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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 20:42
Toyota Yaris : le volant s'est déboîté en route, selon le conducteur

Le conducteur d'une voiture Toyota Yaris a été victime d'un incident, heureusement sans conséquence, lorsque le volant de son véhicule s'est déboîté et lui est resté entre les mains, a-t-il déclaré, confirmant une information du site lci.fr.
Toyota a pour sa part indiqué qu'un courrier de rappel avait été adressé en février dernier à tous les possesseurs de Yaris susceptibles d'avoir un problème de colonne de direction, les invitant à faire vérifier leur véhicule.
L'incident est survenu dimanche dernier en région parisienne. "J'étais en train de rouler et le volant m'est tombé sur les jambes (...) En remontant le volant, il est sorti de la direction et je l'avais entre les mains", a raconté le conducteur qui a souhaité l'anonymat.
"Heureusement, comme j'arrivais sur un virage, j'ai eu le réflexe de remboîter vite le volant et de pouvoir mettre un coup de volant", a-t-il ajouté.
Une porte-parole de Toyota a indiqué qu'une opération de rappel par courrier recommandé a été lancée en février dernier auprès des clients pour faire vérifier en concession une pièce qui pourrait s'avérer défectueuse concernant la colonne de direction.
Au total plus de 50 000 véhicules produits entre 2005 et 2007 étaient potentiellement concernés.
Quelque 73% des clients rappelés se sont déjà présentés dans les concessions pour vérification. 4,6% des véhicules ont nécessité une opération, a précisé la porte-parole.
Les 27% de clients qui ne se sont pas manifestés ont été relancés par recommandé la semaine dernière, a-t-elle ajouté.
Le conducteur, au volant d'une voiture d'entreprise, affirme n'avoir reçu un courrier du constructeur que le mercredi précédent.
L'envoi d'un seul courrier, correspondant à la relance, est jugé "improbable", par Toyota. "Les rappels de cet ordre sont toujours pris avec le plus grand sérieux", a affirmé la porte-parole.
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 17:13
MLP : RSTA TOUT BAIGNE !

Marie-Luce Penchard, Secrétaire d’Etat chargée de l’Outre-mer, a fait un point précis sur la mise en place du Revenu de Supplémentaire Temporaire d’Activité (RSTA) dans les départements d’outre-mer au regard notamment des informations transmises par la CNAV, les préfets et les élus sur les taux de dossiers traités. « Cette mesure de soutien au pouvoir d’achat des salariés d’outre-mer, mise en place dans des délais très courts, rencontre un succès important », a déclaré Marie-Luce Penchard.

« Grâce à un engagement fort des services de l’Etat, et de la CNAV et des caisses générales de sécurité sociale au plan local, 245 929 dossiers ont été adressés avec une campagne d’information adaptée et des outils d’accompagnements largement sollicités (105 000 appels téléphoniques reçus, 173 000 contacts par internet). De nombreuses personnes ont été mobilisées à la CNAV et dans les Caisse Générale de Sécurité Sociale pour traiter dans les délais les meilleurs les demandes de RSTA.

Au total, 60 340 dossiers ayant fait l’objet d’une décision favorable (soit 95 % sur l’ensemble des décisions rendues) ont été payés pour un montant versé de plus de 15 millions d’euros.

La ministre a rappelé « qu’aucun demandeur ne sera écarté du dispositif au motif qu’un dossier ne serait pas complet à la date du 15 septembre. Je veux bien rassurer les bénéficiaires sur ce point » (pour le paiement du premier trimestre). La date de dépôt de dossier ne doit pas être confondue avec la date de paiement.

