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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 23:12
Tourisme aux Antilles : Penchard attend un changement des mentalités

La ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard, a insisté jeudi en Martinique sur un nécessaire changement des mentalités en matière d'accueil touristique aux Antilles, appelant à sortir des "non-dit" et des "faux semblant".
"On ne peut plus rester dans le non-dit, dans le faux semblant" a déclaré la ministre, qui effectue une visite de trois jours aux Antilles. Mme Penchard faisait référence à l'idée que les Antillais seraient réticents à l'accueil des touristes pour des raisons historiques et idéologiques en lien avec l'esclavage.
Ce thème du tourisme a été longuement évoqué lors d'une visite à Saint-Pierre-Nord-Caraïbes, où la municipalité a des projets de développement pour le nord de la Martinique, notamment concernant l'accueil des bateaux de croisière.
Mme Penchard et Hervé Novelli, le secrétaire d'Etat au Commerce et au Tourisme, ont également rencontré près de 150 élus, chefs d'entreprises et socio-professionnels, à Schoelcher dans le centre de la Martinique. Ils ont détaillé certaines des mesures annoncées le 6 novembre par le président de la République Nicolas Sarkozy, à l'issue du conseil interministériel de l'outremer.
Hervé Novelli a annoncé la mise en place d'un guichet unique pour toutes les démarches des entreprises qui rencontrent des difficultés.
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 23:12
Rétention : le Conseil d'Etat suspend l'attribution d'un lot au Collectif Respect

Le Conseil d'Etat a décidé de suspendre l'attribution de la mission d'assistance aux étrangers placés en rétention pour l'un des "lots" du marché de la rétention, le numéro 5 (outre-mer), attribué à l'association Collectif Respect, mettant en doute ses compétences.
Le ministère de l'Immigration avait engagé, à l'été 2008, une réforme pour modifier les modalités de l'assistance aux étrangers en situation irrégulière placés en centres de rétention (Cra).
Il avait ainsi engagé une procédure d'attribution de marché, divisé en 8 "lots", alors que depuis 25 ans, la Cimade était la seule association habilitée à intervenir dans la totalité des Cra.
Le 10 mai dernier, le ministère de l'Immigration avait signé des contrats avec six associations ayant répondu à son appel d'offres (Cimade, Assfam, Forum Réfugiés, France Terre d'asile, Ordre de Malte et Collectif Respect).
La Cimade s'était vu attribuer trois lots et chacune des autres associations un.
Dans un communiqué publié lundi, le Conseil d'Etat a annoncé "la suspension de l'exécution de l'un des marchés" attribuant à l'association Collectif Respect "la mission d'assistance aux étrangers placés en rétention administrative".
La juridiction a considéré que la convention passée entre le ministère et les personnes morales sélectionnées devait porter "non seulement sur l'information mais aussi sur l'accueil et le soutien des étrangers, pour permettre l'exercice effectif de leurs droits".
Il a aussi rappelé que "l'Etat ne peut conclure une telle convention qu'avec des personnes morales présentant des garanties d'indépendance et de compétence suffisantes, notamment sur le plan juridique et social, pour assurer le bon accomplissement" de ces missions.
S'agissant du lot numéro 5, attribué au Collectif Respect, le Conseil d'Etat "a estimé que deux moyens étaient, en l'état de l'instruction, de nature à faire naître un doute sérieux sur la validité du contrat".
Le lot n°5 comprend les Cra de Guadeloupe, Guyane et Réunion qui gèrent respectivement 38, 40 et huit places. En revanche, le nombre de personnes qui transitent par les centres de la Réunion et de la Guyane est considérable, puisque le nombre de reconduites à la frontière dans ce dernier département a atteint l'an passé plus de 10.000.
Les associations concernées avaient fait valoir que le Collectif Respect était inconnu dans le monde du droit des étrangers.
Ce collectif avait été créé en septembre 2002, quelques mois après un match de football France-Algérie au cours duquel la Marseillaise avait été sifflée, par un certain Frédéric Bard, chargé de mission au ministère de l'Immigration lors de sa création en mai 2007 jusqu'en janvier 2008.
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 23:11
Les maires d'outre-mer font part de leurs difficultés financières

