entreprises commerciales situées dans les autres zones géographiques, la subvention représente au plus 30% du coût total hors taxe des investissements éligibles.
Dans les deux cas, la subvention sera plafonnée  à 10 000 euros.


Le Conseil Général partenaire du CTIG pour la promotion de la destination Guadeloupe

Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique touristique, la collectivité départementale signera une convention avec le Comité du Tourisme des Iles de Guadeloupe (CTIG) afin d’assurer la mise en œuvre de leur plan d’actions commercial 2010. L’objectif de ce plan est d’offrir un autre regard aux professionnels du tourisme sur leur premier marché et de regagner leur confiance et en imposant les îles de Guadeloupe comme une destination de vacances de choix, offrant une palette d’activités, un hébergement de qualité pour tout type de clientèle. La participation du Département s’élèvera à 680 000 euros dont 50% au titre du fonctionnement courant et 50% affecté au plan d’actions 2010.

ENFANCE ET FAMILLE

Crèches : Le Département mobilise 425 000 € pour l’amélioration des conditions d’accueil

Dans le cadre de la convention Petite Enfance signée en 2006 avec la Caisse d’Allocations Familiales de la Guadeloupe, la collectivité départementale apportera une aide financière à hauteur de 424 953€ à seize associations gestionnaires d’établissements d’accueil des enfants de moins de six ans. Cet engagement complémentaire à l’enveloppe de 1,6 millions d’euros votés au titre de l’accompagnement du passage à la PSU en 2010 s’inscrit dans la politique du Département qui vise à garantir la sécurité et le confort des enfants, et à optimiser les conditions de travail des personnels.

Les aides ont été allouées conformément à la répartition suivante aux 16 structures qui en ont fait la demande :

AIDE FINANCIERE
DEMANDEUR
POUR L’AMELIORATION DE LA QUALITE DE L’ACCUEIL
POUR L’INVESTISSEMENT
ASSDEE Caprice des Anges
12 079 €
22 921 €
Les Petits Bouts de Choux
7 220 €

Association de gestion crèche Les Jardins d’enfants

9 000 €
Crèche Man Tine
3  615 €

Crèche Vanille et Chocolat
3 199 €
24 366 €
Les Bras Ouverts

60 000 €
Crèche Lolo Epiter

5 274 €
Crèche Touch à Tout
25 223 €
32 156 €
Association Grandir Crèche Prunelle

16 265 €
Jeunes Attitudes

96 000 €
Jeunesse Evolution

27 000 €
Le Nuage Magique

26 700 €
Les Poussins de Mimi

25 000 €
Crèche Baby Club
3 660 €

ASAFA Les Mimosas
3 595 €

La Cabane Enchantée

21 680 €
TOTAL
58 591 €
366 362 €


COHESION SOCIALE

Le Département se mobilise pour le développement
de l’accompagnement social de proximité

Dans le droit fil de sa politique de lutte contre les exclusions de toutes sortes, le Conseil Général signera une convention et attribuera une subvention de 83 193,69 euros pour l’exercice 2010 à l’Association pour l’Aide à l’Enfance et à l’Adolescence (A.A.E.A) afin de contribuer au fonctionnement de l’équipe de rue rattachée au Service des Equipes de Prévention Spécialisée et d’Insertion (SEPSI) de Pointe-à-Pitre/Abymes. Cette structure, qui intervient principalement en faveur des jeunes adultes de 18-25 ans, a pour vocation de recréer le lien social avec des publics en situation de marginalisation et de les accompagner dans leur démarche d’insertion.



L’assemblée s’engage dans la mise en œuvre
d’un Centre d’Hébergement d’Urgence de Nuit

La mise en œuvre d’un Centre d’Hébergement d’Urgence de Nuit (CHUN), portée par l’association « Société Saint-Vincent de Paul » est une mesure de la charte de coordination départementale pour la cohésion sociale. A cet effet, le Conseil général lui a attribué une aide de 45 000€  visant à répondre aux besoins urgents d’hébergement (32 lits) des publics adultes très précarisés et désocialisés (personnes sans domicile fixe ou en errance).  Dans un second temps, il s’agira de favoriser leur accompagnement dans une démarche de réinsertion sociale.

ENVIRONNEMENT

L’Assemblée départementale soutient les collectivités et leurs groupements dans
 la mise en œuvre de la collecte sélective

Dans le cadre des objectifs fixés par  le PDEDMA,  à savoir desservir la moitié de la population par la collecte  sélective en 2010, le Conseil Général a décidé d’attribuer une subvention de 100 552 €  à la Communauté de Communes du Nord Basse-Terre s’inscrivant dans les orientations du Contrat d’Objectifs Territorial signé avec l’Ademe. Ce projet qui concerne l’ensemble du territoire de la CCNBT, soit une population de 41 000 habitants, permettra deux modes d’organisation de la collecte :
en porte à porte par les résidents en habitat individuel, les établissements scolaires et les bâtiments publics.
en apport volontaire pour les autres catégories de  populations.

Le Département accordera également un montant de 209 985 € au SICTOM de l’agglomération pontoise permettant ainsi la mise en place de points d’apport volontaire pour la collecte sélective des emballages ménagers dans les communes adhérentes (Anse- Bertrand, Goyave, Le Moule, Morne- à - l’eau, Petit-Bourg, Les Abymes, Port Louis).  Au total ce sont 148 300 habitants qui bénéficieront de cette démarche.
Les matériaux visés par la collecte sélective sont le papier, le carton, le plastique, l’aluminium, l’acier et le verre.



Le Conseil Général  encourage les projets et les initiatives des acteurs locaux

Le Département a décidé d’accompagner  l’association An nou Ay en lui accordant une aide financière de 2 160 euros pour la réalisation de son programme d’activités comprenant :
la poursuite de l’action de collecte sélective aux points d’apport volontaire et sur les stands itinérants,
la sensibilisation des scolaires,
la sensibilisation du public lors de rendez-vous thématiques (semaine de la réduction des déchets, journée de la Terre, semaine du développement durable, fête patronale de Pointe-Noire),
le nettoyage des fonds marins


Le Conseil Général soutient le projet d’aménagement du Morne à Louis

Afin de valoriser le potentiel paysager et touristique du Morne à Louis, le Conseil Général accompagnera la réalisation par le Parc National de la Guadeloupe d’un belvédère accessible à tous à hauteur de 48 012€. Un partenariat avec les personnes à mobilité réduite est envisagé et l’infrastructure de 10m et de 12m de diamètre répondra aux critères de « haute qualité environnementale ».

JEUNESSE ET SPORTS

Le Département appuie la création d’un Centre de Préformation de Football
Dans le cadre de la lutte contre les recrutements sauvages des jeunes sportifs guadeloupéens et afin de former des footballeurs de qualité, sans les couper de leur environnement géographique, social et affectif, la collectivité départementale a attribué une subvention de 41 000€ à la Ligue Guadeloupéenne de Football en faveur de la création d’un Centre de Préformation de Football. Le projet de cette structure de haut niveau regroupant en internat au CREPS, une trentaine de jeunes footballeurs, sera ouvert à tous les jeunes licenciés des sections cadets et minimes, en partenariat avec la Région et la DDJS (Direction départementale de la jeunesse et des sports).












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