La ministre a demandé à la CNAV de :

passer à 100 000 paiements dès octobre,
viser les 200 000 paiements en novembre, si les dossiers sont complets et les droits ouverts,
doubler les échéances de paiement dès le mois d’octobre (de 1 actuellement à 2 par mois). Ainsi, le délai entre l’acceptation du dossier et le versement de la somme sur le compte du bénéficiaire sera réduit,
remercier les CGSS de l’accompagnement et de l’aide des salariés au remplissage des formulaires qui doivent être poursuivis. «
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 15:40
Budget : des déficits record pour soutenir la croissance
 
          Sur le site du monde aujourd'hui : lemonde.fr
 

Nicolas Sarkozy a été l'homme de la crise ; saura-t-il être celui de la sortie de crise ? Sous son autorité, la présidence française de l'Union européenne au second semestre 2008 fut un succès en pleine tourmente. Son choix d'une relance par l'investissement public, d'inspiration keynésienne, pour gérer la plus grave récession mondiale aura finalement été peu contesté. La gauche a jugé insuffisant le soutien à la consommation. Mais ses critiques ont perdu de leur acuité avec les mesures décidées au sommet social du 18 février pour aider les foyers les plus fragilisés.

Cet été une nouvelle période s'est ouverte, tout aussi délicate : celle d'une sortie de crise atypique. La hausse surprise (+ 0,3 %) du produit intérieur brut (PIB) dès le deuxième trimestre, l'augmentation de la production industrielle depuis le mois de mai, la stabilisation des effectifs de l'intérim, cet indicateur avancé de l'emploi constituent de bonnes nouvelles. D'autres le sont moins. Les niveaux d'activité restent bas. La consommation des ménages, moteur de la croissance, a donné des signes de fragilité en juillet et en août. L'épargne de précaution s'accroît. Le chômage risque d'augmenter tout au long de 2010. La crise financière s'éloigne ; la crise économique n'est pas achevée, résume l'Elysée.

Face à l'ambivalence de ce début de reprise, le chef de l'Etat maintient sa ligne : non à la rigueur qui compromettrait les chances de la croissance et se révélerait, accessoirement, impopulaire. Ce choix trouve sa traduction concrète dans le projet de loi de finances (PLF) pour 2010 présenté, mercredi 30 septembre, par les ministres de l'économie et des comptes publics, Christine Lagarde et Eric Woerth. "2009 était un budget de gestion de la crise, a rappelé ce dernier ; 2010 est un budget de gestion de la sortie de crise par la croissance, par la compétitivité et par l'emploi. Nous sommes dans une année charnière : la reprise reste fragile, et nous devons tout faire pour réussir non seulement à la consolider, mais à renouer durablement avec la croissance."

Comme l'a préconisé le G20 de Pittsburgh, les 24 et 25 septembre, le gouvernement va donc continuer à soutenir l'activité, en tablant sur une croissance encore faible en 2010 (+ 0,75 %). La mission "Relance" va être dotée de 4,1 milliards d'euros qui iront à l'investissement et à l'emploi (exonération de charges pour les très petites entreprises qui embauchent...). Les crédits de l'emploi seront renforcés de 700 millions d'euros par rapport au budget triennal. Les entreprises pourront continuer à se faire rembourser immédiatement le crédit d'impôt-recherche (CIR). Surtout, elles bénéficieront de la réforme de la taxe professionnelle (5,6 milliards d'allégement en régime de croisière) et de la restitution exceptionnelle de 7,4 milliards de trop-perçu au titre de 2009. Leur trésorerie en sera soulagée. L'Elysée a choisi de ne pas étaler la réforme pour donner un vrai ballon d'oxygène aux entreprises.

 

Laisser jouer les stabilisateurs

Un autre choix lourd a consisté à ne pas compenser les pertes de recettes pour laisser jouer à plein les stabilisateurs économiques et le dynamisme des transferts sociaux. "Nous pensons qu'il est trop tôt pour corriger le déficit. Si nous le faisions, nous nous exposerions à une forte rechute de la croissance", estime l'Elysée.

En 2009, sous l'effet de l'augmentation des dépenses liées au plan de relance (40 milliards d'euros au total) et de la chute spectaculaire des recettes fiscales (- 53 milliards), le déficit public (Etat, collectivités locales et Sécurité sociale) atteindra le niveau historique de 8,2 % du PIB. En 2010, il continuera à croître pour passer à 8,5 % du PIB en raison du surcoût temporaire de la réforme de la TP l'année où elle est lancée. La dette publique atteindra, quant à elle, 84 % du PIB, soit "un niveau inférieur à la moyenne de l'OCDE (100 %) et de la zone euro (86 %)", a précisé M. Woerth. Cela n'empêche pas une partie de la majorité, rejointe par les socialistes, de s'inquiéter du poids considérable de la dette.