De nombreux maires d'outre-mer ont fait part lundi à Paris des difficultés financières de leurs communes et de leur inquiétude à propos de la suppression de la taxe professionnelle (TP).
Déjà touchés par la crise économique qui ampute leurs recettes d'octroi de mer, ils ont souligné que la réforme en cours de la TP pourrait se traduire par une hausse des impôts locaux dès 2011 et une contribution plus importante des ménages.
S'exprimant lors de la journée des élus d'outre-mer organisée à l'Hôtel de Ville de Paris par l'association des maires de France qui tient son congrès à partir de mardi, le nouveau président de l'association des maires de Guadeloupe René Noël a été très clair.
Alors que les Antilles viennent de connaître un mouvement social sans précédent, "les scenarii avancés laissent prévoir une augmentation des impôts locaux et une contribution plus importante de la part des ménages qui connaissent aujourd'hui bon nombre de difficultés", a déclaré le maire de la Désirade.
M. Noël a souligné que si "la reconnaissance de la fragilité financière des communes d'outre-mer est incontestable", "le principe de leur libre administration est menacé".
Il a jugé "judicieux que le déficit structurel" des communes d'outre-mer soit compensé par des dotations de l'Etat plus importantes.
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 23:10
Jégo règle ses comptes dans "15 mois et 5 jours, entre faux gentils et vrais méchants"

Yves Jégo, ancien secrétaire d'Etat à l'Outre-mer évincé du gouvernement après la crise aux Antilles, règle ses comptes, notamment avec François Fillon, dans "15 mois et 5 jours entre faux gentils et vrais méchants" (Grasset) qui paraîtra le 18 novembre.
"Sarkozyste avant tout", nommé en mars 2008, il apprend par téléphone le 23 juin dernier à "19h41" qu'il ne fait plus partie du gouvernement, quelques minutes seulement avant l'annonce officielle du remaniement.
"Ce limogeage sans préavis est une vraie surprise, un coup de tonnerre car rien n'avait filtré", écrit-il, soulignant: "le Premier ministre que j'ai servi loyalement pendant 15 mois n'a pris la peine ni de me recevoir ni de m'appeler".
Amer, "viré comme un malpropre", Yves Jégo qui a eu à affronter la crise sociale des Antilles, ajoute :"Jamais il ne m'a reçu pour faire le point sur l'avancée des dossiers dont j'avais la charge. En y pensant, je n'ai même jamais eu de feuille de route ni de lettre de mission".
L'ancien secrétaire d'Etat estime que François Fillon "se construit habilement une image de victime quasi christique, d'homme qui souffre" et que "contrairement à l'image qu'il donne, il se protège plus que de raison".
Yves Jégo, qui a fait "plus de 500 000 km" durant ces 15 mois, a mené la réforme de l'administration centrale de l'Outre-mer, celle des "retraites cocotiers" et a dû gérer l'éruption en Guadeloupe. "J'assume mes responsabilités, mais ce n'est jamais très agréable de se retrouver sur le champ de bataille en pleine crise, de se retourner et de s'apercevoir qu'on est tout seul", écrit-il.
Il tacle les représentants du patronat de Guadeloupe qui demandaient d'abord le rétablissement de l'ordre public. "Le patronat a joué une tactique très fine. Auprès de l'Elysée, je me suis fait littéralement scalper, sur le thème: Jégo n'assure pas la sécurité des patrons".
Selon lui, "le leader, la clé, c'est Elie Domota", leader du syndicat guadeloupéen LKP, qu'il a rencontré secrètement de nuit, mais qui a "sans cesse présenté une vision caricaturale de la Guadeloupe".
M. Jégo évoque aussi une Guadeloupe "plus souterraine où les alliances pouvaient se révéler étonnantes", citant Lucette Michaux-Chevry, grande figure de la droite chiraquienne locale et mère de celle qui lui a succédé (Marie-Luce Penchard), "qui se vante d'avoir reçu Elie Domota chez elle".
De son brusque rappel à Paris en pleine crise antillaise par le Premier ministre, il dit :"ni engueulade, ni explication, rien. Du Fillon chimiquement pur".
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 22:11
INDISCRÉTIONS
Victorin
Le président du conseil régional n'a pas honoré le dîner républicain de jeudi soir, donné par la ministre de l'Outre-mer accompagnée d'Hervé Novalli, secrétaire d'Etat au Commerce, à l'Artisanat, au Tourisme, etc. Non pas qu'il ne soit pas républicain dans l'âme, mais il était retenu, l'après-midi s'étant passée à la réunion sur la taxe taxe professionnelle et d'autres réunions étaient programmées au fil de la soirée...