Dans ce contexte tendu, le gouvernement réaffirme sa volonté de ne pas alourdir la fiscalité dans un pays classé cinquième au monde pour le niveau de ses prélèvements obligatoires. La création de la taxe carbone entraînera néanmoins des charges accrues pour certains ménages. Par ailleurs, un certain nombre de hausses sont prévues pour limiter le dérapage des comptes de la Sécurité sociale déficitaires de 31 milliards d'euros. Côté dépenses, le gouvernement condamne la rigueur mais revendique la "maîtrise" : 34 000 postes de fonctionnaires seront supprimés ; les dépenses de l'Etat et ses concours aux collectivités locales, hors plan de relance, ne progresseront pas plus vite que l'inflation (+ 1,2 %).

Ayant fait le pari d'accompagner la reprise en 2010, le gouvernement renvoie à 2011 la réduction du déficit. Il table sur une croissance économique de 2,5 % et une progression des dépenses publiques limitée à + 1 % en volume. A cette double condition, difficile à remplir, le déficit public serait ramené à 6 % en 2012. Très loin des 3 % du pacte de stabilité et de croissance.

Claire Guélaud
Article paru dans l'édition du 01.10.09.
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 14:19
Etats généraux de l'outre-mer : synthèse jeudi à Paris

Les états généraux de l'outre-mer décrétés en février par Nicolas Sarkozy lors d'une crise sociale sans précédent aux Antilles s'achèvent jeudi par une synthèse des travaux des ateliers locaux, où le thème de la gouvernance a été l'un des sujets les plus évoqués.
Aucune annonce spectaculaire n'est attendue lors de cette journée organisée à Paris en présence du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer Brice Hortefeux et de la secrétaire d'Etat à l'Outre-mer Marie-Luce Penchard.
Il s'agit d'un "temps d'échange" intervenant "avant le temps de la décision", fin octobre, début novembre, lors du premier conseil interministériel de l'outre-mer présidé en personne par M. Sarkozy, a-t-on précisé de source gouvernementale.
Néanmoins, des décisions pourraient intervenir plus vite, le chef de l'Etat devant annoncer début octobre aux élus de Martinique et Guyane la date des référendums sur un éventuel changement de statut de leurs départements, qui devraient être organisés avant la fin de l'année.
Les électeurs martiniquais et guyanais devraient être interrogés sur leur souhait de passer à l'article 74 de la Constitution, dont relèvent les collectivités d'outre-mer (Polynésie par exemple), et qui leur accorde une autonomie encadrée.
Il devrait leur être demandé s'ils souhaitent une collectivité unique pour gérer leurs départements, à la place d'un conseil général et d'un conseil régional.
Jeudi, d'autres pistes pourraient être tracées par M. Hortefeux et Mme Penchard, comme la nécessité de donner "une meilleure visibilité" aux expressions culturelles issues des différentes régions de l'outre-mer français.
Au secrétariat d'Etat à l'outre-mer, on se félicite de la participation aux états généraux, malgré le boycott des collectifs ayant mené les conflits aux Antilles et à La Réunion, dont le LKP d'Elie Domota.
En Guadeloupe, environ 4.500 personnes ont participé à une soixantaine de réunions, sur une population d'environ 400.000 personnes.
Le site internet mis en place spécialement par le secrétariat d'Etat a reçu environ 140 000 visites.
Les états généraux, présentés comme "la plus grande consultation jamais réalisée en outre-mer" se sont déroulés dans les quatre DOM (Guadeloupe, Martinique, Guyane et La Réunion), à Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Martin et en métropole.
Ils viennent de s'achever en Polynésie française où le président Oscar Temaru a dénoncé un "processus de néo-colonisation" tandis que le haut-commissaire, Adolphe Colrat, a évoqué la "confiance retrouvée".
En Guadeloupe, c'est "le renforcement de l'autonomie" de l'archipel qui a été réclamé, l'indépendance immédiate étant écartée unanimement "les conditions étant très loin d'être réunies".
Les élus, comme Victorin Lurel, président PS du conseil régional, ont demandé un moratoire de 18 mois sur ces questions. "Ce n'est pas la peine d'organiser des référendums pour échouer puisque la confiance envers les élus n'est pas là", a dit M. Lurel.
En Martinique, a été réclamée la création d'une collectivité unique aux compétences plus grandes, "pour mieux prendre en compte et régler les difficultés de la vie quotidienne: emploi, transport, logement, services publics".
Des centaines de propositions ont été faites par les états généraux.
En Guyane, l'éducation et la formation ont été placées au rang de "priorités absolues", dans un département où 44% de la population a moins de 20 ans.