Gugusse
Plus que gris au sortir d'un restaurant du Gosier, cet élu était électrisé, à l'arrivée du ministre, jeudi soir ! Son nom ? Bah, il se reconnaîtra. Mais, pourquoi se mettre dans de tels états ? Un détail, il ne hurlait pas encore « La Victoire en chantant... » C'est vrai qu'aux Abymes, c'est pas gagné...

Eric
Sur un petit nuage, pour sa part, sereinement mais veillatif à toutes les entourloupes de dernière minute, Eric Jalton attend la victoire de Chantal Lérus, sa protégée. Il a promis de la faire reine des Abymes ?

Denis
Satisfecit de Nicolas Vion, patron des hôteliers, aux propos de la ministre de l'Outre-mer. A la réunion tenue au lycée hôtelier du Gosier, il n'y avait que Denis Brudey, armateur, à être un peu triste. « On a oublié les transporteurs maritimes. Or, quand on veut déguster un bon rhum, il fait aller à Marie-Galante, manger un bon cabri en sauce, il faut aller à la Désirade, avoir un bon dessert, c'est aux Saintes, avec le tourment d'amour... », a-t-il dit. Avec raison. Alors, un petit geste ?

Marie-Luce
La ministre de l'Outre-mer, faisant ses courses au marché de Basse-Terre, samedi matin. Petite foule de sympathisants. La campagne des régionales est donc ouverte ? On le croirait bien. Il ne faut pas oublier de venir chanter Noël dans quelques semaines ! Avant de faire ses Pâques.

Victorin 2
Victorin Lurel aussi était au marché de Basse-Terre, mais un peu plus tôt. C'est vrai que, lui, on a l'habitude de l'y voir. Il y fait ses courses régulièrement. Il n'habite pas loin. Vieux-Habitants, c'est plus près que Paris !

Nicolas
Le préfet Nicolas Desforges vient d'être nommé... à Beauvais (Oise). « Beauvais ville fantôme », « Beauvais la ville de Spontex, avec une odeur d'œufs pourris qui flotte... », s'exclame une consœur. « Pire que Chartres... », me dit une autre consœur. Pauvre préfet Jean-Jacques Brot, le prédécesseur de Nicolas Desforges, qui a été nommé à Chartres ! « Elles exagèrent sûrement », réplique M. Desforges.
Heu, bon courage, Monsieur le préfet !
André-Jean VIDAL
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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 22:22
2012

2012 est un film américain de science-fiction réalisé par Roland Emmerich avec Danny Glover et John Cusack, dont le scénario copie la théorie de la fin du monde en 2012. Le film est sorti le 10 novembre 2009 en Belgique, le 11 novembre 2009 en France et le 13 novembre 2009 aux États-Unis.