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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 13:21
Le LKP mobilise ses troupes

En atteste ce tract distribué ces jours-ci.


CFDT, CFTC, CGTG, CTU,  FAEN-SNCL, FO, FSU,
SGEP/SNEC, SNU, SPEG, SUD-PTT, UGTG, UNSA

TRAVAYE, AN NOU DOUBOUT ANSANM ANSANM
POU RACHÉ AN MEN A YO TOU SA NOU GANNYÉ !
Prèmyé gran sanblé : Sanmdi 3 òktòb
Depuis décembre 2008 la Guadeloupe est mobilisée avec LKP. Les pwofitan ont dû reculer face aux manifestations de masse, et surtout face à la grève générale qui a paralysé leur machine à profits.
Après mars, certains travailleurs ont continué la lutte, et d’autres sont rentrés en mouvement à leur tour. Leur détermination a payé : nombreux sont ceux qui ont obtenu satisfaction.

L’État français et les patrons nous expliquent que les travailleurs Guadeloupéens ne doivent plus se mobiliser, au risque de couler leur entreprise.
Manti a yo !  Partout dans le monde la crise économique précipite des millions de travailleurs dans le chômage et la misère.
Les exploiteurs nous font du chantage, comme si LKP était responsable de la crise mondiale. Nous ne devons pas tomber dans ce piège. En réalité, l’argent existe pour améliorer nos salaires et nos conditions de vie, mais nous devrons aller le chercher !
Le groupe TOTAL a fait 14 milliards d’euros de bénéfices en 2008. Ola yo pran-y ?
Dans la Pwofitasyon sur les prix des carburants qu’ils cherchent à rétablir. Mais aussi dans le pillage organisé dans des pays comme le Gabon et la Birmanie, grâce à l’appui de l’État français, qui est actionnaire. Et enfin dans la pression accrue sur les salariés du groupe, au mépris de leur vie : en France, les accidents du travail se multiplient dans cette entreprise.
An nou kontinyé vansé si yo

Dans chaque entreprise et administration, nous devons nous organiser pour obtenir le respect du protocole signé le 4 mars 2009, et particulièrement :
Le respect et l’application de l’Accord BINO, soit 200 € net d’augmentation pour tous les bas salaires, sans conditions ;
La mise en place du Plan d’urgence pour l’Emploi, l’Insertion et la Formation Professionnelle des jeunes ;
Le respect des accords signés sur la baisse des prix ;
La titularisation des personnes en contrats aidés ;
L’arrêt immédiat de toute répression anti-syndicale ;
Le règlement de tous les conflits en cours (ASFO, Texaco La Boucan, Agents de sécurité au Pays de la Canne, Agents de sécurité de l’hippodrome, Club Med, Procidex) ;
La reprise des négociations sur les revendications du LKP.

Sur chaque site nous devons mettre en place des Liyannaj a pawòl et des assemblées générales, pour décider ensemble de nos actions. La manifestation du 3 Octobre est une première étape. D’autres mobilisations auront lieu dans les semaines qui viennent. NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER !

Lapwent 28.09.09
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 13:20
Pointe-à-Pitre, le 29 Septembre 2009

Madame Marie-Luce PENCHARD
Secrétaire d’État Chargée des DOM
27, rue Oudinot
75007 PARIS 07


Objet :
Suivi des accords


Madame Le Ministre,

En application des dispositions de l’article 165 du Protocole d’Accord du 4 mars 2009, nous vous demandons de réunir dans les meilleurs délais la Commission de suivi et cela afin de faire le point sur les différents dossiers (carburant, produits de première nécessité, plan d’urgence pour la formation et l’insertion des jeunes, accord interprofessionnel, etc..). et programmer la poursuite des négociations, comme convenu avec votre prédécesseur.