Le film explore l'idée d'une fin du monde globale coïncidant avec une prophétie Maya, un cataclysme planétaire surviendrait au solstice d'hiver de 2012 (soit le 21 décembre).
Jackson Curtis (John Cusack) est un père divorcé qui travaille occasionnellement comme chauffeur de limousine et écrivain, pendant que son ex-femme (Amanda Peet) et ses enfants vivent ensemble avec son nouveau compagnon.
Au Guatemala, des rapports font état de suicides collectifs, dans les jungles maya, de personnes tentant d'éviter l'apocalypse imminente. L'IPH (Institut pour la Perénité de l'Humanité), une organisation secrète, a réalisé la situation et commencé à construire d'immenses arches sous l'Himalaya pour sauver la race humaine mais aussi les espèces animales les plus importantes pour le jour où la fin du monde surviendra. Des débats font suite sur quand et comment les gouvernements du monde alerteront leurs concitoyens et comment les survivants seront choisis pour survivre à l'Armageddon.
Quand ils découvrent que le cataclysme global causé par le déplacement de la croûte terrestre va se produire plus vite que prévu, ils doivent atteindre les navires au plus vite pour sauver la race humaine avant que tout ne soit perdu. Los Angeles est complètement détruite par des tremblements de terre, le Supervolcan de Yellowstone entre en éruption, des séismes encore plus violents se produisent en Amérique du Sud qui détruise la ville de Rio de Janeiro et la Statue du Christ Rédempteur s'écroule. Washington, D.C. est engloutie par une énorme lame de fond qui propulse sur la Maison Blanche le porte-avions USS John F. Kennedy (CV-67). Au Vatican, le plafond de la Chapelle Sixtine se fend et la lézarde sépare la Création d'Adam à l'endroit exact entre le doigt de Dieu et celui d'Adam. Quelques instants plus tard, le dôme de la Basilique Saint-Pierre s'effondre sur la Place Saint-Pierre et les pèlerins qui s'y étaient rassemblés. A mesure que les inondations augmentent, le gouvernement des États-Unis déclare la fin du monde.
Un groupe de survivants, incluant Jackson Curtis et sa famille se bat pour atteindre la Chine afin de pouvoir embarquer à bord des grandes arches et survivre aux immenses lames de fond qui parcourent la Terre.

http://www.youtube.com/watch?v=Hz86TsGx3fc

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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 22:11
Jeux de rôles
Rassurante, agaçante ? Devant les élus et les décideurs économiques, à Basse-Terre, ce vendredi, Marie-Luce Penchard, ministre de l'Outre-mer, a repris les différents point évoqués par le président de la République, le 6 novembre. Qu'en retirer ? Que les décideurs économiques se sont montrés, dans l'ensemble, satisfaits, quoique attendant qu'on mette en musique ces quelques notes esquissées. Que les élus, notamment Victorin Lurel, disent attendre une rallonge budgétaire afin de financer les différentes mesures détaillées par le président de la République et la ministre de l'Outre-mer.
Bien évidemment, la ministre a dit la bonne volonté et la bonne foi du Gouvernement, les élus ont dit leur scepticisme.
Et Elie Domota ? « Onlo lafimé ! », a-t-il commenté, à la veille de participer au comité de suivi des accords du 4 mars. Ce qui peut être une excellente synthèse à ce stade des discussions.
Néanmoins, il semble peu acquis que le leader du LKP change de formule. Nous avons un discours formaté, qui n'a pas varié d'un iota depuis le 20 janvier. Quoiqu'il advienne, quels que soient les efforts consentis par l'Etat ou les assemblées locales, le discours restera le même. Sortir de cette posture, ce serait se renier.
Donc, à l'issue de cette première journée en Guadeloupe, que retirons-nous de l'observation des uns et des autres ?
La ministre présente les mesures du Gouvernement.
Le président du conseil régional rouspète parce que 1°) la ministre n'a pas d'enveloppe budgétaire, 2°) la ministre est aussi une femme politique qui viendra chasser sur ses terres en janvier (elle ne s'en cache pas).
Le LKP renvoie dos à dos les uns et les autres... sans proposer de solution.
Un jeu de rôles. Et si l'on en croit Yves Jégo, qui fait part de ses sorties nocturnes avec Elie Domota dans un ouvrage à paraître chez Grasset prochainement (voir quelques bonnes feuilles sur www.franceantilles.fr), un jeu de rôles bien ordonné.
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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 20:27
INDISCRÉTIONS
Yves
Yves Jégo, dans un livre qui retrace son expérience ministérielle, 15 mois et 5 jours entre faux gentils et vrais méchants, chez Grasset (voir notre édition précédente), à paraître le 18 novembre, relate une rencontre secrète avec Elie Domota, dans les hauteurs de la Basse-Terre. C'est savoureux comme tout. Surtout l'arrivée dans un lotissement, à quelques encablures du bourg de Capesterre-Belle-Eau, au milieu des bananeraies de montagne. Bref, on attend avec impatience les premières feuilles...

Daniel
Il nous a fait un gros caca nerveux, le sénateur, ancien maire des Abymes ! A l'aéroport, Marie-Luce Penchard, happée par les journalistes pressés de lui demander... les raisons de sa venue en Guadeloupe ! MLP serre des mains, ne voit pas Daniel Marsin qui souriait sous sa moustache, poursuit sa petite randonnée des micros. Rictus du bellâtre qui, se croyant éconduit après tous les efforts faits pour draguer la ministre, s'exclame : « On pourrait avoir plus de respect pour les élus gwadloupéyens ! » Se tournant vers lui, la ministre, amusée mais jouant (très bien !) la contrite : « Je suis désolée de cet incident diplomatique. Daniel, quand même !.. »

Léa
Joli, le prénom choisi par les parents de la petite-fille de Marie-Luce Penchard ! Léa, petite fée née cette semaine. Marie-Luce ! Si jeune et déjà grand-mère ! Après Lucette, Marie-Luce... Léa. Lucette ministre déléguée à l'Action humanitaire, Marie-Luce ministre de l'Outre-mer. De mère en fille. Léa, Léa... présidente de la République ! C'est tout le mal que nous lui souhaitons !

Philippe, Gabrielle
En Guadeloupe, l'UMP, c'est Philippe Chaulet, président de la fédération. Ça a été Gabrielle Louis-Carabin, qui prenait son envol de présidente locale avant que ses propos incendiaires sur la désignation de MLP comme candidate aux Européennes lui aient coupé les ailes. Ils n'étaient pas là pour accueillir à l'aéroport la Guadeloupéenne Marie-Luce Penchard, UMP bon teint, proche du président de la République. Faut pas s'étonner, ils ont la haine ! Dès qu'ils voient MLP, ils croient voir LMC, qui, il est vrai, ne les a pas épargnés ces dernières années. Même Laurent Bernier n'est pas venu... Il a coupé le cordon ?

Victorin
Victorin Lurel a laissé entendre, hier, lors de rencontre avec les élus et décideurs, en préfecture, que derrière celle la ministre de l'Outre-mer il y avait la visite de Marie-Luce Penchard, future tête de liste aux régionales. Réponse de MLP : « Le temps de la campagne viendra à un moment donné. Là, je suis ministre et je fais mon travail de ministre ! » Bref, pour qui veut bien écouter MLP, elle mènera campagne, tête de liste ou pas.

Elie
« Onlo lafimé ! » C'est l'avis d'Elie Domota, au micro de RCI, avant la rencontre avec Marie-Luce Penchard, ce matin, en préfecture, pour le comité de suivi. Au moins c'est clair ! On sait déjà ce qu'il dira en sortant de cette réunion. Y'a plus qu'à repasser le bobino.

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 23:34
37 MISS RÉGIONALES EN MARTINIQUE