Contrairement à la propagande gouvernementale en cours, il n’y a à ce jour aucune transparence dans la fixation du prix des carburants en Guadeloupe et prétendre le contraire reviendrait à ne pas dire la vérité aux Guadeloupéens, une fois de plus.

L’opacité demeure, et cela, en totale contradiction avec les engagements pris par le Gouvernement dans le protocole du 04 mars 2009 conclu avec le LKP.

La récente hausse et celles promises prouvent bien, pour ceux qui en doutaient, l’existence d’une collusion, et le mot est faible, évidente entre l’État et les Compagnies Pétrolières.

A toutes fins utiles, nous vous faisons parvenir un exemplaire des accords signés avec les différents acteurs concernés, afin que vous vous rendiez bien compte de la mesure des attentes des Guadeloupéens, au regard des engagements pris.

Il en est de même en ce qui concerne le contrôle des prix des biens importés, où les Services de l’État ont délibérément ‘’cautionné’’, là encore le mot est faible, depuis toujours les abus ou plutôt le vol par les importateurs-distributeurs, se rendant ainsi complices éveillés et conscients de la Pwofitasyon.

L’Accord BINO sur les salaires est dénaturé et revu à la baisse par les Services de l’État. Nicolas SARKOZY n’a-t-il pas récemment dit que la parole donnée doit être honorée et la signature respectée autrement, il s’agit de malhonnêteté. Nous reprenons donc ses propos à notre compte.

Nous ne sommes pas dupes. Nou péké pwan dlo mousach pou lèt.

Aussi, conformément aux signatures apposées sur l’Accord du 04 Mars 2009 avec le LKP, nous exigeons le respect de tous les engagements pris.

Nous sollicitons une réunion de la Commission de suivi dans les meilleurs délais avec vous et en présence des deux exécutifs (Département et Région) signataires de l’Accord.

Recevez, Madame Le Ministre, nos salutations distinguées.



Le Porte-parole




Elie DOMOTA




Copie à Mr Victorin LUREL – Président du Conseil Régional
    à Mr Jacques GILLOT – Président du Conseil Général
          

c/o UGTG
1, Rue Paul LACAVE
97110 POINTE-A-PITRE






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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 02:53
INDISCRÉTIONS
Victorin
Les cadres du PS se sont réunis, hier soir, au vélodrome Amédée Detreaux (à Gourde-Liane). En prévision du vote dans les sections, jeudi, Victorin Lurel a présenté sa candidature et son programme pour les régionales. J'en vois déjà qui rigole dans le fond ! Non, rien à craindre pour le déroulement du vote, il n'y aura pas de bourrage d'urnes, ni d'appel intempestifs des uns ou des autres : il n'y a qu'un seul candidat ! Allo, Ségo, pourquoi tu ris ?..

Victorin 2
Victorin Lurel souhaite que la Région soit représentée à la réunion du préfet avec les représentants du secteur des agents de sécurité (UGTG), jeudi. M. Casimir, délégué de branche UTGTG le signale au préfet Desforges par courrier. Il est vrai que depuis que ces messieurs ont manifesté dans les couloirs de la Région, il y a deux semaines, M. Lurel souhaite ardemment les rencontrer... même sous l'égide du préfet Desforges !

Claude
Jeudi, les états généraux seront sur RFO. Mais, il faudra se lever tôt puisque ce sera en direct sur tempo, à 3 h 30. Pour les accros, c'est aussi sur Télé pays, à 6 h 30 en différé (partie 1), à 10 heures en direct (partie 2). Une petite couche ? Regardez à 13 heures en direct, une édition spéciale de la rédaction de France Ô. Pour ceux qui se seraient abstenus, il y a une session de rattrapage, à 22 h 25, avec une rediffusion de l’édition spéciale de France Ô. Ouf ! Claude Giraud, le Monsieur états généraux pour la Guadeloupe, va enfin être payé de ses efforts...

Colette
Hier après-midi, assemblée générale de la CCI de Pointe-à-Pitre. Colette Koury, la présidente, arrive avec un léger retard (une demi-heure). Elle n'embrasse personne : « Je tousse, je tousse... Ce doit être la poussière du Sahara ! », s'excuse-t-elle. Ah, Colette !

Hervé
Cette année encore, Hervé Damoiseau pourrait prendre la tête des rhumiers frondeurs qui ne participeront pas au Concours agricole de la Foire de Paris, pour protester contre le mode de désignation des rhums antillais aux médailles d'or, d'argent et de bronze...

Marie-Luce
On annonce pour la semaine prochaine un déplacement aux Antilles de Marie-Luce Penchard, secrétaire d'Etat à l'Outre-mer et Hervé Novelli, secrétaire d’Etat chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, de Tourisme et des Services et de la Consommation. S'il ne pleut pas trop... car le temps fraîchit à partir de lundi.
André-Jean VIDAL
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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 23:49
La justice donne une nouvelle fois raison à la Région Guadeloupe face à la ville de Basse-Terre


Par une décision rendue le 23 septembre, le Conseil d'Etat a débouté la ville de Basse-Terre dans une procédure qui visait une nouvelle fois à entraver les travaux que mène la Région Guadeloupe dans le chef lieu.

Le Conseil d'état a ainsi rejeté le pourvoi de la ville de Basse-Terre qui visait à annuler une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif autorisant la collectivité régionale à poursuivre les travaux d'aménagement et d'embellissement du Champ d'Arbaud.

La Région Guadeloupe « prend acte avec satisfaction de cette décision de justice et fait observer que l'acharnement judiciaire de la ville de Basse-Terre à entraver son action s'est à ce jour traduit par des décisions systématiquement favorables à la collectivité régionale. »

La Région Guadeloupe indique « que les travaux du Champ d'Arbaud seront achevés dans les toutes prochaines semaines. »

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 23:48
Onze syndicats dans le vent
Onze syndicats ont déposé un préavis de grève, hier, de 24 heures reconductible, à compter de samedi 3 octobre, portant sur une plate-forme de revendications impressionnantes. CFTC, CGTG, FAEN/SNCL, FSU, FO, SPEG, Sud PTT Gwa, UIR CFDT, UNSA et UGTG souhaitent, entre autres, la reprise des négociations sur les 146 points de la plate-forme de revendications du LKP. Et aussi la vérité sur la mort de Jacques Bino...
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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 23:47
LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT PAR AMÉDÉE ADELAÏDE

Ci dessous, la lettre ouverte adressée ce jour au Président de la République « en prévision de la journée de déstabilisation du 3 octobre, prévue par des mouvements indépendantistes », affirme M. Adelaïde.


Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République

Monsieur le Président de la République
Palais de l'Elysée
55, rue du faubourg Saint-Honoré
75008 Paris

Monsieur le Président,

Comme vous le savez, en début d’année la Guadeloupe a subit 44 jours de blocages du fait de l’action déstabilisatrice d’un groupe subversif ayant pour objectif l’indépendance de ce département français.
Vous savez aussi que ces 44 jours de blocages ont coûté et continue à coûter cher en terme de pertes d’emplois et de régression sociale. Il nous faudra probablement plusieurs années pour retrouver une situation qui avant la crise, allait plutôt en s’améliorant.
Or voilà que les mêmes activistes entendent à nouveau bloquer notre petit pays. Que ce soit dans des meetings tenus sur la place publique ou sur les radios indépendantistes, ils appellent à la rébellion. A cet effet, ils  invitent explicitement leurs partisans à préparer du matériel, près de chez eux, dans le but, d’ériger des barrages dans les rues,  sur les routes départementales et nationales afin que toute la Guadeloupe soit en arrêt total. Ces messages sont quasiment diffusés en boucle.
Depuis plus de trois semaines que perdure cette situation, nous n’entendons pas que les pouvoirs publics aient le moins du monde réagit.
Nous souhaitons donc savoir, Monsieur le Président, si le Gouvernement de la République et vous même avez été tenu informés de cette nouvelle tentative de déstabilisation et quelles mesures vous entendez prendre pour empêcher ces opérations de subversion sur cette partie du territoire de la République.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de mes très respectueuses salutations.

Pointe-à-Pitre, le 29 septembre 2009
Amédée ADELAIDE
Président de CSLR




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