La chanteuse et comédienne Arielle Dombasle présidera le jury de l'élection Miss France 2010 qui se déroulera le 5 décembre à Nice (Alpes-Maritimes), en direct sur TF1, ont annoncé jeudi soir Sylvie Tellier, directrice générale de la Société Miss France et Geneviève de Fontenay, présidente du comité d'organisation.
La chanteuse Mareva Galanter, Miss France 1999, le comédien Jimmy Jean-Louis, vedette de la série TV "Heroes" et le présentateur Jean-Luc Reichmann composeront le jury qui sera chargé à égalité avec le public de désigner les cinq finalistes. La cérémonie sera présentée à nouveau par Jean-Pierre Foucault.
Les 37 miss régionales en lice s'envoleront vendredi pour la Martinique où elles répéteront leurs passages et chorégraphies. Une région supplémentaire, Gascogne-Béarn, tentera sa chance.
Pour la première fois, Miss France 2010 sera désignée par un vote 100% public parmi les cinq finalistes. Jusqu'à présent, téléspectateurs et jurés étaient à égalité, à l'occasion d'un vote 50/50, pour choisir chaque année la "reine de beauté" et ses dauphines.
Par ce vote 100% public, TF1 et la Société Miss France souhaitent "répondre à la demande du public d'interagir davantage dans l'élection". En place depuis la retransmission du concours Miss France et la participation des téléspectateurs dans la désignation de la reine de beauté annuelle, la pondération du vote public était justifiée par le souci de limiter les risques d'un vote régionaliste.
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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 23:30
INDISCRÉTIONS
Claudel et Guy
Claudel Delumeau et Guy Barbeu, conseillers municipaux d'opposition aux Abymes, animateurs de la campagne de Daniel Marsin aux dernières municipales, ruent dans les brancards. C'est que M. Marsin se pique d'épouser les idéaux d'Eric Jalton. Il se voit bien surfer sur la vague de l'entente de tous les Abymiens pour revenir en force un de ces jours, sinon à la mairie, peut-être à la Région. Et se venger de Victorin Lurel auquel il doit... un chien de sa chienne depuis la présidentielle. Nos deux conseillers refusent que l'on cocufie ainsi les 9 000 électeurs qui ont voté Marsin. S'ils n'ont pas voté Jalton, il faut respecter leur choix, arguent-ils. Sûrement...

Marie-Luce
Marie-Luce Penchard, expliquant qu'il n'est pas question d'indépendance pour la Martinique et la Guyane (et pour la Guadeloupe, elle ne dit rien ?), ne fera pas campagne pour le statu quo. L'article 74, qui transformerait ces deux départements en collectivités, ne la dérange pas. C'est vrai que, pour qui veut plus d'autonomie, c'est l'idéal. Après, faut assumer !.. La Com de Saint-Martin peut donner toutes les clés pour éviter de tomber dans un déficit catastrophique. Elle n'a pas fini d'en baver !

Nicolas
Nicolas Vion, président des hôteliers, devrait s'exprimer en leur nom, aujourd'hui, au lycée hôtelier du Gosier, devant Marie-Luce Penchard, pour dire à ce représentant du Gouvernement comment il suffira, comme chaque année, d'un peu de formation et de beaucoup de promotion pour remplir les hôtels cette saison. C'est, du moins, ce qu'on voudrait entendre. Pas de vagues ! Mais, le musicien ne jouera-t-il pas un autre air ? Plus grinçant ?

Yves
Yves Jégo, dans un livre qui retrace son expérience ministérielle, 15 mois et 5 jours entre faux gentils et vrais méchants (Grasset), à paraître le 18 novembre, relate une rencontre secrète avec Elie Domota, dans les hauteurs de la Basse-Terre (voir notre édition du 2 novembre). C'est savoureux comme tout. Surtout l'arrivée dans un lotissement, à quelques encablures du bourg de Capesterre-Belle-Eau, au milieu des bananeraies de montagne. Bref, on attend avec impatience les premières feuilles...

Jean-Pierre
Jean-Pierre Chenel, commandant du groupement de gendarmerie de Guadeloupe, vient d'écrire au premier président de la Cour d'appel de basse-Terre (avec copie à sa hiérarchie) pour lui dire « l'émoi réel non seulement parmi les gendarmes de Guadeloupe mais aussi de toute la communauté gendarmerie qui s'étonnent que les officiers, sous-officiers et gendarmes adjoints volontaires chargés de faire respecter la loi ne bénéficient pas d'une meilleure protection de la justice. » C'est que le tribunal correctionnel de Basse-Terre a rendu son verdict dans l'affaire Clin. Deux ans avec sursis et quatre amendes de 300 euros pour l'auteur de l'homicide involontaire sur le gendarme Clin qui avait défrayé la chronique en 2006.
André-Jean VIDAL
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